vendredi 4 décembre 2009

Les intrépides interviews du Republicoin : Allah et ses problèmes d’érection de minaret.


Après un long voyage aux moult péripéties que je tairai afin de ne pas ajouter d’éléments oiseux à ce récit, et dont il convient de préciser seulement qu’il débuta avec un tango dans la célèbre brasserie parisienne « la coupole », nous nous retrouvons avec ma mie, introduits auprès d’Allah par une porte dérobée des enfers. Avouons que cet extraordinaire guide du routard qu’est « La Divine Comédie » de Dante nous a bien aidé.

Bref, là, dans ce qu’il appelle son petit coin de paradis puisque à l’ombre des épées, ce qui en enfer est tout sauf négligeable, nous le trouvons entouré de 72 houries pas vraiment conformes au récit mythique, celles-ci tenant plus de l’harpie hystérique à la Houria Bouteldja que la douce geisha aux yeux de biche.

Après les salamalecs d’usage, l’un des esclaves d’Allah, une espèce de Janus doué de double langage se faisant appeler Tariq, nous fait savoir que nous n’aurons droit qu’à une seule question.

C’est ainsi qu’allant droit au but, nous demandons à Allah quels commentaires appelle de sa part l’interdiction d’ériger de nouveaux minarets en Suisse.

« Peu M’importe que l’on Me ramollisse le minaret ; J’ai les couilles bien plus sensibles. Tiens, les harpies, au lieu de Me les briser menu comme à votre habitude, et si vous Me caressiez un peu les coupoles ? »

Et sur ces belles paroles nous laissons Allah se faire masser les coupoles en nous disant que c’est ainsi qu’Allah est grand…

SILidim le Magnifique.

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