dimanche 22 janvier 2012

Comme une envie de sentimentalisme hard metal : « Poison » d’Alice Cooper



Pauvres jeunes d’aujourd’hui. Dire qu’aucun de leurs groupes préférés se trouve en mesure de leur offrir des balades sentimentales telles que nos groupes de heavy metal d’antan étaient capables de nous chanter. Ah, les années 80…

Allez les djeuns, goutez-moi ce « poison » d’Alice Cooper. Ça déchire, n’est-ce pas ? Comment oublier également ce fameux « Feed my Frankenstein, hungry for love »…

Comment chérie ? T’as sorti du frigo la petite fiole millésimée ! OK, j’arrive…

« Ton stratagème si cruel ; 
ton sang comme de la glace ; un seul regard peut tuer ;
 Ma douleur, ton frisson…



Je veux t'aimer mais je ferais mieux de ne pas te toucher ;
 je veux t’enlacer mais mes sens me disent d'arrêter ; je veux t'embrasser mais je le désire beaucoup trop ; je veux te goûter mais tes lèvres sont un poison venimeux ; 
tu es du poison coulant dans mes veines ;
 tu es du poison, je ne veux pas briser ces chaines…



Ta bouche, si chaude ; ta toile, je suis piégé ;
 ta peau, si moite ;
 un glaçon noir sur d’la sueur…


Je t'entends appeler et ça me transperce ; 
j’aimerais te blesser juste pour t'entendre crier mon nom ; 
je ne veux pas te toucher mais je t'ai dans la peau ; je veux t'embrasser mais tes lèvres sont un poison venimeux ; tu es du poison coulant dans mes veines ;
 tu es du poison, je ne veux pas briser ces chaines ;
 du poison…
»

aSIL Cooper

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