BLOG RADICALEMENT DEMOCRATE, POLITIQUE, COSMIQUE, SARDONIQUE, VOYAGEUR ET VULGAIRE, PARAISSANT TRÈS SOUVENT ET S'INSPIRANT DE L'ESPRIT D'UN TEMPS OÙ LE REPUBLICAIN SAVAIT ENCORE JOUER DE SES TUBES SEMINIFERES...
dimanche 28 février 2010
Private Joke-box : a small measure of peace
Le jour, dans une prochaine réincarnation, où je redeviendrai de nouveau totalement Japonaise, j’espère avoir la beauté, la grâce et la classe de cette sublime dame. En attendant ce jour-là, taïaut ou plutôt Banzai !
AmateraSIL
samedi 27 février 2010
Demain se fait aujourd’hui : voici votre futur 6e sens (SixthSense technology)
Le potentiel de SixthSense - Pranav Mistry
envoyé par Sigel-Victoria. - Les derniers test hi-tech en vidéo.
Lorsque l’humain a besoin d’un superpouvoir (voler, communiquer à distance, etc) il finit par inventer la technologie qui le permet (avion, téléphone, Internet, etc). Parmi celles-ci voici la technologie SixthSense, très bientôt disponible, que vous devrez à Pranav Mistry, un Monsieur dont le nom entrera sans doute dans les livres d’histoire. Pour vous en convaincre, regardez-moi cette vidéo, surtout après la cinquième minute. Une vidéo temps eXc. Je sens que je vais adorer le futur, moi…
SILver Surfer
vendredi 26 février 2010
Chroniques bauloises : dans le 4bis, derrière les catamarans, on ne suce pas que de la réglisse.
Nous voilà, mon compère et moi, serviettes pointées vers l’océan, juste devant « le punch’in baule », un bar à petits bras. Un bar de plage où se retrouvent les Kéwins et Kéwinnettes qui par cette générosité propre à leur jeunesse savent si bien nous offrir des spectacles anthropologiques hauts en couleurs.
Aujourd’hui, ça drague sévère. Il y a même du lascar, du genre petite frappe nantaise, en quête de quelque joli coquillage nacré de blond qu’il pourra arborer tel un trophée. Ce qui me rappelle une scène dont avait été témoin un familier, plusieurs années auparavant, tard le soir, du côté des dépôts à catamarans. Une blondinette prise en levrette par un jeune bronzé toute l’année pour des raisons autres que oisives, prise à tel point que le câble du grand mat venait frapper celui-ci dans un bruit métallique si caractéristique, tout en épousant le rythme des flux et reflux de notre jeune homme doué pour les grands cœfficients de marées.
À peine je raconte cela à mon compère qu’un pera (rap en verlan) pourri nous vient à l’esprit. Le voici.
Je me lance : Dans le 4bis, terre de délices, on s’y rend en TGV, le même que le Thalys, afin d’y goûter un train-train quotidien, mais de première classe et à grande vitesse. L’enfant de coquin peut même y prendre l’arrière-train en marche, jouer au grand huit, avant de dévisser sur une chute de reins.
Mon compère reprend : Dans le 4bis, les jeunes miss ont souci de justice. Elles donnent le meilleur d’elles-mêmes à ceux qui ont si peu. Un petit écart vaginal pour faire œuvre de justice sociale. L’enfant de coquin goûtera ainsi, pour une fois, à une prise de bénéfices.
C’est à mon tour de nouveau : Dans le 4bis, derrière les catamarans, on n’y suce pas que de la réglisse. Mais que fait la police. Rien ! Alors l’enfant de coquin se laisse aller au supplice de la cuisse lisse, offrant tout son vice à sa jolie Bérénice qui le lui rendra si bien…
C’est au tour de mon compère mais celui-ci ne dit plus rien. Je me tourne vers lui et le trouve littéralement interdit, le souffle coupé. Lui demandant avec une tape entre les omoplates ce qui se passe, celui-ci me répond, en accompagnant ses paroles d’un geste du menton, « je crois que j’ai vu une sirène ».
En suivant la direction indiquée par son menton, me voici passant instantanément d’une humeur grivoise à une attitude beaucoup plus contemplative. La beauté aussi subjuguante que violente de la demoiselle de la photo ci-dessus vient frapper nos yeux tordus de douleur, au bord du bris de cornées. Dieu merci, à moins qu’il ne faille remercier Mère Nature, j’ai le réflexe d’immortaliser cette apparition surnaturelle d’un coup de Sony cybershot DSC-F707. N’est-elle pas belle notre sirène (cliquez sur l’image pour agrandir) ?
SILène
jeudi 25 février 2010
Thalassa à La Baule : la Chine peut aller se rhabiller.
Épuisés par notre journée à rien faire sur la plage, nous décidons de continuer sur notre lancée en commandant des pizzas chez l’excellente maison « pizz a casa », que nous dégusterons en regardant le Thalassa de ce soir.
Le temps de coucher les gosses, nous ratons l’introduction de cette émission de télévision et prenons le premier reportage en cours de route.
De ce que nous comprenons, au large de la Birmanie, existe un gros caillou, planté là, en pleine mer, où les hirondelles y nichent par milliers. Ce qui attire quelques bougres qui viennent chaque année disputer les nids d’hirondelles aux serpents vivant à demeure sur cet îlot infernal, ainsi que quelques militaires postés là non pas pour des raisons environnementales mais pour réguler financièrement ce trafic à destination de la Chine. « Mais pourquoi risquer sa vie pour des nids d’hirondelles ? » se demande l’un d’entre nous. « Et bien je parierai que des Hans bâtés doivent trouver aphrodisiaque cet amalgame de morve d’ovipare parfumée à la fiente » répond un autre. Bingo puisque nous apprendrons que de riches clients chinois s’arrachent ce qu’ils considèrent être un met de choix, aussi bon pour le vit que pour la vitalité.
Le troisième reportage nous embarque vers le sultanat d’Oman, où nous apprenons que deux mois par an, toute une ribambelle de pécheurs s’en va débusquer l’ormeau en apnée, un coquillage qui vaut une fortune, destiné uniquement au marché chinois. Il serait considéré comme la nourriture des dieux. En fait, pour nos bridés du gland, il s’agirait là encore d’un puissant aphrodisiaque.
