Contrairement aux idées reçues, toutes les fourmis ne sont pas d’infatigables travailleuses dévouées au bien commun de leur fourmilière.
Chez bon nombre de fourmilières, on peut observer une division de celle-ci en trois catégories d’individus :
- Une catégorie qui ne glande rien, passant son temps à déambuler sans but précis voire même à se bourrer la gueule avec du miellat de puceron ;
- Une deuxième catégorie qui s’active mais qui n’est bonne à rien d’utile, voire ne faisant que des conneries ;
- Et une troisième catégorie aussi productive qu’efficace, seule capable de maintenir la fourmilière en bon ordre de marche.
Allez savoir pourquoi, les sondages réguliers sur les « deux tiers de Français » amateurs d’enfermement, de téléglandouille et autres oisivetés rémunérées m’a fait penser à ces constats entomologiques. De quoi revoir la fable de la cigale et de la fourmi…
SILenopsis
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