- Jeudi 3 novembre : non content de nous mentir depuis des mois et de nous imposer la muselière, ce technocrate en blouse blanche qu’est le sinistre Véran, pète un câble à l’Assemblée National en ordonnant à ceux qui ne partagent pas son opinion de quitter l’hémicycle.
Décrivant les quelques rares jeunes patients (aux lourdes comorbidités) actuellement en réanimation, se servant donc de ces « jeunes patients » comme d’un sophisme pour masquer sa gestion calamiteuse de cette crise sanitaire et justifier le musellement de nos libertés comme du débat démocratique, Véran ment et hurle ainsi « c'est ça la réalité, si vous ne voulez pas l'entendre, sortez d'ici ! » Minable !
- Mercredi 11 novembre, le même Véran déclare à Paris Match qu’il est « inimaginable de voir des salles des fêtes remplies au réveillon »
Mais quel con fini ! Plus grand monde de sensé n’envisage de remplir des salles de fêtes, face de spicule ! Juste de goûter à la douceur d'un moment chaleureux avec quelques proches.
- Le même jour ce titre fleuri dans la presse et sur la toile: « faudra-t-il rendre le vaccin obligatoire ? »
Nos élites dirigeantes naviguent désormais entre deux réflexes bipolaires fascistoïdes : une interdiction ou une obligation par jour.
Tout ça pour un virus qui, rappelons-le, a un taux de létalité de 0.7% chez les contaminés et de mortalité globale de 0.05%, une triple-grippe quoi !
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