BLOG RADICALEMENT DEMOCRATE, POLITIQUE, COSMIQUE, SARDONIQUE, VOYAGEUR ET VULGAIRE, PARAISSANT TRÈS SOUVENT ET S'INSPIRANT DE L'ESPRIT D'UN TEMPS OÙ LE REPUBLICAIN SAVAIT ENCORE JOUER DE SES TUBES SEMINIFERES...
lundi 29 juin 2020
Convention Citoyenne pour le Climax Politique
dimanche 28 juin 2020
Municipales 2020 : vous retenterez bien une nouvelle experience foireuse gauchiste
Vous avez aimé les villes défigurées, bordélisées, ruinées par les socialistes ou les communistes...
Alors vous adorerez les villes défigurées, bordélisées et ruinées par la nouvelle folie gauchiste écologiste... #PauvresFous
Sinon, marrant comme les délires des Bobos néopaïens ne marchent que chez les gens de la ville ; et non dans la France rurale beaucoup moins dogmatique et beaucoup plus pragmatique... #VagueletteVerte
Par ailleurs, Ah! Ces partis politiques qui n'opposent aucune résistance raisonnable, quand ils ne leur servent pas la soupe, aux délires écologistes de ces néopaïens urbains et autres agités du bocal planétaire ; et qui s'étonnent de leur inexorable ascension...#GrosSoupir
Par conséquent, la #VagueletteVerte n'est qu'une invasion de mauvaises herbes tyranniques étouffant les idées fertiles dans un champs politique laissé à l'abandon... où ai-je mis mon bidon de glyphosate :)
samedi 27 juin 2020
Municipales 2020
vendredi 26 juin 2020
ProjetX : les autorités thaïlandaises réagissent :)
mercredi 24 juin 2020
En démocratie, on ne se rebelle pas contre les forces de l'ordre
lundi 22 juin 2020
Commission Citoyenne pour le Climat et Democratie Pochette Surprise
vendredi 19 juin 2020
L'Antiracisme par les Nuls...
Pas FaSIL
mercredi 17 juin 2020
Autant en Emporte le Vent Etc
lundi 15 juin 2020
Assa Traore "Je suis Malade" (!)
vendredi 12 juin 2020
Les contrepets d'Assa Traore
mercredi 10 juin 2020
lundi 8 juin 2020
Kéké Castaner "Touche pas à mon pote racaille" (!)
ClemenSIL
vendredi 5 juin 2020
Covid19 : la seconde vague autoritaire
jeudi 4 juin 2020
Adama Traore : victime de sa famille plutôt que de la société
Mais voilà, je ne suis pas un responsable politique. En tant que citoyen, si je peux comprendre l’émotion d’une famille face à la perte d’un proche, je ne suis pas obligé d'en admettre les excès, d’autant moins lorsque cette famille m’a l’air bien plus responsable du drame que victime.
Car à l’évidence, ces Traore-là sont une caricature. Une caricature de famille qui au lieu d’éduquer ses enfants, a laissé la cité les ensauvager. Une famille qui vit de la délinquance et de la prédation. Une famille qui se fout des victimes de leurs rejetons. Une famille de malfrats qui comme beaucoup d’autres préfère rejeter leurs manquements sur la société plutôt que de les assumer.
C’est pour cela que contrairement à la famille de George Floyd, ces Traore-là n’auront pas ma compassion. Pour l’instant ces vulgaires racaillocrates suscitent chez moi du mépris et du dégout.
Notamment lorsque Assa Traore se sert de la mort de son frère pour son ambition personnelle suintant pour tous ses pores surmaquillés ; agite le cadavre de son frère pour entrainer d’autres gamins de cité dans son irresponsable vindicte contre la République. Dire que cette dame est « éducatrice spécialisée » de profession. Formidable ! Quelle ironique symbole !
