"En quelques jours, l'armée de Kiev aurait réussi à reconquérir quelque 3
000 kilomètres carrés de territoire occupé, ce qui semble renverser la
dynamique du conflit, observe la presse européenne. Au pied du mur, le
chef du Kremlin dispose des recours suivants : sonner la mobilisation
générale, opter pour le déploiement d'armes nucléaire tactiques, ou
tenter de briser le front occidental". (source)
Je suis quelque peu dubitatif sur ces options :
- Sonner la mobilisation générale OK mais, sans parler du reste, avec
quels moyens ? (Poutine parvient déjà à peine à équiper son corps
expéditionnaire).
- Quant à l'utilisation du nucléaire "tactique", sans même parler de
"ligne rouge", parallélisme des formes oblige, cette guerre "totale" ne
risque-t-elle pas de déclencher une riposte totale de Kiev (avec l'aide
de ses alliés) y compris sur le territoire russe ?
M'est avis que la seule option raisonnable ou logique qui s'offre au
Kremlin est de négocier au plus vite une sortie "d'opération spéciale"
en tentant au moins de conserver leur sacro-sainte Crimée contre les
Oblast de l'Est (et si les Russes pouvaient déguerpir de Transnistrie,
ce serait sympa aussi), parce que le risque de démembrement total de
l'empire colonial russe devient de plus en plus plausible.
En effet, au rythme où vont les choses, nous aurons du gaz, de la vodka
et des putes russes gratis pour Noel, et l'Ukraine aura l'Oural pour
nouvelle frontière naturelle. D'ailleurs, à la place des Zautorités
Moskals, je commencerais à démonter le Kremlin pour le remonter à
Iekaterinbourg ou à Novossibirsk.
Pour ma part je conserve l'espoir de pouvoir investir sous peu mon
maigre PEL dans l'achat d'un Oblast ou deux du côté de la Mer
d'Okhotsk...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire