mercredi 30 janvier 2019

Lorsque l’Etat veut le monopole de la fessé


Pour résumer ce que j’avais développé par ici à ce sujet, le droit à la correction reconnu par la jurisprudence doit demeurer, non pas une « facilité » éducative, mais un droit « en dernier ressort » de garanti aux premiers garants des lois propres à chaque société humaine que sont les parents.

En effet, il ne s’agit pas d’un droit au tabassage de nos enfants, mais bien à la correction (d'autant plus dissuasive et efficace qu'elle reste exceptionnelle), au corsetage des épanchements violents et autres manifestations de toute puissance propres à la nature, y compris humaine, depuis l’enfance. A plus forte raison par ces temps où nos sociétés souffrent bien plus du laxisme éducatif en vogue depuis plusieurs décennies que d’excès de discipline.

Dans le cas contraire, que l’État, ses ministres, sa justice, et nos représentants se mettent en accord avec leurs principes en désarmant l’État. Qu'ils se rendent sans cordon armé sur les perrons de l’Élysée, Assemblée, Ministères, Préfectures, afin d’appliquer leurs très verbeux et apaisants principes éducatifs aux sales gosses en Gilets-jaune lors de leurs très capricieuses crises de nerfs. Allez-y ! Faites-moi rêver !

SILex


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