Mon dégout allant également aux commentateurs Bobo-bolos qui ne cessent de vivre leur rébellion contre leurs bourgeois de parents, par lascars de cité interposés. A moins qu'il ne s'agisse d'une forme d'amour pour leurs dealers de beuh ou de coke à qui ils aiment décidément bien sucer la bite. Sans parler de ces pseudo-anars qui s’allient avec la racaillocratie, soit le plus immonde et illégitime pouvoir qui soit. J’ai honte pour eux !
Mais il y a mieux ! Quand j’entends des révolutionnaires en peau de lapin à la Omar Sy-neuronnes-pas-un-de-plus, accompagné de Beurgeoises décérébrées à la Camélia Jordana chantant « il est temps de prendre les armes pour faire la révolution », je me dis qu’il est impératif de mener, par les mots et les idées, la contre-offensive de cette guerre culturelle qui nous est faite, si on ne veut pas que cette historie finisse effectivement en armes et en larmes.
D’ailleurs, au-delà des mots et des idées, puisque cette histoire est avant tout une affaire d’Etat de droit, j’espère bien que l’appel à la violence armée de la Camélia en question la mènera devant un tribunal. Tout comme j’espère que la Assa Traore se verra présenter la facture des dégâts de la manifestions interdite qu’elle aura tout de même conduite.
Sapristi ! Il va bien falloir que la République cesse de baisser la tête devant cette racaillocratie qui lui prend jour après jour des territoires, entrant désormais dans Paris, et qu’elle renvoie aux poubelles de l’histoire ces méprisables boutefeux guidant un lumpenprolétariat, plus shiteux que nécessiteux, vers un paradis fumeux…
mardi 2 juin 2020
Racisme dans la police : le mythe du contrôle au faciès
lundi 1 juin 2020
George Floyd et l’Amérique : la descente aux enfers des géants
Mais voilà, le « gentil géant » abandonne ses efforts pour se laisser entrainer dans l’univers à priori plus facile de la drogue, de la délinquance et de la sous-culture râpeuse, prenant alors le nom de « Big Floyd ».
Après un braquage à main armée, le « Big Floyd » se fait rattraper par le bras armé du Géant américain.
A sa sortie de prison en 2014, « Big Floyd » souhaite redevenir le « gentil géant » qu’il était, en mettant ses pas dans ceux plus grands de la rédemption.
Camionneur puis vigile dans un bar, il vit sa vie jusqu'à ce que le petit-géant Covid-19 ne le prive de son travail. Chienne de vie !
Privé d’emploi et rechutant dans les drogues médicamenteuse, ce 25 mai 2020, le « gentil géant » s’offre des cigarettes avec un faux billet, et résiste à son interpellation, puisqu’il refuse de monter dans la voiture de police qui devait le conduire au commissariat.
C'est suite à cela qu'il croisera la route de Derek Chauvin, qu'il connait déjà, un autre petit-géant porté sur une autre facilité, celle de l'usage disproportionné de la force. Au lieu de voir qu'il avait affaire à un gars non armé, rendu ivre par la drogue, il décide de se faire un « gentil géant » noir, en lui écrasant le cou avec le genou pendant d’aussi interminables que fatales minutes.
Certainement un comportement de cowboy frustré qui va lui couter cher, Etat de droit oblige, mais qui coutera encore plus cher au Géant américain, dirigé par un président tout sauf à la hauteur de la situation, et désormais consumé par le pillage et à la haine tous azimuts.
Portugee SILlipps
PS : La violence de la société américaine, et celle bien plus grande encore, propre à la minorité noire-américaine, expliquent pour beaucoup le type d’usage de la force par la police américaine (Cf ce papier du Nouvelobs) ; j’en ai d’ailleurs fait l’expérience moi-même, dans le New Jersey, la première fois où j’ai posé les pieds sur le sol américain, une fliquette noire m’ayant alors appris, arme en main, que l’on obtempère immédiatement aux injonctions de la police, même lorsque l’on pense être dans son bon droit, contrairement à nos très détendus us et coutumes en France ; mais enfin tout de même… que tout cela est triste…