Génisses Stériles Meuglantes
A quoi
reconnait-on une génération de pimbêches geignardes aussi immatures
qu'incapables de réprimer leurs tendances castratrices comme de
saisir les opportunités offertes par une société égalitaire en droit ? C'est simple !
Au
lieu de faire preuve d'imagination, de créativité, d'esprit
d'entreprise ou
d'initiative (y compris en matière de drague ou de simple expression non-ambiguë de sentiments et désirs), une grande partie
d'entre-elles
continue de geindre et de chercher à nous raboter les roubignoles dans
le but de
réclamer toujours plus en en faisant toujours moins, le tout en se
doigtant les boyaux du cerveaux avec des concepts fumeux du genre
"féminicide",
"faiminisme" (le grand complot protéinique masculin), et autres
"écritures
inclusives luttant contre la culture linguistique de l'inégalité". Comme
si les langues turque ou perse, ne connaissant pas la distinction de genre,
cultivaient pas essence l'égalité des sexes. Comme si le masculin pour
genre neutre en français, soit la neutralisation du masculin, ce n'était
déjà pas assez androgyne comme approche. L'émasculation, y compris de la
langue, pour toute pulsion créative, voilà leur triste obsession. Enfin bon !
Sérieux,
est-ce que nous osons parler 'd'androcide' lorsque des hommes meurent
sous les coups ou poisons de leurs compagnes ; osons réclamer une prime
de risque généralisée sous prétexte
que les hommes continuent d'exercer les métiers les plus exigeants et
dangereux, ceux-ci demeurant les principales victimes des accidents du
travail, notamment mortels (94% des victimes) ? Est-ce qu'on parlerait de culture 'patricide'
quand ces péronnelles se
rendent compte qu'un "bébé tout seul" c'est pas facile à assumer, alors
qu'un couillon qui servira de géniteur-défouloir-signataire-de-chèques-de-pension-alimentaire-post-divorce-récréatif c'est tellement plus commode ? Ou encore de 'santé-moralicide' lorsque
nos petites bourgeoises passent leur temps à nous casser le tête avec
leurs sempiternelles exigences de gamines insatisfaites et autres
perpétuels pets de travers névrotiques servant d'excuses à leur manque de courage...
Non ! Rien de tout ça.
Nous continuons de tenter de faire la part des choses, d'accomplir nos
devoirs sans trop nous plaindre, tout en nous tapant leurs jérémiades.
Boudiou ! Y-a pas à dire ! Les femmes, en très grand partie, c'est encore et
toujours beaucoup trop d'emmerdes pour assez peu de plaisir !
Plus
sérieusement, ce que c'est pénible d'assister à l’émergence d'une
génération de femmes semblant avoir abandonné la fertilité créatrice pour une très revancharde
destruction sélective, en somme, visiblement plus tournées vers la destrudo (pulsion de mort) que vers la libido (pulsion de vie).
Ce que cela peut être, tout aussi frustrant, finalement, de vivre
avec une mentalité
égalitaire post-guerre-des-sexes type XXIIe siècle et d'attendre
l’avènement de femmes qui y correspondront. Car à l'évidence celles-ci
ne sont pas encore là, la majorité des nanas, y compris les
plus jeunes d'entre elles, ayant beaucoup de mal à s'extirper de la
culture petite-bourgeoise-fin-XIXe.
Dans ce paysage un brin désolant, heureusement qu'il reste quelques très vivantes "vieilles peaux" à la Elisabeth Levy et
compagnie, pour hisser haut l'étendard d'une féminité aussi libre que
forte, infiniment plus désirable. Mes hommages, Mesdames.
Sil
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire