Marrant de constater, au vu de cette image du personnage que Goscinny créa pour son album des aventures de Astérix et Obélix « La Zizanie », comment le stéréotype du fouteur-de-merde reste constant depuis la nuit des temps. Certainement la preuve de son caractère protozoaire ou du moins indécrottablement primitif.
Un constat qui me vient du privilège d'avoir pu observer quelques beaux spécimens dans leur milieu naturel.
Ce même œil torve trahissant sa laideur morale et cette oblique façon de se regarder marcher ou de s’écouter parler ; cette semblable fourberie sous masque de sympathie superficielle ; cette même simiesque façon de se frotter les mains ou le nombril tout en distillant les toxines qu’éjectent ses flatulences synaptiques.
Ce similaire et exclusif talent de pré-ado attardé pour le baratin, le jet de boules puantes, le moussage de fumier, ou les chouineries victimaires, dans le seul espoir de tirer un misérable profit personnel de toutes les très méprisables embrouilles et autres petites histoires suscitées.
Tout ça par désir aussi égocentrique que maladif d’imposer ses très puérils caprices à la collectivité, de se vouloir le nombril du monde, alors qu’au vu du merdier régulièrement généré, le bousier-de-bureau n’en est, à l’évidence, que l’un de ses multiples trous-du-cul.
C’était déjà le même glandeur invétéré qui, à l’école, tentait de tirer la classe vers le bas, en « mettant l’ambiance », faute de briller par ses capacités de travail et d’étude. C’est aujourd’hui le moulin-à-paroles inutile qui se montre toujours incapable de produire quoi que ce soit de notable par ses propres moyens, qui se protège au milieu du groupe, et qui s’illustre par les problèmes plutôt que par les solutions.
C’était et c’est toujours, car la principale constante des porteurs de cette mentalité véreuse, est de rester les mêmes au fil du temps.
Marrant également de constater à quel point des gens plutôt intelligents, et pourfendeurs d’abuseurs en tout genre, peuvent tomber dans le panneau de ce type de crétin-toxique, même après plusieurs années de contact avec le parasite-narcissique en question. Sans doute la manifestation d’une certaine capacité à nourrir de l’attachement pour leur ténia.
Marrant, encore que je trouve bien triste de voir des gens somme toute estimables, se laisser manipuler de la sorte par ces foutriquets immatures, servir de pions dans leurs manigances, ou encore jouer les « flying monkey » chargés d’informer le Tulius Detritus ou de prendre sa défense en répétant ses sornettes lors de réunion trop matinales pour le Tulius Detritus, resté dans son lit à cuver la gnôle de la veille ou bien à cultiver sa flemme congénitale.
Mais soit ! C’est d’ailleurs en ça que la maladie du médiocre Tulius Detritus peut s’avérer un tant soit peu pratique. Elle nous sert de détecteur ou révélateur. Détecteur d’individus fragiles, peu matures, peu autonomes, ou de gens qui s’accommodent de la toxicité, s’y complaisent voire même espèrent en tirer un quelconque profit, tels des « poissons pilotes » de ces olibrius. Après tout, « qui se ressemble s’assemble ».
Grâce au Tulius Détritus, il nous est ainsi beaucoup plus facile de savoir à qui l’on a affaire, de juger des capacités de discernement et de l’état de sanité, des unes et des autres mais aussi d’un collectif. Et par conséquent d’agir en conséquence en mettant telles ou tels à distance. La vie est histoire d’identités, de contrastes et compatibilités. Il nous faut apprendre à les reconnaitre pour mieux continuer de grandir et avancer.
Rendons donc grâce à ce miskine de Tulius Détritus et n’oublions pas qu’avant toute chose, le Tulius Detritus est un pauvre hère.
Avé Tocard !
SILius Maximus
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