vendredi 11 septembre 2009

9/11 : NEVER FORGET


Je n’oublierai jamais, et vous ?

3 commentaires:

Jacques Maillan a dit…

Vous n'oublierez jamais, fort bien.
Le problème c'est que l'ennemi s'en tape complètement d'être ou pas oublié. La seule chose qui importe à l'ennemi c'est d'avoir ou pas des gens en face de lui décidés à lui mettre des baffes dans la tronche jusqu'à ce qu'il fasse demi-tour et rentre chez lui.
Ce n'est pas en n'oubliant pas que les sarrazins avaient pillé Bordeaux que Charles Martel leur a défoncé la gueule à Poitiers. C'est en leur défonçant la gueule pour de bon !
Par conséquent, au travail : tinyurl.com/L2EUQQ

SIL a dit…

À vrai dire, moi pas tout comprendre, mon bon Jacques. À tout mélanger, islam, simples croyants, convertis, mosquées, Charles Martel, politiciens actuels, je ne sais pas bien à qui tu veux casser la gueule. Ça sent le pétage de plombs tout ça, Jacques. Faut rester calme, calme…

Aussi j’aimerais bien que tu sois plus clair, histoire que je sache si l’on se situe bien dans le même camp, celui de la démocratie et du respect des différences, dirigeant nos attaques contre des idées totalitaires (toutes) et visant à en libérer le plus grand nombre et baffer les irredusctibles; ou si je devrai protéger de mes poings ou autre chose des innocents d’un bon gros délire haineux. Car franchement, le billet SITA en lien poque vraiment du dèrch. Que veux-tu, pour avoir grandi avec plus de Moulouks et d’Abdels qu’avec des Jean-Louis, je tiens à ce qu’ils vieillissent tranquilement à mes côtés.

Sérieux, vous ne voulez pas la tondre aussi, l’idiote de Villefranche, vous y mettre très courageusement à dix dessus ? ça c'est du courage, non ? ça commence à me fatiguer ces conneries…

Et puis j’aimerais bien savoir où vous vous situez politiquement dans la bande à SITA. Après tout quand on est poli, on se présente…

Anonyme a dit…

jamais, jamais moi non plus je n'oublierai....d'ailleurs pour une fois je comprends nos journalistes, observateurs et commentateurs volubiles et abs-cons lorsqu'ils disent : "chacun se souvient de ce qu'il faisait ce jour là" !
Castor