dimanche 4 mars 2007

VULGUS PECUS


D’aucuns me reprochent une certaine vulgarité nauséeuse. Non ! pitié pas ça ! ne me taxé pas de vulgarité, je vous en prie, je ne pourrais jamais le supporter ! Que va dire ma pauvre mère, miskinaaaa ! Voilà, voilà maintenant me voilà triste, brisé et dépressif… Non je rigole !

Vous voyez la muraille de Chine ? ouais ! Ben pour tout vous dire, à vue d’œil, elle ne représente que la plus petite des briquettes de cette superbe ziggourat d’indifférence que j’arpente du regard, depuis Jupiter, à la lecture de vos sentences. Je sais c’est vulgaire. Pourquoi, me demandez-vous ?

1- Vous n’avez qu’à lire le billet intitulé « qui est le SIL »
2- Baudelaire prétendait que le vulgaire participe de l’art aristocratique du déplaire. Je suis assez d’accord avec mon bon poète. J’ai moi aussi un côté aristo
3- Quand on est aussi génial que je le suis, la vulgarité est le seul moyen que j’ai trouvé de ne pas trop me prendre au sérieux.

Sir SIL