lundi 23 mai 2011

Affaire DSK : du portrait de la présumée victime à celui du présumé coupable



Donc, si on résume les données actuellement disponibles, le champion socialiste DSK est accusé d’avoir violé une femme de ménage, immigrée, ou plutôt réfugiée puisque issue d’une ethnie où les femmes sont trop souvent victimes de viols collectifs.

Et bien ce serait là ce que l’on appelle décrocher le pompon en matière de forfaiture, ou plutôt toucher le fond, non ?

Toucher le fond, comme ce PS qui s’est principalement illustré par le soutien apporté à celui qui figurerait de plus en plus le portrait type du prédateur sexuel, ethnique et social.

En effet, pas la moindre pensée immédiate pour la présumée victime, ou de « saine colère » contre les violences sexuelles faites aux femmes. Non, la seule manifestation notable, d’indignation, d’émotion larmoyante, ou de colère, est allée contre un système judiciaire qui permet à des prévenus de se faire prendre en photo.

Pourtant, en principe, la présumée victime a tout pour plaire à nos socialistes : femme, travailleuse, immigrée, musulmane, victime, elle fait bien partie de la catégorie à qui les socialistes font des ponts d’or théoriques. En théorie seulement visiblement. Car très concrètement, entre l’un des leurs, et un d’ailleurs, le choix est vite vu, et ce malgré la tonitruante avalanche de casseroles. Messieurs, dames, encore bravo !

Quelle sacrée bande de tocards doublés de jobards, ceux-là, je vous jure (ceci était une « saine colère » centriste)…

SILalutte finale

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