Gouvernants, scientifiques, citoyens, preuve que le coronavirus est au moins aussi dangereux pour les cerveaux que pour les poumons, voici les constats suivants :
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La tempête virale venue de Chine a provoqué pendant plusieurs mois une
thrombose cérébrale chez les petits génies de la société civile aux
commandes de notre pays. Comment expliquer autrement que ces grands esprits n'ont rien anticipé ou manqué à ce point de réactivité, et ce alors que des pays moins
puissants que le notre, tels que Taïwan ou la Corée du Sud, adoptaient
les mesures adéquates instantanément et en toute transparence. Mais ce n'est pas tout. Cet
AVC aura provoqué à la tête de l’État, cécités persistantes et
spasmes particulièrement violents des muscles linguaux leur faisant
raconter n'importe quoi, ce qui pour des gens ne faisant tout qu'avec
la langue peut s’avérer particulièrement handicapant. Signalons également
cette paralysie des membres supérieurs les empêchant de se retirer les
doigts du fondement pour mobiliser derechef nos moyens
industriels afin de produire le nécessaire à l'effort de guerre
sanitaire.
- Des symptômes seuls à même
d'expliquer comment des dirigeants aussi clairvoyants peuvent s'étonner que
les gens ordinaires n'écoutent plus la parole étatique ; ne respectent
pas les consignes aléatoires ; se torchent le derch, faute d'aniterge en rayon, avec les dérogations
gouvernementales périmées ; s'automédicamentent tant qu'il reste des
médicaments ; bref se comportent comme les coqs gaulois sans tête qui nous
dirigent dans cette course folle.
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Mais qu'ils se rassurent. Ils ne sont pas les seuls à être tombés malades
puisque d'éminents membres du corps scientifique et médical, qui se
croyaient sans doute immunisés, viennent de
démontrer de façon magistrale que le pouvoir est susceptible de les
corrompre eux aussi. Une expérience que vous pourrez réaliser avec vos
enfants à la maison : mettez dans une pipette de l'extrait
d'ego-démeusuré que vous recouvrirez d'essence de gloriole et vous
obtiendrez un précipité moisi. En d'autres termes, placez des hommes de
science au cœur des cercles de pouvoir et
ils cesseront de faire de la science au bénéfice de tous pour faire de
la politique au bénéfice de leur petit ego de marquis poudrés.
L'explication scientifique à ce phénomène
tiendrait du théorème selon lequel la hauteur de vue
s'amenuiserait fatalement au fur et à mesure que l'entre soi un brin
sectaire augmenterait.
- Dans tout cela, une
bonne nouvelle est à signaler. La mort cérébrale n’empêche pas ces
zombis d’écologistes de produire leurs borborygmes habituels. Par
conséquent ils n'ont rien à craindre du Covid19. En effet, ces morbeux
continuent
d'accuser le dérèglement-climatique-industriel de tous les maux, y compris viraux, incapables qu'ils sont de voir que cette crise illustre de façon
implacable que l'humain est infiniment moins dangereux pour la Nature
que la Nature pour l'humain. Tas de légumes, depuis que l'humain est
humain, la course au progrès a toujours consisté à nous protéger
des forces destructrices de la Nature, comme des excès de notre propre
nature, et certainement pas à protéger Dame Nature des
moulinets produits par nos petits bras potelés.
- Histoire de
finir sur une note positive, concluons en chansons. J'ai particulièrement
apprécié l'initiative contagieuse qui pousse de plus en plus de
troubadours en vue à manifester leur engagement guerrier (sanitaire) par
la production de chansonnettes sur le Net. C'est si symbolique de notre beau pays de
Cigales d'élite qui pensent qu'il suffit de bavasser ou de chantonner pour
régler les problèmes de la nation et du monde. A moins qu'ils ne craignent
pour leurs émoluments d'intermittents du spectacle. Enfin, du moment que Francis Lalanne ne s'y met
pas, cela devrait rester parfaitement supportable.
Je plaisante bien sûr. C'est important de chanter. Tant que le canari chante en cage, c'est le signe que l'air demeure respirable. J'ai d'ailleurs le magnifique morceau de Pierre Perret qui me trotte en tête depuis plusieurs jours : "ouvrez la cage aux oiseaux"
Je plaisante bien sûr. C'est important de chanter. Tant que le canari chante en cage, c'est le signe que l'air demeure respirable. J'ai d'ailleurs le magnifique morceau de Pierre Perret qui me trotte en tête depuis plusieurs jours : "ouvrez la cage aux oiseaux"
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