Des jolies langues, il y en a plein. Toutefois, il y en a une qui surclasse largement toutes les autres. Il s'agit de la langue brésilienne. Oui, je dis bien le brésilien et non le portugais, qui bien qu’étant une langue bien gentille et courageuse, n'en demeure pas moins à ce point distante de sa sœur brésilienne question beauté, que je me refuse depuis longtemps à faire l’amalgame entre les deux. Une langue encore plus belle lorsqu’elle s’habille de mélodies. Toutes choses qui en font, à mon humble avis, la langue maternelle de l’Amour.
C’est ainsi qu’en cette coupe du Monde au Brésil, je vous propose, en guise de tribut à l’amour et au ballon rond, la célèbre chanson des Tribalistas "ja sei namorar" qui parle un peu des deux :
"Je sais enfin flirter ; je sais embrasser avec la langue ; il ne me reste plus qu’à rêver. Je sais où aller ; je sais où pouvoir rester ; il ne me reste plus qu’à sortir.
Refrain : Je n’ai pas de patience pour la télévision ; ne suis pas bon public pour la claustration. Je ne suis de personne ; je suis à tout le monde et tout le monde me veut du bien. Je ne suis de personne ; je suis à tout le monde et tout le monde se fait mien.
Je sais enfin flirter ; je sais toucher une balle ; il ne me reste plus qu’à gagner. Je n’ai pas le sérieux pour faire de la vie un jeu ; ce que je veux, ce n’est rien d’autre qu’être heureux.
Refrain : Je n’ai pas de patience pour la télévision ; ne suis pas bon public pour la claustration. Je ne suis de personne ; je suis à tout le monde et tout le monde me veut du bien. Je ne suis de personne ; je suis à tout le monde et tout le monde se fait mien.
Je t’aime comme personne ; je t’aime comme Dieu le veut ; je t’aime comme je t’aime ; je t’aime comme on se doit d’aimer…"
SILberto SIL
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