C’est à ce moment que je m’esclaffe en disant « ils ont des problèmes de libido à ce point nos Chinois pour qu’ils ressentent un tel besoin d’avaler n’importe quoi ? » Et là, en disant ça, me voilà avec un déclic géopolitique !
Tout bien considéré, nous n’avons rien à craindre d’une puissance qui craint à ce point l’impuissance ou plutôt qui la vit comme un état permanent à traiter n’importe comment. D’autant plus que chez nous, on prend plutôt des produits pour calmer nos ardeurs.
En effet, figurez-vous que j’ai appris récemment que certaines addictions sexuelles se soignent avec des antidépresseurs. Or comme les Français sont les champions du monde en matière de consommation d’antidépresseurs, CQFD, les Français souffrent d’un trop grand sentiment de puissance qu’ils ont besoin de soigner de cette étrange façon, pendant que les Chinois pâtissent du contraire (!)
Par conséquent, non seulement, nous n’avons rien à craindre d’une Chine qui, pour bander mou, peut donc aller se rhabiller, mais mieux encore, en baissant notre consommation de Prozac, nous pourrons très facilement lui faire la nique…
SILdénafil
mercredi 24 février 2010
mardi 23 février 2010
Chroniques bauloises : Baulezebuth, un sataniste à La Baule.
C’est dimanche. Pendant que ma moitié et mes demi-portions batifolent dans l’eau, je lis dans « La Baule + » une chronique d’humeur de Dominique Labarrière sur le repos dominical, qui me fait dire au passage que mon humour est décidemment de droite. J’adore (voir ci-après, cliquez sur les images pour agrandir)
Après la lecture et les jeux de plage, nous montons sur le remblai avant de rejoindre la « de Gaule » (l’artère principale de La Baule), où nous croisons pour la deuxième fois du week-end, Monsieur et Madame Tiberi, l’allure tristounette, à ce point involontairement incognitos que j’ai failli leur présenter mes hommages. Mais je n’en ai pas le temps, le couple s’engouffrant chez Manuel (le confiseur historique de La Baule) afin de s’offrir une gaufre. Tout un symbole. Gaufre à Paris, gaufre à La Baule.
Poursuivant notre chemin en ce dimanche où le chômiste de Saint Nazaire se sent souvent obligé de venir polluer la beauté de cette station balnéaire en paradant dans les rues, fagoté tel un chiffon à boules-de-pétanque, soudain, nous nous faisons dépasser par un couple de jeunes satanistes. Sans doute des enfants de chômistes. Tout l’attirail y est, le maquillage noir pseudo gothique, le ticheurte frappé d’un pentagramme où s’inscrit une tête de bouc, avec au-dessus une tête de con portant un petit bouc pubescent.
Le jeune couple a l’air pressé, et là encore, après avoir manqué l’occasion de rendre hommage à « saint Tiberi », me voici manquant l’occasion de faire la fête à nos suppôts de Satan. Mais Dieu est grand. Si nos deux jeunes gens étaient pressés, c’était afin de rejoindre l’arrêt de bus situé en haut de « la de Gaulle ». Le couple est là, attendant son bus, l’air aussi figé que le neurone qui leur sert de système nerveux central. Je laisse ma femme et mes gosses prendre un peu d’avance, puis une fois à la hauteur de notre couple de rebelles, je me tourne vers la tête de bouc et me demande tout haut, « Si ma mémoire est bonne, il me semble que Satan se prend une grosse branlée à la fin de l’histoire, non ? Par conséquent, le satanisme, n’est-il pas un culte de loosers ».
Au mot looser, mon regard est posé sur celui du porteur de bouc. Il rougit, même pas de colère, juste de honte. Comme quoi les satanistes sont vraiment des anges rebelles à deux balles.
Ma femme, un peu plus loin, le regard posé sur moi, devant ma mine de petit malandrin aux lèvres couvertes de confiture, lève les yeux au ciel en se demandant ce que j’ai bien pu encore faire…
Saint SILpeace
lundi 22 février 2010
Chroniques bauloises : jeunes filles courant sur la plage
Le temps étant à l’orage, ce qui nous change de la neige mais pas pour autant d’une météo exécrable, vu également que j’en ai marre de répondre aux incessantes provocations du fascisme islamique, et comme par ailleurs c’est encore les congés scolaires, j’ai décidé de changer d’air en vous parlant, toute cette semaine, de mes dernières vacances estivales à La Baule.
J’adoooore (syndrome Jack Lang) la presqu’île guérandaise. En fait j’aime tout coin qui débouche sur l’Atlantique, qu’il se situe à la pointe de Manhattan, du côté du Geirangerfjord, en Normandie, Bretagne, Euskadi, Galice ou Algarve. Quel que soit l’endroit, il suffit qu’il donne sur l’Atlantique pour que je m’y sente chez moi. La Baule offrant pour valeur ajoutée un délicieux goût d’Eden Beach. Une plage interminable, chaque matin vierge de tout déchet, offrant pour spectacle des cavaliers trottant sous le soleil couchant, et en journée, toute une myriade de beautés satinées par le soleil. Encore que cette année, si les mères demeuraient aussi sublimes qu’à leur habitude, j’ai trouvé les nymphettes, comme qui dirait, un tantinet replètes.
Alors que je lisais sur la plage « La Baule + », « le gratuit le plus chic de France » si l’on en croit un ami haut placé de Christelle, une fidèle lectrice (voir ci-dessous), un gratuit qui sent tout de même un peu le mazout lorsqu’on y lit le courrier de certains lecteurs, tel que celui de Cyril (voir ci-dessous aussi) qui se plaignait dans le numéro d’août 2009 d’avoir assisté à un concert aussi improvisé qu’exotique (par des noirs) pendant trente minutes en bas de chez lui (devant l’office du tourisme), où le prix du mètre carré devrait le protéger de ce genre de désagréments… Pendant que je lisais, disais-je avant de digresser dans le mazout, ce gratuit en grimaçant parfois devant les manifestations d’une certaine beauferie opulente, je constatais que cette année les gamines semblaient, dans un pourcentage assez remarquable, atteintes d’un certain embonpoint.
Un constat que ma femme finit par partager. Or ne pouvant pas mettre cela sur le dos de quelque considération sociale, l’obésité touchant d’ordinaire les pauvres, ce qui demeure rare à La Baule, ni sur celui de quelque travers familial, les mères demeurant presque toutes aussi délicieusement galbées, je me suis demandé s’il n’y avait pas un peu de laisser-aller chez les jeunes parisiennes de La Baule.
