Dimanche 13 octobre : Shutdown ! Face au blocage budgétaire, le président américain accuse, non pas le coup, mais les républicains de détenir les finances du pays en otage. Les républicains accusant à leur tour le libérateur de ne pas vouloir négocier, ce qui s’avère une première en matière de prises d’otages.
Lundi : Balle au prisonnier. Les cartels brésiliens ont promis un mondial de football sanglant si d’aventure le gouvernement fédéral ne libérait pas les barons des favelas récemment appréhendés. Et si on réglait ça d’une balle en pleine tête ?
Mardi : Belgian touch. Nous venons d’apprendre que la police belge est parvenue à capturer l’un des chefs de la piraterie somalienne. Comment ? En utilisant la méthode Marc Dutroux : avec des bonbons, ou plus précisément, en lui expliquant qu’ils désiraient tourner un documentaire sur ses exploits. Considérant que les Belges sont juste bons à séquestrer des petites filles, le vieux brisquard ne s’est pas méfié. Erreur ! De toute évidence, les Belges sont plus vicieux qu’on ne le croit.
Mercredi : personne ne se mutine sous Poutine. En parlant de pirates, John Snowden, euh, Edward, actuellement en plein pays sauvageon, pardon, civilisateur, a fait savoir que ses conditions de détention, oups, d’exil, en Russie, sont de plus en plus précaires, zut, agréables, bien sûr…
Jeudi : espèces protégées. Alors que l’extrême-gauche peste contre l’expulsion d’immigrés en situation irrégulière, rappelons certaines valeurs ecologauchistes. Primo, que l’Europe s’est battue pour offrir un pays aux Kosovars. Secundo, qu’il est par conséquent on ne peut plus « normal », voire de notre responsabilité d’hommes de gauche, de relâcher dans leur milieu naturel les spécimens que nous gardions jusqu’alors chez nous au titre des espèces menacées. Ce qui vaut également pour les Arméniens. Allez, hop, au pays ! Il a besoin de vous pour se construire…
Vendredi : Prisonniers de leurs hormones. Profitant du redoux, la France bubonique a décidé de bloquer rues et bahuts pour des raisons de la colère qui leur échappent, ce qui n’est pas bien grave. L’important n’étant pas la justesse des slogans mais de donner de la voix histoire d’accélérer la mue. Flairant le bon coup, des vieux croutons à la Mélenchon, à moins qu’ils n’agissent en vieux pervers, ont décidé de taper l’incruste parmi toute cette belle jeunesse. De son côté le gouvernement hésitant à nettoyer cette poussée d’acné juvénile avec les canons à eau de la gendarmerie mobile, cherche des moyens plus doux que la tape éducative pour les renvoyer à la maison. Et s’ils leurs annonçaient que toute journée de perdue à glander dehors ne fera que repousser leur date de départ à la retraite (actuellement vers les 85 ans)...
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