Il est vrai qu'il nous
incombe de tenir compte, dans l'espace public, des limites de l'autre en
matière de pudeur sous peine de subir un certain mécontentement, mais de là à lui valoir une immonde pluie d'insultes, voilà qui patauge dans le délirant.
Pour ma part, dieux que
ça fait du bien, dieux que c'est doux de pouvoir admirer les jolies courbes
d'une femme joyeusement libre.
Car loin de m’enrager,
je considère que la contemplation de la beauté, notamment celle de la femme, qu’elle
soit abruptement nue ou suggérée, est matière à adoucir les mœurs. Toutes
choses que ne comprendront jamais les très immatures pudibond(e)s de toute
chapelle.
Aussi, Merci Constance
pour ce délicieux moment…
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