Une impression que semblait me confirmer cette étrange scène observée tard dans la même soirée, sur « la de Gaulle » (l’artère principale de La Baule). Sortant sans doute du Klimt ou du Victo, les deux bars du coin (en face de chez Cyril), dont le tintamarre nocturne ne semble pas trop gêner Cyril, une très jolie jeune fille se trouvait en face de l’office du tourisme, allongée par terre, sur le flanc, en train de dégobiller le trop plein d’alcool absorbé au cours de la soirée, avec son Jean Kevin accroupi à ses côtés, l’encourageant mi-gêné mi-goguenard. Allez savoir pourquoi, ce très brutal contraste entre la beauté de cette fille et la couleur du dégueulis, sans oublier l’odeur vitriolée de la vidange, m’a plongé dans une consternation, à laquelle Cyril est peut-être imperméable.
Laisser-aller donc. À moins que l’embonpoint de nos nymphettes ne s’explique par tous ces paninis nutella-fromage-rapé dont je les vois parfois s’empiffrer à Paris, du côté de la rue Notre-Dame des Champs. Est-ce une façon de répondre à la pression scolaire et sociale qui pèse sur leurs épaules si délicates, un besoin de compenser un défaut d’affect, plus simplement, encore une tendance djeuns à la con ? Avis aux sociologues…
SILevi Strauss
Cliquez pour agrandir
dimanche 21 février 2010
Private joke-box : Footloose « I’m Free » (l’esprit de Liberté trouve toujours son chemin)
En voilà une bonne nouvelle. Apprenez gentes dames et messieurs, mais aussi damoiselles et damoiseaux, que devrait sortir en 2011 le remake de ce film culte pour pas mal de gosses des années 80, qu’est Footloose. Un film qui raconte les envies de danser de la jeunesse de la petite ville de Bomont où cela est interdit par une administration locale influencée par le révérend de la ville. Des envies qui symbolisent le désir de vivre libre et responsable, loin des carcans religieux.
Ce que j’ai pu aimer ce film mais surtout, qu’est ce qu’on a pu rejouer la scène finale dans nos soirées, avec tout le posse de la piscine de Rougemont ;-) Kenny SILoggins
samedi 20 février 2010
Le Juif symbolique
Suite à une précédente série de questionnettes particulièrement insistantes, j’avais déjà dû justifier dans un magnifique billet mon engagement contre l’antisémitisme, un engagement que je décrivais alors comme étant bien plus ethnocentré que lié à un philosémitisme forcené. Je signale au passage mon autre sublime billet « antisémitisme, antisionisme, c’est kif-kif bourricot ». Profitez-en, c’est gratuit !
Mais voilà que l’on me reprend la tête à ce sujet, comme quoi défendre les Juifs, dans notre beau pays, est décidemment une activité fort suspecte. Et oui, quand elle n’amène pas à se faire qualifier de dangereux judéomane, de philosémite forcené, voire carrément de pervers sioniste, il y a toujours quelqu’un pour faire le malin en vous servant du « tu ne jouerais pas au Juif symbolique par hasard ».
Encore une connerie qui appelle une réponse aussi simple que lapidaire.
Parce que quand je défends par humanisme, entre autres, les Homosexuels, les Femmes, les Tibétains, les Berbères, mais encore les démocrates perses ou arabes, je joue au pédé symbolique, à la gonzesse symbolique, à l’Arabe symbolique, c’est ça ?
Je te jure, des fois, j’ai comme des envies de sortir la boîte à gifles qui me démangent. Heureusement pour tous ces crétins que je suis le symbole même de l’Amour…
SILove symbol
vendredi 19 février 2010
Dans la série « décidemment l’antisémitisme (notamment islamique) est vraiment un fantasme de paranoïaque »…
Les médias sont aux mains des Juifs, c’est certain (!)
À en croire ce que la pensée franchouillarde a produit de plus brillant, non seulement sévirait dans ce pays une judéomanie des plus décomplexées, mais pire encore, les Juifs et les Sionistes tireraient les ficelles médiatiques de notre pauvre chtit pays. C’est sans doute pour ça que les émissions traitant de l’héritage culturel juif de notre pays (l’une des communautés les plus anciennes de ce pays, rappelons le) sont plutôt rares. C’est sans doute pour cela qu’aucun media de masse ne défend cette démocratie qu’est Israël et que ce pays se trouve cloué au pilori médiatique à longueur de temps. Quelle bande d’incompétents ces Français juifs et ces Sionistes, franchement.
C’est sans doute pour cela également que personne ne parle des menaces de destruction d’Israël proférées, cette fois-ci, non pas par le roquet du régime iranien (l’Ahmadinejad) mais par le véritable patron du régime, le Führer suprême Ali Khamenei ; qu’aucun media ne parle des délires génocidaires découverts sur le forum Internet de la Grande Mosquée de Lyon ; qu’aucun media de masse n’a toujours pas parlé de la profanation par des Algériens, de la couronne des déportés, qui avait été déposée le jour même (le 24-01-10) auprès du monument dédié aux victimes de la Shoah (photo ci-dessus). SILomon
Les Juifs sont derrière tout, y compris jusque dans ton derrière.
Voici la vidéo antisémite la plus buzzée du moment (cliquez ici). 81 000 visites depuis juillet 2009. Une vidéo dans la même veine (du cul) délirante que le « Zeitgeist » et autre reopen-rectum, mais cette fois-ci à la sauce halale, expliquant que les Juifs sont derrière tout, sont le mal ultime, et que l’antéchrist (le Dajjal) va bientôt débarquer pour faire d’Israël un empire Galactique à la suite des empires Britannique et Américain. Une bonne nouvelle pour Monaco étant donné que les entités impériales semblent devenir de plus en plus petites. Au passage, je m’étonne que la plateforme Dailymotion, d’ordinaire si prompte à effacer la moindre vidéo chatouillant l’islam, garde dans ses serveurs ce genre de production clairement judéophobe… SILomon
En terre islamique comme en terre impie (pour l’instant), la haine du Juif est un devoir religieux.
Voici une petite vidéo égyptienne qui explique les fondements antisémites de l’islam puis un petit cas pratique découvert par mes petits camarades de chez Bivouac sur le site de la Mosquée de Lyon (sur le forum de la Grande Mosquée de Lyon, des musulmans discutent du prochain génocide des juifs).
