Plutôt que de faire un sermon sur le fait que le politique a
pour devoir de s'occuper de ce qui relève du légal et non de la vérité,
ou d'ironiser sur le fait que lorsque des politiques se préoccupent de
vérité, on a surtout l'impression qu'ils tiennent à s'arroger le
monopole du mensonge, je raconterai une blague juive.
Alors c'est le vieux Simon, retraité des PTT, qui lit son journal sur un banc de la Paul Valery à Sarcelles. Samuel, qui a vendu son épicerie de quartier il y a peu d'années, voyant son vieil ami, vient le rejoindre. Arrivant à sa hauteur, il marque sa surprise en contemplant le titre du journal, "Le Complot Juif". Simon plongé dans sa lecture ne remarque pas son ami. Samuel l’interrompt d'un sévère "dis-moi Simon, pourquoi lis-tu ce torchon, t'as la cervelle qui vire au houmous ?".
Simon, l'air sortant d'un rêve, lève les yeux vers Samuel, soupire et lui dit. "Vois-tu Samuel, de tous les côtés les nouvelles sont mauvaises. Tout augmente, ma retraite fond comme la banquise des ours polaires ; nos ennemis pullulent, nos alliés sont peu nombreux ; nos enfants se font attaquer dans les rues ou abattre dans nos écoles maternelles ; notre cité est cernée et Israel joue régulièrement son avenir à la roulette arabe. Alors pour une fois que je peux lire quelque part que nous sommes les maitres du monde baignant matin et soir dans des rivières de métaux rares, je bois du petit lait et du miel, ce qui me fait du bien".
Alors c'est le vieux Simon, retraité des PTT, qui lit son journal sur un banc de la Paul Valery à Sarcelles. Samuel, qui a vendu son épicerie de quartier il y a peu d'années, voyant son vieil ami, vient le rejoindre. Arrivant à sa hauteur, il marque sa surprise en contemplant le titre du journal, "Le Complot Juif". Simon plongé dans sa lecture ne remarque pas son ami. Samuel l’interrompt d'un sévère "dis-moi Simon, pourquoi lis-tu ce torchon, t'as la cervelle qui vire au houmous ?".
Simon, l'air sortant d'un rêve, lève les yeux vers Samuel, soupire et lui dit. "Vois-tu Samuel, de tous les côtés les nouvelles sont mauvaises. Tout augmente, ma retraite fond comme la banquise des ours polaires ; nos ennemis pullulent, nos alliés sont peu nombreux ; nos enfants se font attaquer dans les rues ou abattre dans nos écoles maternelles ; notre cité est cernée et Israel joue régulièrement son avenir à la roulette arabe. Alors pour une fois que je peux lire quelque part que nous sommes les maitres du monde baignant matin et soir dans des rivières de métaux rares, je bois du petit lait et du miel, ce qui me fait du bien".
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