vendredi 22 avril 2016

A Orly : « demande à Mourad s’il déclenche un aléatoire »



Orly, 6 heures du matin. J’attends mon avion pour Dublin. Ce jour là, même heure, même porte, il y a un vol pour Marrakech et un autre pour Djerba.

Les « Irlandais », aisément reconnaissables, se retrouvent dans la même file de contrôle de sécurité que des touristes lambda, des Juifs marocains s’en allant passer Pessah en famille, des jolies Franco-marocaines-ou-tunisiennes cheveux au vent tenue légère iPhone à la main, et une ribambelle de bledards et bledardes hijabisées.

Avec ma face de celtiberbere sioniste en pull torsadé, faisant couleur locale sur les trois destinations, et ayant l’habitude des fouilles (y compris israéliennes ), je passe le contrôle tranquillement, tout en remarquant que tous les employés, ou presque, de la sécurité, sont Maghrébins, certains d’entre eux parlant assez mal le français.

En remettant ceinture et chaussures, j’observe un couple de vieux Gaulois derrière moi…

Mamie Monique, tenue légère en vue de ses vacances à Djerba ou Marrakech, bipe sous le portique (au vu de sa tenue, sans doute à cause des baleines de son soutif). Quelques instants passent et Farida, qui s’occupe de mamie Monique, demande à Mourad, le chef de la sécu, s’il déclenche un « aléatoire » (une fouille complète).

Mourad, avec toute l’autorité de l’abruti non assermenté au Smic déclenche « l’aléatoire ».

Mamie Monique se dirige vers la chambre de fouille pendant que papy Francis range, méticuleusement, les yeux baissés, la demi-douzaine de numéros de Marie-Claire que mamie Monique avait mis dans leur sac…

Pendant ce temps-là, plusieurs grappes d’hijabisées, aux multiples voilages, et aux faces de connasses-terroristophiles passent sans susciter la moindre envie « d’aléatoire » chez Farida et Mourad…

Et là, subitement, comme une très sourde bouffée de colère s’est mise à monter, monter.

En somme, les enfants de salauds de ces putes d’Allah nous pourrissent la vie ; leurs crétins de cousins font palper nos grands-mères ; pendant que ces salopes-salafistes paradent tranquillement. 

Heureusement qu’une fois en Irlande, j’ai oublié tout ça. Il y avait de quoi. Du moins jusqu’à mon retour…

Sil fils de Mil


Aucun commentaire: