Si l’amour n’est pas un colibri volage,
Ce nid ne saurait devenir une cage,
Aux lourds barreaux tressés de ronces et d’ombrages,
Te coupant de cet océan intérieur,
Fait de libertés et d’infinies splendeurs,
Là où peuvent nicher toutes les candeurs.
Parce que sans elles, je ne sais aimer,
Caresser, étreindre ou même consoler,
Mes ailes et moi, c’est à prendre ou à laisser.
Sil
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