Jean-Luc Melenchon peut eructer autant qu’il veut et tenter d’expliquer aux gogos-gauchos que la méchante finance internationale veut la peau du peuple chypriote, rien n’y fait ! Les faits sont là. Ce sont ses amis au pouvoir à Chypre depuis 2001 qui ont coulé l’économie de l’île.
En effet, lorsque la coalition de gauche remporte les législatives de 2001 et la présidentielle de 2003, Chypre connaît une certaine prospérité économique grâce à ses secteurs des services financiers et touristiques, qui lui octroient des taux de croissance et de chômage proches des 4%.
Or, non contents de ne rien faire pendant ces années fastes pour tenter de remédier à l’absence d’industrie et par conséquent au déficit commercial de l’île, mais aussi de préparer l’avenir de Chypre en engageant les réformes structurelles réclamées pourtant par Bruxelles, le gouvernement socialo-communiste de l’île s’est contenté de laisser filer les dépenses d’un secteur public pléthorique et les déséquilibres budgétaires.
Moralité lorsque la crise du secteur financier frappe en 2008, l’île se trouve sans le moindre paratonnerre pour faire face à cette très foudroyante crise.
Crise qui ne s’est pas arrangée, loin d’en faut, avec l’élection en février 2008 du seul président communiste de l’Union Européenne, Dimítris Khristófias, dont l’election avait été accueillie avec joie par le Parti de la gauche européenne, celui justement de Jean-Luc Melenchonias.
Conclusion, non seulement les amis chypriotes de Jean-Luc n’ont rien fait pour éviter la crise mais pire leurs idées et mesures n’ont fait que l’aggraver. Ces gens-là sont donc aussi inutiles que dangereux mais surtout totalement irresponsables, incapables qu’ils sont d’assumer un bilan calamiteux après plus de dix ans de pouvoir…
SILalutte finale
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