Dimanche 29 septembre : la France poursuit la course en dette. Normal ! S’il y a bien un domaine où l’Etat socialiste français est un indétrônable champion, c’est bien en matière de course à la dépense avec l’argent des autres. On peut même dire qu’en matière de déficits, ces fous du volant, prenant le contribuable pour un vulgaire sponsor, ont toujours aimé rouler à tombeau ouvert. Vivement qu’ils se crashent une bonne fois pour toutes histoire de libérer le circuit.
Lundi : Shutdown ! Barack qui aime tant à se présenter en pilote de génie et roi dans la négociation de virages, s’est pris la chicane budgétaire tel un débutant en conduite politicienne. Des spécialistes avancent le fait que Michelle Obama ne trouve son mari aussi sexy que lorsqu’il frôle la mort politique. Aussi il prendrait de tels risques, juste pour satisfaire sa femme. Non, je ne peux le croire !
Mardi : voitures piégées. Les attentats à la voiture piégée se poursuivent en Irak, ce qui fait dire à certains historiens des sciences, que faute d’avoir inventé le moteur à explosion, les Arabes auront au moins découvert le moteur à explosifs. En voilà un sacré progrès !
Mercredi : Marine bientôt en pole position ? Tout feu, tout flamme, tour après tour, voici Marine Le Pen qui remonte un à un ses concurrents. Ce qui n’est pas une mince affaire lorsque l’on a le volant qui tire toujours autant à l’extrême-droite malgré les efforts de recentrage. D’aucuns lui prévoient d’arriver en tête sur pas mal de grands prix à venir, si elle ne pète pas une durite avant. Prions, mes frères…
Jeudi : Jour de tonnerre. Pendant ce temps-là Barack Obama se trouve toujours bloqué aux stands, insultant tous ceux qui ne veulent pas lui changer des pneus usés jusqu’à l’essieu. Apparemment, il n’y aurait plus de pneus pluie en réserve. Dire que ce lascar à Nascar devait tout régler avec son incroyable charisme et intelligence, en plus, bien sûr, de marcher sur l’eau.
Vendredi : Rihanna part en tête à queue en roulant du boule. En guise de nouveau dérapage, la chanteuse Rihanna a décidé d’offrir le rôle principal à son superbe cul de déesse créole qu’elle secoue à merveille. Ce qui ne va pas sans choquer le metrosexuel dévirilisé qui juge un tel spectacle outrageant et laid. En fait, elle ne fait que se servir des codes du rap, de façon à la fois narcissique et émancipée, à la fois objet et sujet, jouissant d’elle-même et de sa capacité à maitriser la barre. Le rendu visuel est d’ailleurs assez joli. C’est musicalement que le clip (à voir par ici) est en dessous de tout. Mais bon, en même temps, en dessous, c’est bien aussi, puisque ça laisse les mains libres pour caresser les jantes et faire reluire les phares…
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