Je suppose que le Parquet local s’est saisi du dossier et que les associations antiracistes (MRAP, LICRA, LDH, SOS Racisme et tutti quanti) se porteront parties civiles… SILomon
jeudi 18 février 2010
Le débat démocratique renaît toujours de ses cendres (celui sur l’identité nationale ne s’éteindra pas)
Et bien non, ce n’est pas parce que certains ont cherché à karcheriser, que dis-je, à canadairiser le débat sur l’identité nationale, que celui-ci va se laisser éteindre. Ce n’est pas parce que d’autres sonnent la fin des débats comme on sonne la fin de la recréation, que les choses sérieuses ne vont pas commencer. Le débat démocratique renaît toujours de ses cendres, surtout quand le sujet est brûlant.
Pourquoi, souffler sur ces braises-là, me demandent certains ? N’y a-t-il pas d’autres sujets à débat, une grande partie de la population n’est-elle pas préoccupée par l’emploi, le logement, les retraites ?
Certes, il y a juste que sur tous ces sujets, je n’ai pas de nouvelle modeste contribution à offrir (voici deux billets sur le logement ou les retraites), et que j’ai suffisamment de respect pour mes concitoyens touchés par ces inquiétudes pour éviter de me briquer le nombril en étalant encore une fois, mes bons et jolis sentiments sociaux. Je préfère féliciter tous ceux qui se retroussent les manches avec le sens des responsabilités, et laisser œuvrer les artisans du dialogue social, les élus, les investisseurs, et tous les véritables héros du quotidien qui maintiennent ou qui créent de l’emploi dans ce pays.
Alors pourquoi insister sur l’identité nationale ? Parce que ce débat tant attendu ne fait que commencer pardi ! Mais aussi parce que ce débat a un lien, non encore abordé par nos braves commentateurs, avec les problématiques sociales précédemment citées, ce qui le rend par conséquent vraiment indispensable. Mais si ! Mais si !
Mes petits cocos, pour qu’existe une forme de solidarité dans un groupe donné, il faut un minimum de cohésion au sein de celui-ci. Aussi pour qu’il y ait solidarité nationale, il faut que les membres de cette collectivité adhèrent à une communauté de destin. Plus concrètement, dans un système de solidarité tel que le notre, où nous acceptons de cotiser (Sécu, retraites…), non pas pour nous mêmes ou nos proches, mais pour l’ensemble de la collectivité, il faut que cet ensemble demeure cohérent, que le sentiment et l’évidence d’une solidarité partagée demeure, faute de quoi l’acceptation de tels sacrifices n’a plus lieu d’être. Pourquoi voulez-vous que les gens continuent à penser collectivement, à dépenser pour la collectivité, si les communautarismes et les antagonismes, se creusent ? Pourquoi voulez-vous qu’une telle cohésion sociale demeure si la cohésion nationale se délite, si de plus en plus de gens ne font plus allégeance à la même nation et son projet collectif ?
Vous le voyez mieux, maintenant, le caractère essentiel d’un tel débat, la nécessité absolue de maintenir cette cohésion nationale, de préserver les équilibres, de rappeler les fondements assimilateurs et amalgamants de notre pays, tout ce qui fait son identité. Mais aussi la nécessité de rappeler les obligations de chacun envers les autres, les devoirs d’allégeance à notre projet commun, à notre nation, à la France.
Ne pas comprendre cela produira non seulement le délitement de notre collectivité nationale mais également celui du corps social.
Et dire que ceux qui comprennent le moins tous ces enjeux, qui ne comprennent toujours pas que le communautarisme mènera à la désintégration de notre système social, se retrouvent surtout à gauche. Affligeant et absurde, non ?
ClemenSIL
mercredi 17 février 2010
mardi 16 février 2010
Ici comme ailleurs, mêmes causes islamiques, mêmes effets islamiques (Islemmings way of life, oops, of death, of course)
Alors ça c’est vraiment bizarre. Comme souvent en Israël ou parfois chez nous, voici que dans le Cachemire indien, des jeunes musulmans jouent également à la roulette-muz avec les forces de l’ordre locales, et ce jusqu’au drame malheureusement prévisible, drame à partir duquel une partie de la population s’insurgera comme un seul Oumma aux cris d’Allahu Akbar.
Ici comme ailleurs, toutes choses qui n’ont rien à voir, bien évidemment, avec le carcan culturel islamique qui corsète ces populations, et qui pousse la frange la plus agressive de celles-ci à contester un ordre « impie » ou à vouloir installer un ordre « sacré », mais qui sont liées, comme de bien entendu, au manque criant de MJC, de playgrounds, d’emplois subventionnés ou discriminés positivement, sans oublier bien sûr l’occupation americano-sioniste des lieux saints de l’islam (soit toute la planète).
Plus sérieusement, très chers frères sapiens-islamisés, il va falloir, soit rendre vos scénarios Allahystériques un peu plus originaux, faute de quoi le téléspectateur finira par se lasser de vos éternels reMecques (prononcez remake) intifadesques, soit arrêter de croire toutes ces conneries qu’on vous fourre dans le crâne et qui vous poussent à vous jeter dans le vide au nom d’une divinité nihiliste…
SILimalikoum mes frères
« Cachemire indien: heurts après la mort d’un jeune tué par la police » (AFP-Le-Matin) le 03 février 2010.
Des heurts entre les forces de l’ordre et des manifestants ont éclaté mercredi au Cachemire indien pour le troisième jour consécutif après la mort dimanche d’un adolescent musulman de 14 ans, touché par une grenade lacrymogène lancée par la police. (pour en savoir plus...)
Addendum : et quand ce ne sont pas des Intifadas, ce sont des attentats (non islamiques, bien évidemment) qui viennent frapper à votre porte « impie ». « Inde: un groupe islamiste pakistanais revendique l’attentat de Pune » (AFP-Google) le 17-02-2010
NEW DELHI — Un groupe islamiste jusqu’à présent inconnu se déclarant dissident du groupe pakistanais Lashkar-e-Taïba a revendiqué l’attentat contre un restaurant dans la ville indienne de Pune samedi soir, écrit mercredi le quotidien The Hindu.
Selon un nouveau bilan donné par la police mercredi, l’attentat a fait 11 morts et soixante blessés. (pour en savoir plus...)
lundi 15 février 2010
La toute dernière provocation islamique : bénéficier d’un droit à l’indifférence.
