Pendant que Charlie Hebdo, le canard
le plus couillu de France, vole dans les plumes des corbeaux à barbe en
croquant Mahomet, Super-Ayrault vole à son secours en defendant (à moitié) la
liberté d’expression. D’aucuns considèreront qu’il baisse (à moitié) son froc
mais bon :
Ce matin au micro de RTL, le
premier ministre Jean-Marc Ayrault s’est exprimé sur la nouvelle
polémique autour de caricatures de Mahomet publiées par Charlie Hebdo.
Celui-ci a affirmé : « Nous sommes dans un pays où la liberté
d’expression est garantie, la liberté de caricature aussi ». Cela
étant, « si vraiment des personnes se sentent heurtées dans leurs
convictions » et pensent qu’il y a matière à se pourvoir en justice,
« elles peuvent saisir les tribunaux », a ajouté le premier ministre.
« Nous sommes dans un État laïc, un État républicain, un État de droit, je
tiens à le rappeler. »
Pendant ce temps-là, comme biens des
fascistes, un certain nombre de (ir)responsables du culte islamique manifestent
leur refus du rire et de laisser les autres en rire. C’est ainsi que le Conseil
français du culte musulman parle de « consternation » et
« d’islamophobie » et que Dalil Boubakeur regrette «que
l’incitation à la haine religieuse ne soit pas réprimée par la loi comme l’est
l’incitation à la haine raciale».
Et moi qui croyais que le fanatisme
était une caricature de l’islam et non l’essence de cette
« merveilleuse » religion tolérante, ouverte aux autres, au débat et
au rire. Si même les principaux représentants du culte islamique participent à
l’amalgame de l’islam avec le fanatisme, que vais-je bien pouvoir penser ?
SILimalikoum mes frères
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