Le Titanic démocratique arabe (encore un projet
trop ambitieux) s’enfonçant peu à peu dans les eaux sombres de l’obscurantisme
religieux, après avoir rencontré l’iceberg islamiste, le mieux est de demander
à l’orchestre du navire de nous jouer une dernière fois, avant interdiction, les
morceaux qui auraient pu devenir les hymnes du printemps arabe et qu’il va nous
falloir mettre au rancart pour quelques décennies.
A commencer par le « Rock El Casbah »,
interprété ci-dessus par Rachid Taha, et que les The Clash avaient composé en
1982 à la suite de l'interdiction
de la musique rock
en Iran sous l'Ayatollah
Khomeini.
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