Monsieur Moussaoui, président du CFCM est un grand comique. Il demande pour le culte musulman un droit à l’indifférence. Mais c’est que nous ne demandons pas mieux, Monsieur Moussaoui, car franchement, nous aimerions bien faire autre chose que de résister au totalitarisme islamique. Aussi, promis, l’islam nous laissera indifférents le jour où pas mal de ses prêcheurs et zélés sectateurs nous ficheront la paix, cesseront leurs provocations petites ou grandes, ainsi que leurs crimes petits ou grands. Le jour également où des officiants de l’islam cesseront de se foutre de notre gueule, par exemple, en reportant sur nous autres la responsabilité des callahmiteux résultats de leurs activités. En attendant ce jour, parlez donc à notre cul, notre tête est très loin d’être malade.
SILidim le Magnifique
Le président du CFCM (Conseil français du culte musulman) Mohammed Moussaoui demande pour le culte musulman « le droit à l’indifférence » en regrettant une tendance actuelle à la stigmatisation et à l’islamophobie, dans une tribune publiée dans Le Monde daté de demain (11-02-10). Pour en savoir plus...
dimanche 14 février 2010
Ma Saint-Valentin, à la brésilienne ou rien.
Toute ma Tosserie va encore couiner sa race mais tant pis. Comme je l’expliquais l’année dernière, Cupidon doit certainement chanter l’amour en brésilien. Oui, je dis bien en brésilien et non en portugais, qui bien qu’étant une langue bien gentille et courageuse, est à ce point distante de sa sœur brésilienne question beauté, que je me refuse depuis longtemps à faire l’amalgame entre les deux. Une langue encore plus belle lorsqu’elle s’habille de mélodies. Toutes choses qui en font, à mon humble avis, la langue maternelle de l’Amour. Par conséquent, en ce week-end valentin, je vous propose, de nouveau, en guise de tribut à l’amour, trois chansons brésiliennes dont je vous ai traduit les paroles.
Et pour commencer, voici « mulheres » (femmes) de Martinho da Vila.
« J’ai connu des femmes, de toutes les couleurs, d’ages très divers, d’amours très nombreux. Avec certaines, quelques temps, je suis resté. Avec d’autres, peu de temps, je me suis accordé.
J’ai connu des femmes du type effrontée, du genre timide ou bien expérimentée, mariée, insatisfaite, célibataire et heureuse.
J’ai connu des princesses et même des catins, femmes intelligentes et déséquilibrées, femmes confuses de guerre et de paix, mais aucune d’elles ne m’a rendu aussi heureux comme tu le fais.
J’ai cherché dans toutes ces femmes, la félicité, mais je ne l’ai pas trouvé, me figeant dans la mélancolie. Tout débutait si bien avant d’avoir une fin.
Tu es le soleil de ma vie, ma volonté. Tu n’es pas mensonge, tu n’es que vérité, tout ce dont j’ai pu, un jour, rêver. »
Voici maintenant le « a loba » (la louve) de la majestueuse Alcione. Une chanson qui donnerait presque des envies de fidélité ;-)
« Je suis sucrée, enivrante, attentionnée, fidèle comme un chien, capable de t’offrir ma vie. Mais attention, n’écrase pas le ballon, si tu franchis l’enclos, j’explose. Avec moi, ça ne marche pas.
Je suis du genre à plonger corps et âme dans la passion, mais n’essaye jamais de tromper mon coeur. L’amour avec moi ne se vit que comme ça, sans jamais avoir à demander pardon.
j’adore ta main effrontée ; ta caresse, ton simple regard, me laisse dénudée, mais sache que je ne suis pas bête, sous ma peau de chatte, j’y cache une louve.
Lorsque j’aime, je suis la femme d’un seul homme, je descends de mon trône, et fais tout pour ton plaisir, mais ô mon roi, ma loi, tu dois connaître.
Je suis femme de te laisser, si tu devais me trahir, et de trouver un nouvel amour, rien que pour me distraire. Ce qui m’atteint ne me détruit pas ; le gros sel ne me blesse pas. Je ne mange pas dans la main de celui qui s’amuse avec mes émotions.
Je suis femme, capable de tout, pour te voir heureux, mais tout aussi capable de couper le mal par la racine. Je ne te partage avec personne. Je ne suis pas née pour vivre dans un harem. Que je ne l’apprenne pas ou alors il te faudra m’oublier… »
Et pour conclure la Sao Valentim de cette année, voici une chanson d’amour sortant des sentiers battus. Une balade saphique de la divine Maria Bethania intitulée « Barbara ».
« Barbara, Barbara ; il n’est jamais trop tard ; il n’est jamais rien de trop ; où suis-je ? Où es-tu ? Mon amour, viens me rejoindre.
Mon destin est de cheminer ainsi, désespérée et nue, attendant la fin de la nuit pour être tienne. Laisse-moi te protéger du mal, des peurs et de la pluie, remplir de plaisir, ton lit de veuve.
Barbara, Barbara ; il n’est jamais trop tard ; il n’est jamais rien de trop ; où suis-je ? Où es-tu ? Mon amour, viens me rejoindre.
Cédons enfin à la tentation de nos bouches crues, et plongeons ensemble dans les eaux sombres de nos puits. Vivons enfin agonisantes cette passion vagabonde, merveilleuse et débordante, telle une hémorragie.
Barbara, Barbara ; il n’est jamais trop tard ; il n’est jamais rien de trop ; où suis-je ? Où es-tu ? Mon amour, viens me rejoindre. Barbara… »
Si vous avez aimé, mes chéris, et que vous en voulez encore plus, vous pouvez toujours vous rendre sur le billet de l’année dernière, un billet spécial Maria Bethania ou celui dédié à Ivete Sangalo. Ma Tosserie, que j’aime malgré tout, pourra se consoler en allant sur celui-ci…
SILberto SIL
Et pour commencer, voici « mulheres » (femmes) de Martinho da Vila.
« J’ai connu des femmes, de toutes les couleurs, d’ages très divers, d’amours très nombreux. Avec certaines, quelques temps, je suis resté. Avec d’autres, peu de temps, je me suis accordé.
J’ai connu des femmes du type effrontée, du genre timide ou bien expérimentée, mariée, insatisfaite, célibataire et heureuse.
