mercredi 6 août 2008

DES COUILLES ÇA AIDE MAIS ÇA NE FAIT PAS TOUT

En plus des aspects de l’affaire Siné qui me cassent les noix, j’apprends que Philippe Val, que je me permets ici d’appeler ma couille, n’est pas content. Les attaques qu’il subit de la part d’individus s’estimant sévèrement burnés le viseraient systématiquement en dessous de la ceinture. Du coup, ayant les boules, il en appelle dans sa chronique présentée ci-dessous à plus de politesse. Il doit vraiment les avoir là pour oublier que de la part du directeur d’une revue qui se balade trop souvent les coucougnettes à l’air, c’est bien là une requête particulièrement gonflée. Nemo auditur propriam turpitudinem allegans, ma couille.

N’ayant rien contre les roubignoles, le bon dieu m’ordonnant de respecter sa volonté de nous avoir affublé de cet appendice génital particulièrement inesthétique, démontrant ainsi son hétérosexualité tant il s’appliqua sur le sexe de la femelle tout en bâclant le nôtre, je me dois toutefois de préciser que des gros cojones ça aide mais ça ne fait pas tout. Regardez cette image. Elle représente à la perfection ce dont souffrent pas mal d’opposants à Philippe Val. L’hydrocèle. Une maladie qui vous fait grossir les testicules tout en étant susceptible de vous rendre stérile.

Et oui tout comme pour le crâne d’un hydrocéphale, ce n’est pas parce que des couilles sont grosses qu’il y a forcement quelque chose d’exceptionnel à l’intérieur. C’est pour cette raison d’ailleurs que sur l’en-tête de ce Blog figure ma préférence pour mes tubes séminifères plutôt que pour mes bourses. Le contenu plutôt que le contenant.

Quant aux hydrocéphales qui n’ont pas compris le sens de la phrase précédente et qui continuent de se croire fortiches, je conclurai avec cette petite histoire drôle.

C’est l’histoire d’un mec qui se rend chez son médecin de famille en n’osant pas avouer son problème. Son médecin lui demande ce qui l’amène d’autant plus interrogatif qu’il lui dit « quel problème peux-tu bien avoir étant donné que t’es bâti comme un chêne ». « Justement docteur », répond notre brave gars, « je crois que mon problème se situe au niveau des glands ». Et oui la puissance et les attributs virils ça aide mais ça ne fait pas tout.

Rocco SILfredi

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