dimanche 20 décembre 2009

Balivernes islamiques : après le djihad interne, voici le voile intérieur expliqué par la chanteuse Nâdiya.


Je ne sais pas si le dogme islamique se rendra un jour compatible avec le mode de vie de nos sociétés, en attendant, une chose est certaine, l’islam semble déjà parfaitement compatible avec nos tartuffes du showbiz. Rien d’étonnant cela dit puisque ce même showbiz se mariait déjà fort bien avec le communisme et réussissait même à chanter la joie de vivre dans un Paris contaminé par la peste brune. Par conséquent, « ayant toujours été de faible résistance » comme l’avouait Arletty, il n’est pas choquant que le Vert lui sied désormais à ravir. C’est ainsi que je ne suis pas surpris de la conversion de l’autre zircon de Diam’s, des chansonnettes islamolâtres des Jacques Weber et compagnie, ou encore des récentes déclarations de la chanteuse Nâdiya, très mignonne et entraînante quand elle fait son show, mais visiblement un peu, comment dirais-je, voyez plutôt.

« Le voile qu’on ne voit pas sur ma tête, je l’ai à l’intérieur de moi. On me l’a transmis en héritage ». Profond, non ? Après le djihad interne, voici le voile intracrânien. On comprend mieux qu’avec tout ce tissu dans la tête, il ne reste plus beaucoup de place pour les neurones.

Une déclaration qui par conséquent jette un éclairage particulier sur l’un de ses morceaux les plus connus. « Comme un roc » (clip ci-dessus). S’agirait-il d’une forme d’apologie de la lapidation, cette pratique bestiale puisque aussi bien en vogue chez les macaques que chez les islamistes, à moins qu’elle soit interne, elle aussi, comme une façon de se jeter des petits cailloux à la tête de l’âme dés lors que l’on commettrait la moindre petite transgression. Beau concept, non ? Je te jure, comme le disait mon Farid « avec des bledards pareil, on n’est pas sortis de la casbah ! »

SILidim le Magnifique

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