J’ai connu des princesses et même des catins, femmes intelligentes et déséquilibrées, femmes confuses de guerre et de paix, mais aucune d’elles ne m’a rendu aussi heureux comme tu le fais.
J’ai cherché dans toutes ces femmes, la félicité, mais je ne l’ai pas trouvé, me figeant dans la mélancolie. Tout débutait si bien avant d’avoir une fin.
Tu es le soleil de ma vie, ma volonté. Tu n’es pas mensonge, tu n’es que vérité, tout ce dont j’ai pu, un jour, rêver. »
Voici maintenant le « a loba » (la louve) de la majestueuse Alcione. Une chanson qui donnerait presque des envies de fidélité ;-)
« Je suis sucrée, enivrante, attentionnée, fidèle comme un chien, capable de t’offrir ma vie. Mais attention, n’écrase pas le ballon, si tu franchis l’enclos, j’explose. Avec moi, ça ne marche pas.
Je suis du genre à plonger corps et âme dans la passion, mais n’essaye jamais de tromper mon coeur. L’amour avec moi ne se vit que comme ça, sans jamais avoir à demander pardon.
j’adore ta main effrontée ; ta caresse, ton simple regard, me laisse dénudée, mais sache que je ne suis pas bête, sous ma peau de chatte, j’y cache une louve.
Lorsque j’aime, je suis la femme d’un seul homme, je descends de mon trône, et fais tout pour ton plaisir, mais ô mon roi, ma loi, tu dois connaître.
Je suis femme de te laisser, si tu devais me trahir, et de trouver un nouvel amour, rien que pour me distraire. Ce qui m’atteint ne me détruit pas ; le gros sel ne me blesse pas. Je ne mange pas dans la main de celui qui s’amuse avec mes émotions.
Je suis femme, capable de tout, pour te voir heureux, mais tout aussi capable de couper le mal par la racine. Je ne te partage avec personne. Je ne suis pas née pour vivre dans un harem. Que je ne l’apprenne pas ou alors il te faudra m’oublier… »
Et pour conclure la Sao Valentim de cette année, voici une chanson d’amour sortant des sentiers battus. Une balade saphique de la divine Maria Bethania intitulée « Barbara ».
« Barbara, Barbara ; il n’est jamais trop tard ; il n’est jamais rien de trop ; où suis-je ? Où es-tu ? Mon amour, viens me rejoindre.
Mon destin est de cheminer ainsi, désespérée et nue, attendant la fin de la nuit pour être tienne. Laisse-moi te protéger du mal, des peurs et de la pluie, remplir de plaisir, ton lit de veuve.
Barbara, Barbara ; il n’est jamais trop tard ; il n’est jamais rien de trop ; où suis-je ? Où es-tu ? Mon amour, viens me rejoindre.
Cédons enfin à la tentation de nos bouches crues, et plongeons ensemble dans les eaux sombres de nos puits. Vivons enfin agonisantes cette passion vagabonde, merveilleuse et débordante, telle une hémorragie.
Barbara, Barbara ; il n’est jamais trop tard ; il n’est jamais rien de trop ; où suis-je ? Où es-tu ? Mon amour, viens me rejoindre. Barbara… »
Si vous avez aimé, mes chéris, et que vous en voulez encore plus, vous pouvez toujours vous rendre sur le billet de l’année dernière, un billet spécial Maria Bethania ou celui dédié à Ivete Sangalo. Ma Tosserie, que j’aime malgré tout, pourra se consoler en allant sur celui-ci…
SILberto SIL
samedi 13 février 2010
Eros versus Thanatos : « mort à l’amour » par Allah petit cœur (le choc amoureux des civilisations)
Comme l’année dernière, et celle d’avant, en fait, comme chaque année depuis que le parfum des roses rouges pénètre la maison de l’islam, les chiens de garde de cette maison flaireront la moindre fragrance d’amour afin de le traquer.
En Arabie Saoudite, la terre sainte islamique, au motif que la Saint-Valentin trouve son origine dans un saint chrétien, la très canine police religieuse du royaume d’Allah traquera les roses rouges, les produits en forme de coeur ou les cadeaux emballés dans du rouge, et obligera les commerçants qui ne l'ont pas déjà fait à s'en débarrasser sous peine de poursuites (source). Une coutume désormais bien rodée par ici, alors qu’ailleurs, elle débute.
C’est ainsi que parmi les nouveaux enragés de la Saint-Valentin, nous accueillons cette année les prédicateurs des mosquées de Gaza qui ont appelé ce samedi les Palestiniens à ne pas fêter la fête des amoureux. « Ils interdisent aux magasins de vendre des cartes de voeux, et mettent en garde contre une guerre civile (rien de moins) si la Saint-Valentin est fêtée. Selon le journal Al Quds al-Arabi, ils ont affirmé dans leur sermon que la Saint-Valentin est une fête chrétienne et païenne et celui qui marque le coup dévie de l'islam » (source).
Mais aussi quelques hauts responsables islamiques russes. Ceux de la région de Nijni-Novgorod en Russie (440 km à l'est de Moscou) ont appelé, mercredi dans un communiqué, les croyants à boycotter la Saint-Valentin. « Nous appelons tous les croyants et les gens raisonnables à refuser de célébrer cette fête car elle contredit non seulement les normes de l'islam, mais aussi la moralité humaine », précise le communiqué. Cette fête « prêche la permissivité, l'amoralité et le nihilisme universels », ajoute-t-il (source).
Au passage, je me demande bien ce que peut en penser le CFCM (le Conseil Français du Culte Musulman). Rien de communicable pour le moment, n’est-ce pas ? Ils attendront sans doute encore un peu avant de s’attaquer à l’amour à la française.
Pour revenir à nos musul-amants, que nos french-valentins se rassurent, les mieux inspirés par les élans du coeur trouveront les moyens, comme chaque année, de faire fleurir des roses dans le désert et de fêter « l’aïd de l’amour » en achetant leurs cadeaux à l’avance, en se faisant discrets ou en se rendant dans des oasis de vie tels que Dubaï ou Abou Dhabi, où les plus fortunés pourront honorer l’amour en lui faisant une offrande à un million de dollars (pour en savoir plus).
AxSIL Roses
vendredi 12 février 2010
Des vœux de fidélité devant le dieu des Chrétiens, bof (!)
