La série « faut pas charrier » qui ne manquera pas d’être féconde, vous narrera les luttes menées contre la pandémie mondiale de Charia. Féconde, elle le sera puisque partie avec une dizaine d’agents pathogènes depuis La Mecque, il y a 14 siècles, elle a contaminé, à ce jour, plus d’un milliard de victimes qui ne demandaient qu’à vivre dans la liberté, le progrès, la paix et la santé aussi bien morale, mentale que spirituelle. Féconde, elle se porte bien. Merci pour elle.
Chez, nous après avoir échoué, en partie, à jouer dans la cour des grands, en se prenant un gros kleenex sur ses miasmes, la Charia a décidé de s’attaquer à la cour des petits. Le 4 octobre 2006, dans la cour de récréation du Collège Jean Mermoz de Lyon, des élèves en classe de troisième ont caillassé une adolescente au motif qu’elle mangeait pendant le Ramadam. Mars 2007, Mohamed, 8 ans se fait tabassé par d’autres enfants de confession musulmane pour avoir manger du porc à la cantine de l’école. Vive la Charia !
Anecdotique me direz-vous ? Si ça vous rassure. Je dirais plutôt, illustrateur de la maladie que l’ouvrage « Les Territoires Perdus de la République », aux éditions mille et une nuits, diagnostiquait pour la première fois en 2002. Diagnostic que le Rapport Obin de l’Education Nationale confirma en 2004. Maladie pour laquelle des études cliniques sont en cours de réalisation aussi bien en Europe que dans le reste du monde libre. Études qui nous renseignent quant aux risques de désintégration pour les corps sociaux et nationaux, contaminés par la Charia.
Mais heureusement, des anticorps apparaissent, y compris dans les cellules infectées. De par le Monde Libre, les musulmans apostats s’organisent et témoignent des possibilités de guérison. Ah, les merveilles du vivant ! Comme quoi il y a toujours de l’espoir… Ring ! Ring ! Ring ! excusez-moi mais il faut que je décroche.
C’était mon oreille interne m’informant que des antigènes multiculturalistes aussi lâches qu’imbéciles me faisaient savoir que cette imagerie médicale a déjà été utilisée par le discours antisémite et qu’ils ne sont, du coup, pas étonnés qu’elle serve au discours « islamophobe ». Ce que vous pouvez être prévisibles mes petits gars. Alors déjà, je ne suis en rien islamophobe mais bien islamopposant puisque je préfère l’analyse froide aux peurs irraisonnées. Ensuite, je suis d’accord avec vous. La figure de la maladie a effectivement été utilisée contre le Judaïsme. Mais elle l’a aussi été par les marxistes contre le capitalisme, par les libéraux contre le marxisme et par les laïcards conte le cléricalisme. Ce qui me fait dire que ce n’est pas forcément l’imagerie médicale qui est en cause. Il faut juste savoir faire la différence entre charlatanisme et médecine, fantasme et réalité, religions conquérantes et religions non-prosélytes, entre les quelques millions de juifs qui n’ont jamais créé d’Empire et les quelques millions d’aspirants au Califat Mondial parmi le milliard de prisonniers de cet embrigadement. Faut pas charrier quand même !
Et oui, mes chers passivistes, naïvistes, lâches, collabos et idiots utiles, puisque je ne généralise pas, que j’estime les musulmans comme étant les premières victimes de cette tyrannie qu’est l’Islam, que je les vois comme mes frères, que je nourris pour eux comme pour leurs enfants des aspirations à la liberté, à la paix et à la prospérité, je ne vous dirais qu’un seul truc. Vade Rétro tas de nazes !
C’est vrai quoi ! Faut pas charrier quand même !
SILim Ait Dar-Al-Sulh
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