jeudi 1 avril 2010

Bush déclare « plus que 6 mois avant la chute de l’administration Obama »


Le plan est en marche !

Le complot libéral-nazi des néoconservateurs radicaux est bel et bien un fait. Tout un tas d’éléments indiscutables concourent à le démontrer dont les plus récents sont les suivants.

Si l’on en croit les révélations du « Clipperton Weekly Standard » (édition magazine du 14 mars dernier), l’un des hebdomadaires de référence dans toute la zone pacifique Est, ainsi que celles du « Herald Scotland », les néoconservateurs préparent activement la destitution d’un président Obama qui sabote un peu trop activement les jalons totalitaires posés par leur administration précédente.

Comme chacun le sait dans les cercles de la résistance, si notre précieux allié Obama a repris des éléments de l’administration précédente (notamment le secrétaire à la défense Robert Gates) c’était dans le but d’anesthésier la vigilance des agents du complot libéral-nazi en les désinformant au sein même de l’appareil d’état. Une stratégie qui a fonctionné un temps, le temps nécessaire pour pouvoir adresser des signaux, mais aussi les moyens utiles, à ses alliés démocrates, du monde entier, qui résistent depuis des années aux machinations « globalitaires » americano-sionistes, et de préparer l’acte de résistance actuel (appelé « obama intifada » par les libéraux-nazis) qui espérons-le participera à saper les fondations du régime sioniste et par conséquent ceux de l’empire tout entier.

Mais voilà, alea jacta est (les jeux sont faits), les impérialistes ont découvert les projets du président Obama et oeuvrent dès lors à leur sabotage sur tous les fronts, avec l’aide des titanesques moyens alloués par la finance mondiale, depuis leur base située au Paraguay. La famille Bush possède dans ce pays, d’où elle ne peut être extradée en cas de poursuites judiciaires américaines, une gigantesque propriété qui sert de base logistique au gouvernement parallèle.

C’est ainsi qu’au Moyen-orient, le régime sioniste a fait savoir au vice-président Biden que le temps des discussions était terminé ; que l’agent de la CIA Iyad Allaoui vient de remporter contre toute attente les élections législatives irakiennes ; que le président égyptien Moubarak, soigné en Allemagne dans l’hôpital militaire de la base américaine de Ramstein, vient de rentrer en Egypte pour tenir le pays d’une main de fer en cas de « troubles » ; et que le complexe militaro-industriel prépare la destruction de l’Iran indépendamment de toute volonté présidentielle. En effet, avec l’aide des impériaux britanniques, les forces se concentrent sur la base anglo-américaine de l’île de Diego Garcia, dans l’océan indien. Lorsque le casus belli, fomenté de toutes pièces par les impérialistes, se produira, toute leur puissance de feu se déversera sur cette nation martyre qu’est l’Iran, sans que ses alliés ne puissent réagir.

C’est le cas de la Russie, avec laquelle le président Obama avait réussi jusqu’à présent une politique de rapprochement, qui se trouve aux prises, comme par hasard, avec une augmentation des attaques dites « terroristes », alors qu’elles sont le fruit des forces spéciales néoconservatrices basées dans leur état vassal géorgien.

C’est le cas du Venezuela dans la ligne de mire des forces impérialistes qui s’installent dans les bases mises à disposition par l’état vassal colombien. Mais aussi le cas de la Chine, qui a fort à faire avec un Tibet dont la pseudo résistance inféodée aux impérialistes s’organise, un Taiwan qui se militarise à grands pas, et la guérilla électronique séditieuse menée par la multinationales hégémonique Google.

Mais surtout le cas du président Obama, obligé de durcir le ton face à l’Iran pour ne pas être accusé de traîtrise ; obligé de faire face sur tous les volets de sa politique progressiste à l’opposition des néoconservateurs accompagnés de leurs troupes des « tea party »; et de surveiller les milices libérales-nazies qui s’arment jour après jour, comme on a pu le voir dernièrement avec le démantèlement du groupe Hutaree.

Toutes choses qui expliquent pourquoi le vice-président Biden a affirmé récemment que l’état du pays s’explique par le « facteur Bush », ce qui pour nous autres est un message très clair, et pourquoi le clan Bush peut prévoir la chute d’une administration étouffée par les tentacules néoconservateurs dans les six mois qui viennent. Jeb Bush, gouverneur de Floride et star du parti republicain, qui avait en 2004 très malicieusement joué la non-succession de son frère, attend en coulisses de pouvoir entrer sur la scène présidentielle.

Espérons que la stratégie établie par le président Obama et ses alliés des forces démocratiques et populaires permettra de conjurer ce complot globalitaire. Tout se joue en ce moment !

Thierry MeysSIL

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