Il y a de ça quelque temps, un ami d’enfance, curé de son état, me demandait pourquoi je ne m’étais toujours pas marié à l’église, alors qu’il me sait amateur de rituels sociaux et autres coutumes folkloriques. Je lui ai répondu que c’était par cohérence morale. Me connaissant bien, avant de me demander de développer, il leva les yeux au ciel, suspectant encore une fois chez moi, une pensée particulièrement hétérodoxe.
Il eut raison de lever les yeux vers son très haut étant donné que j’allais lui assener la vérité suivante.
Comment peut-on formuler des vœux de fidélité devant une divinité qui s’est permise non seulement de cocufier un pauvre charpentier, mais pire que ça, de lui faire un enfant dans le dos ? Autant faire vœu d’honnêteté devant un parrain de la mafia, non ?
Partant de là, admettez que de vous rendre à l’église dans le dessein de présenter votre future épouse à ce dieu, n’est pas une chose faite pour vous rassurer. N’est-ce pas tenter le diable ? Ou plutôt, qui vous dit qu’il ne se permettra pas de s’octroyer avec celle-ci aussi, un droit de cuissage on ne peut plus déplacé.
Sur ce coup-là, mon pote curé ne sut vraiment pas quoi répondre. Ma logique morale était bien trop implacable pour son esprit saint qui donna par conséquent sa langue de feu au chat.
De toute façon, dans le genre folklorique, je préfère les rituels shintoïstes. J’ai d’ailleurs promis à ma femme que l’on se marierait selon ce rite le jour où j’aurai amassé assez d’argent pour embarquer tout mon clan vers le Japon…
AmateraSIL
jeudi 11 février 2010
Nelson Mandela, une vie au service de la Liberté
« J’ai combattu la domination blanche et j’ai combattu la domination noire. Je chéris l’idéal d’une société démocratique et libre, dans laquelle tout le monde pourrait vivre en harmonie, et qui offrirait à tous les mêmes opportunités. C’est un idéal pour lequel je vis et que j’espère voir réalisé. Et Dieu m’en est témoin, si cela était nécessaire, c’est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir. » (Nelson Mandela 1964)
mercredi 10 février 2010
En eXclusivité, voici la prochaine comédie musicale à succès : Abdelaurent d’Arabie.
Voici une comédie musicale haute en couleurs où vous découvrirez l’histoire d’Abdelaurent. Celui-ci, insatisfait de sa vie de musulman modéré dans la charmante ville de Grenade-sous-Garonne, s’en ira chercher bonheur en Arabie. Un spectacle où vous découvrirez également ce qui ne manquera pas de devenir de futurs standards de la chanson française, comme « quand on arrive barbus en ville », « déburquez moi », « on hijrah tous en Arabie »,"où sont les femmes", sans oublier le bouleversifiant « Allàh-bas » (vidéo ci-dessus)…
SILrima (in memoriam)
« Rêve d’islam » (NDLR= rêve de soumission, un magnifique oxymore, ironique au possible) par Stéphanie Le Bars pour Le Monde.
Moussa, prénom musulman d’un Français converti à l’islam depuis huit ans, ne pouvait s’accommoder de l’islam « modéré » qui prévaut selon lui en France. Formé dans le génie civil, le jeune homme de 25 ans a pensé un temps s’installer en Egypte pour y apprendre l’arabe et le Coran. Puis, « malgré un niveau d’anglais plutôt moyen », il a cherché du travail dans un pays du Golfe, afin de pouvoir pratiquer sa religion « de la meilleure façon ». Il vit aujourd’hui dans les Emirats arabes unis avec sa femme franco-portugaise, également convertie. Et n’envisage pas de revenir en France : « Trop difficile », estime-t-il. Même s’il lui manque, dans l’ordre, « sa famille et le pain ».
Comme en écho à certaines positions défendues lors du débat sur l’identité nationale, qui a prospéré ces dernières semaines, Moussa est de ces musulmans français qui considèrent que « la France et l’islam sont incompatibles ». Tous ne franchissent pas le pas comme lui. Le phénomène, que les chercheurs ne se risquent pas à chiffrer, demeure d’ailleurs marginal dans la communauté musulmane. Mais, le mythe de la « hijrah », l’installation en pays musulman, parcourt de manière insistante les salles de prière et les mosquées de France. (pour en savoir plus cliquez ici...)
mardi 9 février 2010
Merci Isabelle, je t’aime Isabelle (Adjani pute ni soumise)
Globes de cristal 2010, Isabelle Adjani contre la burqa
envoyé par zap-tele. - L'actualité du moment en vidéo.
Lundi 8 février, lors de la cérémonie des Globes de cristal 2010, Isabelle Adjani a reçu le Globe de la meilleure actrice pour le film « La journée de la jupe », (que l’on peut voir ici) l’occasion pour l’actrice d’affirmer que ce simple bout de tissu est désormais un manifeste.
« Cette jupe, c’est celle que portent des milliers de jeunes filles et de femmes pour affirmer qu’elles refusent que l’on confonde l’islam, avec l’aliénation et l’assujettissement des femmes ! (…) Une jupe, ce n’est qu’un bout de tissu, mais qu’elle soit courte ou qu’elle soit la longue, ce symbole peut nous aider à gagner une bataille contre l’obscurantisme, et même contre ce qu’il convient d’appeler, la haine des femmes. Cette jupe, c’est justement l’anti-niqab, cette jupe c’est justement l’anti-burqa… »
SIL, qui faute de kilt à enfiler, portera désormais, rien que pour les beaux yeux d’Isabelle, mais aussi par solidarité envers la Femme, son petit pull marine...
lundi 8 février 2010
Hugo Chavezombi « La révolution durera 900 ans »
« Revolucion ! Revolucion ! Revolucion ! »
Le quotidien d’opposition vénézuélien « Tal Cual » rapporte que le 2 février dernier, jour anniversaire des onze années qu’Hugo Chavez vient de passer au pouvoir, celui-ci s’est dit prêt à demeurer onze années de plus si sa santé lui permet.
« Elle a 11 ans et notre révolution est encore une fillette. Que se serait-il passé au Venezuela si la révolution bolivarienne n’était pas arrivée ? » a lancé le guide de la révolution, ajoutant même que « le processus révolutionnaire était là pour gouverner 900 ans de plus ».
