- Interview troll en Absurdie. Exercice
extrême-centriste pour notre président de la République qui à l'évidence
souhaitait poser ses couilles sur la table des débats
face à un beauf de droite et un troll de gauche, le tout sous couvert de
casser les codes et de nous la jouer à l'anglo-saxonne. A ceci près que, côté
journalisme, les anglo-saxons sont aussi respectueux sur
la forme qu'ils
sont percutants sur le fond et surtout sur les faits, ce qui n'était
absolument pas le cas
lors des jappements "engagés" des roquets Plenel et Bourdin. S'agissant des codes,
si je salue la vaillante intention du président Macron, l'exercice m'a néanmoins provoqué un certain malaise. C'est que
le président n'est pas un vulgaire blogueur polémiste tel que votre
serviteur, mais bien celui dont la fonction lui commande de rester au-dessus des mêlées médiatiques #DontFeedTheTroll. Toutes choses qui
expliquent pourquoi je n'ai tenu que vingt minutes avant de zapper sur le
"King Kong" diffusé par la 4.
- Quand une "génération j'ai le droit" peut en cacher une autre. En application de l'adage voulant que "les cordonniers sont souvent les plus mal chaussés", je signale mon effarement devant ces professeurs du public, de gauche comme de droite, qui, en leur nom et tout en se servant de leur fonction pour leur gloriole personnelle, n'hésitent pas à conchier en place publique, continuellement et depuis moult années, leur administration et institution. N'ont-ils pas de code de déontologie à l’Éducation nationale ? Seraient-ils les seuls fonctionnaires dispensés de devoir de discrétion, de loyauté, et de protection de leur fonction et institution ? De quel droit ?! Vraiment étonnants ces professeurs donneurs de leçons.
- Quand une "génération j'ai le droit" peut en cacher une autre. En application de l'adage voulant que "les cordonniers sont souvent les plus mal chaussés", je signale mon effarement devant ces professeurs du public, de gauche comme de droite, qui, en leur nom et tout en se servant de leur fonction pour leur gloriole personnelle, n'hésitent pas à conchier en place publique, continuellement et depuis moult années, leur administration et institution. N'ont-ils pas de code de déontologie à l’Éducation nationale ? Seraient-ils les seuls fonctionnaires dispensés de devoir de discrétion, de loyauté, et de protection de leur fonction et institution ? De quel droit ?! Vraiment étonnants ces professeurs donneurs de leçons.
- Après les profs, voici leurs non moins agités élèves avec un pseudo "éveil de
consciences" fumeuses à la Fac. Des ados franchouillards à peine sortis des jupes
de leurs mères ; dont l'étendue du monde ne dépasse pas les replis de leur ego ; sans oublier leurs yeux
chassieux, non pas à force d'étude mais plutôt d'excès de fumette ;
bloquent-taguent-dégueulassent -dégradent les facultés dans le but
"d'éveiller les consciences" sur le bien public que sont nos
universités. Quel bouillie mentale et
morale ! Enfin, rien de nouveau sous le Bordel puéril. On a juste envie
de leur dire : paye tes impôts d'abord le-a boutonneux-se, sors
de ta grotte idéologique et va faire un tour de par le monde, sous le
soleil de ses différentes latitudes, dans l'espoir d'éclairer ta petite
conscience, ce qui n'est absolument pas gagner d'avance ; que veux-tu,
l'éveil ressemble bien plus à une longue route dispensatrice de gifles
qu'à une fac bloquée par de longues nuits de rêveries générales.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire