dimanche 11 septembre 2022

« Le capital du genre » entre autres chouineries pseudo-féministes

Au rayon pignolades gauchistes de petites-bourgeoises, aussi insatisfaites qu’entretenues par le capital via l’impôt, qui préfèrent chouiner et inciter d’autres nénettes à le faire dans l’espoir de réclamer plus, plutôt que de tenter de briller par leurs réalisations propres, dans un contexte égalitaire en droit, où hommes et femmes ont plus que jamais l’opportunité de donner le meilleur d’eux-mêmes ; je vous présente l’essai acrimonieux pseudo scientifique de Sibylle Gollac et Céline Bessière "Le Capital du Genre".

Présentation de cette tentative d’extension du domaine de la lutte :

« On sait que le capitalisme au XXIe siècle est synonyme d’inégalités grandissantes entre les classes sociales. Ce que l’on sait moins, c’est que l’inégalité de richesse entre les hommes et les femmes augmente aussi, malgré des droits formellement égaux et la croyance selon laquelle, en accédant au marché du travail, les femmes auraient gagné leur autonomie. Pour comprendre pourquoi, il faut regarder ce qui se passe dans les familles, qui accumulent et transmettent le capital économique afin de consolider leur position sociale d’une génération à la suivante. Conjointes et conjoints, frères et sœurs, pères et mères n’occupent pas les mêmes positions dans les stratégies familiales de reproduction, et n’en tirent pas les mêmes bénéfices. Fruit de vingt ans de recherches, ce livre montre que le capital a un genre.


Céline Bessière et Sibylle Gollac enquêtent sur les calculs, les partages et les conflits qui ont lieu au moment des séparations conjugales et des héritages, avec le concours des professions du droit. Des mères isolées du mouvement des Gilets jaunes au divorce de Jeff et MacKenzie Bezos, des transmissions de petites entreprises à l’héritage de Johnny Hallyday, les mécanismes de contrôle et de distribution du capital varient selon les classes sociales, mais aboutissent toujours à la dépossession des femmes. Ce livre analyse ainsi comment la société de classes se reproduit grâce à l’appropriation masculine du capital. Ouin ! Ouin ! »

 

Ouah ! Il n’y a pas à dire, la richesse et fertilité de leur univers mental fait vraiment rêver !

 

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