jeudi 21 février 2008

FIDEL ET LES COCUS DU MARXISME


Fidel renoncerait à l’un de ses multiples portefeuilles dictatoriaux. Celui de « Comandante en jefe ». Que calamidad ! Mes Gauchos se sentent cocus, abandonnés, privés de grand-père des peuples. « Fue une tortura perderte ! » Certains y voient même « la fin de l’espoir révolutionnaire ». Ils ne savent plus quoi rêver ou souhaiter pour notre Monde. Dios mio !

Qu’ils se rassurent, je ne les laisserai pas tomber, moi, tous ces petits orphelins de la pensée révolutionnaire. Ils peuvent même d’ores et déjà accrocher dans leur salon mon magnifique portrait SIL le souhaitent. Un portrait aussi beau et galicien que celui leur in-Fidel. Car moi-je-moi-j’ai un "espoir révolutionnaire" à leur proposer. Ay Caramba !

À l’heure de la montée en puissance des obscurantismes religieux en général et de la tyrannie islamique en particulier, qui traquent les infidèles et qui rêvent de substituer au pouvoir des Peuples, celui des dieux ou plutôt celui de leurs très fidèles clergés, je propose à nos révolutionnaires d’œuvrer au maintien et au développement des Démocraties libérales, de combattre pour nos Républiques Laïques. Hasta la victoria siempre camaradas !

Pour ceux que ce projet, pas assez populiste, pas assez simpliste, pas assez démago, n’emballerait pas, pour être démocrate et libéral dans l’âme, qu’ils sachent que je les consolerai quand même en disant que leur « espoir révolutionnaire » n’est pas mort. Car si je ne m’abuse, il leur reste Kim Jong-Il ou Olivier Besancenot pour l’incarner…

Kim Jong-SIL

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