"Avec les Femmes tout est Relatif"
Parmi les documents rédigés par Albert Einstein récemment mis en vente, ma loge illuminati-reptilienne-ultralibérale a acquis à prix d'or une tentative de mise en équation de la Femme se soldant par un échec.
Une brillante tentative qui, à l'examen de l'équation en question, m'a amené à conclure qu'Einstein n’avait pas forcement choisi la bonne théorie pour
modéliser le « sexe faible ». Non pas que la théorie de la relativité ne
permette pas d’aborder la question de façon convenable, vu tout ce qui
peut s’avérer relatif chez la femme, mais elle n’explique pas tout et
surtout ne dévoile pas toutes les inconnues de l’équation féminine.
En vérité, Einstein aurait dû utiliser la théorie du chaos et autre
modèles issus de la physique quantique. Car force est de constater que
la femelle sapienne-sapienne est l’un des rares êtres à pouvoir se
trouver dans deux états opposés en même temps :
Solide et gazeuse, triste et joyeuse, sincère et menteuse, comblée et
insatisfaite, calme et prise de tête, belle et moche (ou plutôt, bien
que belle, elle ne s’en trouve pas moins moche), géniale et cruche,
folle et sage, volcanique et glaciale, amoureuse et tueuse :-)
SILbert Schrodinger
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