Une famille aux beaux profils de victimes
Certes, il convient pour des Responsables
politiques de ne pas jeter d’huile sur le feu voire de tenter de retisser du
lien ; pour le Garde des Sceaux de garantir à la famille, la transparence
et l’accès aux pièces du dossier afin d’éviter la suspicion ; pour le Ministre
de l’intérieur de tenir un discours de fermeté, de soutien aux forces de l’ordre
tout en rappelant le devoir de discernement et de retenue dans l’usage de cette
force qui leur est confiée par le Peuple, d’utiliser cette force, jamais pour
humilier mais uniquement pour servir la justice.
Mais voilà, je ne suis pas un responsable politique. En tant que citoyen, si je peux comprendre l’émotion d’une famille face à la perte d’un proche, je ne suis pas obligé d'en admettre les excès, d’autant moins lorsque cette famille m’a l’air bien plus responsable du drame que victime.
Car à l’évidence, ces Traore-là sont une caricature. Une caricature de famille qui au lieu d’éduquer ses enfants, a laissé la cité les ensauvager. Une famille qui vit de la délinquance et de la prédation. Une famille qui se fout des victimes de leurs rejetons. Une famille de malfrats qui comme beaucoup d’autres préfère rejeter leurs manquements sur la société plutôt que de les assumer.
C’est pour cela que contrairement à la famille de George Floyd, ces Traore-là n’auront pas ma compassion. Pour l’instant ces vulgaires racaillocrates suscitent chez moi du mépris et du dégout.
Notamment lorsque Assa Traore se sert de la mort de son frère pour son ambition personnelle suintant pour tous ses pores surmaquillés ; agite le cadavre de son frère pour entrainer d’autres gamins de cité dans son irresponsable vindicte contre la République. Dire que cette dame est « éducatrice spécialisée » de profession. Formidable ! Quelle ironique symbole !
Mon dégout allant également aux commentateurs Bobo-bolos qui ne cessent de vivre leur rébellion contre leurs bourgeois de parents, par lascars de cité interposés. A moins qu'il ne s'agisse d'une forme d'amour pour leurs dealers de beuh ou de coke à qui ils aiment décidément bien sucer la bite. Sans parler de ces pseudo-anars qui s’allient avec la racaillocratie, soit le plus immonde et illégitime pouvoir qui soit. J’ai honte pour eux !
Mais il y a mieux ! Quand j’entends des révolutionnaires en peau de lapin à la Omar Sy-neuronnes-pas-un-de-plus, accompagné de Beurgeoises décérébrées à la Camélia Jordana chantant « il est temps de prendre les armes pour faire la révolution », je me dis qu’il est impératif de mener, par les mots et les idées, la contre-offensive de cette guerre culturelle qui nous est faite, si on ne veut pas que cette historie finisse effectivement en armes et en larmes.
D’ailleurs, au-delà des mots et des idées, puisque cette histoire est avant tout une affaire d’Etat de droit, j’espère bien que l’appel à la violence armée de la Camélia en question la mènera devant un tribunal. Tout comme j’espère que la Assa Traore se verra présenter la facture des dégâts de la manifestions interdite qu’elle aura tout de même conduite.
Sapristi ! Il va bien falloir que la République cesse de baisser la tête devant cette racaillocratie qui lui prend jour après jour des territoires, entrant désormais dans Paris, et qu’elle renvoie aux poubelles de l’histoire ces méprisables boutefeux guidant un lumpenprolétariat, plus shiteux que nécessiteux, vers un paradis fumeux…
Mais voilà, je ne suis pas un responsable politique. En tant que citoyen, si je peux comprendre l’émotion d’une famille face à la perte d’un proche, je ne suis pas obligé d'en admettre les excès, d’autant moins lorsque cette famille m’a l’air bien plus responsable du drame que victime.
Car à l’évidence, ces Traore-là sont une caricature. Une caricature de famille qui au lieu d’éduquer ses enfants, a laissé la cité les ensauvager. Une famille qui vit de la délinquance et de la prédation. Une famille qui se fout des victimes de leurs rejetons. Une famille de malfrats qui comme beaucoup d’autres préfère rejeter leurs manquements sur la société plutôt que de les assumer.
C’est pour cela que contrairement à la famille de George Floyd, ces Traore-là n’auront pas ma compassion. Pour l’instant ces vulgaires racaillocrates suscitent chez moi du mépris et du dégout.
Notamment lorsque Assa Traore se sert de la mort de son frère pour son ambition personnelle suintant pour tous ses pores surmaquillés ; agite le cadavre de son frère pour entrainer d’autres gamins de cité dans son irresponsable vindicte contre la République. Dire que cette dame est « éducatrice spécialisée » de profession. Formidable ! Quelle ironique symbole !
Mon dégout allant également aux commentateurs Bobo-bolos qui ne cessent de vivre leur rébellion contre leurs bourgeois de parents, par lascars de cité interposés. A moins qu'il ne s'agisse d'une forme d'amour pour leurs dealers de beuh ou de coke à qui ils aiment décidément bien sucer la bite. Sans parler de ces pseudo-anars qui s’allient avec la racaillocratie, soit le plus immonde et illégitime pouvoir qui soit. J’ai honte pour eux !
Mais il y a mieux ! Quand j’entends des révolutionnaires en peau de lapin à la Omar Sy-neuronnes-pas-un-de-plus, accompagné de Beurgeoises décérébrées à la Camélia Jordana chantant « il est temps de prendre les armes pour faire la révolution », je me dis qu’il est impératif de mener, par les mots et les idées, la contre-offensive de cette guerre culturelle qui nous est faite, si on ne veut pas que cette historie finisse effectivement en armes et en larmes.
D’ailleurs, au-delà des mots et des idées, puisque cette histoire est avant tout une affaire d’Etat de droit, j’espère bien que l’appel à la violence armée de la Camélia en question la mènera devant un tribunal. Tout comme j’espère que la Assa Traore se verra présenter la facture des dégâts de la manifestions interdite qu’elle aura tout de même conduite.
Sapristi ! Il va bien falloir que la République cesse de baisser la tête devant cette racaillocratie qui lui prend jour après jour des territoires, entrant désormais dans Paris, et qu’elle renvoie aux poubelles de l’histoire ces méprisables boutefeux guidant un lumpenprolétariat, plus shiteux que nécessiteux, vers un paradis fumeux…
ClemenSIL
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