vendredi 3 avril 2009

OH LES VILAINES CARICATURES !


Ah ben, c’est vraiment pas malin de faire des choses pareilles. Du coup, maintenant, il va falloir que je sévisse et ce alors que je déteste ça ! C’est vraiment pas malin, c’est moi qui vous le dis. Car qu’apprends-je ? Que des sectateurs de cette belle et grande religion d’amour, de paix et de tolérance qu’est l’islam ont souhaité, au moins à deux reprises, faire sauter une magnifique fresque de la basilique de San Petronio à Bologne. La fresque peinte par Giovani di Modena, intitulée « le jugement dernier » et où s’y trouve représenté un Mahomet déchiqueté par un démon (en haut à droite de la fresque) selon la vision des Enfers décrite par Dante dans sa « divine comédie ».


Oh que c’est pas bien de faire des choses pareilles ! Déjà, s’attaquer à une basilique, ce n’est pas gentil, mais en plus à un monument de la culture européenne, c’est vraiment pas bien du tout. Enfin messieurs les islamistes souffrez que « la divine comédie » de Dante soit d’une tout autre qualité que le petit coran, cette divine tragédie, pondu par votre Mahomet. Souffrez mais en silence s’il vous plait. Je n’ai pas envie de sévir à chaque fois comme je m’apprête à le faire. C’est qu’il m’en coûte de me montrer fort peu aimable à mon tour.

Car figurez-vous que je suis tombé l’autre jour sur de jolis tableaux perses qui d’après certains experts seraient les trois scènes d’un même acte ; bien que d’auteurs différents. Je comptais les garder pour moi, histoire de ne pas heurter certaines sensibilités, mais puisqu’on s’attaque ainsi à mon héritage, il n’y a pas de raison que je ne fasse pas de même. Donc…


Voici le premier tableau, peint par le célèbre Ibn Momonet, et qui représente Zayd, le fils adoptif de Mahomet-le-proxénète-celeste, avec sa tendre et chère Zaynad, avant que Mahomet reçoive l’ordre de l’épouser par son Allubrique divinité.


Le deuxième que l’on doit à Al Harunobu dépeint Zayd et Zaynad sur un pur-sang arabe, avec un Mahomet qui se fait malice derrière une aubépine ardente, trop sacrée pour être dessinée, tout juste avant de recevoir l’ordre d’Allautre-pervers.


Sur le troisième, d’auteur inconnu (tu m’étonnes), nous pouvons voir un Allah (le buisson tout sec à gauche) qui dépité par ce qu’il voit (un Mahomet excité par Zayd et Zaynad qui s’en va se faire du bien avec les restes de la pauvre Khadidja qu’il garde au frais dans sa grotte pour les jours sans) lui donne l’autorisation de voler la fille de son fils adoptif (le texte à droite).

Fallait pas commencer. Je vous avais prévenu…

NaSILreddin Hodja

1 commentaire:

Anonyme a dit…

là c'est la république "y s'la nique"