samedi 28 mai 2011

Saturday night tender (and fever) avec Nicole Scherzinger



Si je vous prie de bien vouloir excuser l’écart de langage que je m’apprête à effectuer, apprenez toutefois que je ne trouve pas de meilleur propos pour dire ce qui suit.

Quel est l’enfant de salaud qui ose faire pleurer ainsi (ci-dessus) ma Nicole Scherzinger chérie ?

Que l’on m’attrape fissa par la peau du cou, du cul ou des couilles, cet énergumène, décrit dans ce titre à succès « don’t hold your breath », comme « opportuniste, menteur, profiteur », j’en passe et des meilleurs.

En attendant cela, que ma Nicole d’amour sache que toute ma tendresse et soutien lui sont totalement acquis. C’est que je n’aime pas la voir triste. Je préfère l’admirer en forme comme dans cet autre (ci-après) clip à succès : son « Right There », toujours extrait de son album « Killer Love », et qui cartonne sur le Net avec pas loin de 10 millions de visites. Je comprends. Moi aussi je pourrais la regarder se mouvoir pendant des heures, un peu comme on contemple un vieux mystère hindou, de ceux qui se dansent…

SILio Iglesias



Pour ceux qui auraient raté ses débuts, ils trouveront ici le « pushing up my buttons » du temps où elle menait la troupe des Pussycat Dolls. Hot ! Hot ! Hot !

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