Des gamins de chez nous comme Maxime Hauchard ou Michael Dos Santos, que l’on convertit et que l’on envoie sur le front du djihad ; des mômes, chair de notre chair, comme Léa et d’autres à qui l’on bourre le mou pour qu’elles servent de pondeuses à djihadistes…
Au vu de tout ça, ce n’est pas tant la froideur ou la candeur des commentaires que l’on peut écouter ou lire ici et là qui m’étonne ou qui me travaille…
C’est plutôt le temps que nous parviendrons à contenir notre volonté de verser dans la chasse à tous ces putains de barbus qui pervertissent nos gosses, de souche ou d’ailleurs, alors qu’il revient à nos Etats de les traquer impitoyablement. Car on ne me fera pas croire que la djihadisation ne se fait que via Facebook. Il faut bien évidemment un minimum de logistique (in)humaine au plus proche des futurs zombis pour encadrer leur voyage vers l’enfer islamiste…
Personnellement, si l’un de mes enfants venait à tomber entre les griffes de ces vampires, il n’est pas dit que je me contente d’un commentaire « d’incompréhension », et que je ne verse pas dans l’aristie, réveillant alors le berserk galicien qui repose en moi pour nettoyer au lance-flammes certaines caves de banlieue.
Espérant toutefois, bien évidemment, ne jamais en arriver là, parce que la force publique engagera fissa la politique de karchérisation et de harcèlement permanent de ces raclures islamistes, qui s’impose…
A un certain moment, il va quand même falloir faire comprendre aux batards d’Allah que notre capacité de nuisance et infiniment plus grande que la leur et qu’ils ont beaucoup plus à perdre que nous, surtout ceux d’entre eux qui vivent chez nous…
SILidin le Magnifique
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