Tiens, sans vouloir comparer autre chose que les propos, ça me rappelle les déclarations d’un autre révolutionnaire socialiste, un peu plus national, il est vrai. Un certain Adolphe Hitler qui parlait lui aussi d’un Reich qui devait durer au moins mille ans. Ah, tous ces megalos…
SILgueiro Maia
dimanche 7 février 2010
samedi 6 février 2010
vendredi 5 février 2010
Reopen réchauffement climatique : enfin la vérité qui ne manquera pas de déranger (veritas odium parit)
Alors que les sciences dures s’en tétaniseraient presque les membranes du cerveau à force de chercher les causes de cet apocalyptique problème climatique et surtout les moyens d’y remédier, je suis fier d’annoncer à la galaxie toute entière qu’une science douce, la mienne, vient d’apporter la réponse définitive pour ce qui est de l’origine comme de la solution au réchauffement climatique global. Félicitons au passage le GIEC et tous nos amis écologistes qui n’étaient pas loin de la vérité, étant donné que ce problème est en effet à peu de choses près d’origine anthropique. Mais je vous sens trépigner d’impatience. Aussi posons la question pour mieux y répondre. Alors les gars, qui donc nous a mis dans la merde, encore une fois ? Qui est-ce ? Et bien, ce sont les meufs, les gars ! Et oui, désolé de me montrer si catégorique mais la cause anthropogénique du « global warming » est la Femme ! Comment suis-je arrivé à cette conclusion ?!? Facile !
Il y a de ça trois hivers, avec ma tribu « arc-en-ciel », nous nous décidâmes à passer des vacances là où plongent quelques racines familiales, à Bidarray, au beau milieu de la réserve des « european natives » Basques. Dans ce dessein, nous avions prévu de louer un chalet pour 12, en bordure du GR10, un célèbre parcours de randonnée, histoire de marcher un peu entre deux rasades de vin, de jambon et de fromage de pays.
Mais dés notre arrivée sur les terres basques, nous dûmes réviser nos prétentions pédestres à la baisse. Il faisait un temps à ne pas mettre un potiok (une espèce de poney 4x4 basque) dehors, y compris à Biarritz. Une horreur ! À tel point que mon filleul, mi-Guadeloupéen mi-Normand, fit une violente réaction épidermique au froid, de type fraise tagada, et ce malgré ses gènes normands. C’est dire ! Une fois arrivés au chalet, ce fut bien pire. Un froid humide, à vous donner des envies d’Enfer, nous saisissait même à l’intérieur de la maison. Je ne vous cacherai pas que tout cela jeta un froid.
Du coup, les emmerdes ne tardèrent pas à poindre le bout de leur nez gelé. Les femelles se mirent à geindre à qui mieux mieux, nous sommant de trouver une solution à ce drame climatique. « Réchauffement climatique, mon cul, encore des promesses politiques, oui ! » me dis-je.
Et pendant que ces dames et leur marmaille se jetaient sur le Nutella pour se réchauffer, nous les mâles, sortions sous l’Iparra (vent du nord) afin de couper du bois. Et c’est là, alors que le bois se faisait débiter sous les coups rageurs de nos haches, que l’un de mes frangins me fit entrevoir la lumière en nous faisant remarquer que réchauffement climatique ou pas, cela faisait déjà deux étés qu’il tombait malade, tant le temps était pourri, et qu’il allait sans doute nous faire une fluxion de poitrine à force de jouer les bûcherons pendant cette semaine de vacances qui se devait d’être reposante. Oui, c’est là, au mot bûcheron que la vérité me prit à froid.
Le réchauffement climatique n’est pas lié aux comportements de l’Homme mais a bien pour unique origine les lubies de la Femme. Et oui ! Qui se plaint du froid en permanence, aussi ridicule soit-il ? La Femme ! Qui demande à ce que le chauffage soit allumé dès le mois d’octobre jusqu’aux saints de glace, en mai ? La Femme ! Par conséquent qui donc est la cause de notre dépendance aux hydrocarbures ? Les gonzesses ! Et là, faute d’hydrocarbures, qui exige une tonne de bois, encore une fois, alors qu’une bonne couette suffit amplement…
Mais aussi, qui devait nous emmerder déjà sous les différentes périodes glaciaires afin d’obtenir une température plus que convenable à l’intérieur de la grotte ? la femelle Erectus ! Du coup, l’invention du feu… La faute aux femmes ! Quant à l’instigatrice de la taille du Silex nécessaire à la fabrication des haches ayant permis à nos ancêtres de jouer les bûcherons et autre destructeurs de la nature, je vous le donne en mille, toujours la femelle, l’Erectus comme la Sapienne !
Croyez-en mes gènes, messieurs dames, puisque niveau silex, à part moi-même qui suis de la première génération à ne tailler que du crayon, dans ma famille, tous les mâles du côté de mon père étaient tailleurs de pierre, de père en fils. Croyez-moi, cette Vérité qui démange était tapie au fond de moi depuis des millénaires. La voilà enfin révélée.
Par conséquent, en bonne logique, la solution au réchauffement climatique réside dans la disparition de la Femme. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est la Logique !
Et dire, pour conclure, que tout cela était parfaitement prévisible pour la bonne raison que nous étions prévenus. En effet, il y a chez moi, en Galice Bracare (celle du Portugal), une vieille chanson populaire, transmise de père en fils, qui traite des conséquences désastreuses, pour l’avenir de notre espèce, de certains actes fondés sur des desideratas gynocentrés (traduction plus bas). Vous la trouverez interprétée ici par une troupe universitaire de Coimbra.
« X’tava a assar sardinhas com o lume à arder. Queimei a pilinha sem ninguem saber. Se fosse outra coisa, nao me importava. Mas foi a pilinha que tanto estimava ».
« En grillant des sardines (à la demande de ma mère) sans surveiller le feu ; j’ai braisé ma pine sans en faire l’aveu. Si j'avais cramé autre chose, je ne serais pas d'humeur chagrine; mais il s’agissait de ma pine que je tenais en haute estime. »
Le professeur Thierry Meyssao prétendrait même que cette chanson fait référence à un complot féminin visant à nous ramollir les noisettes par voie de castration thermique. Une forme de revanche sur le patriarcat menée par les filles de Gaïa. Intéressant, n’est-ce pas ?
SILex SILurien
jeudi 4 février 2010
Le Republicoin détient la preuve que Georges Frêche est un antisémite de la plus fanatique espèce qui soit (!)
Intervention G Freche
envoyé par Paxou.
Oyez, oyez, braves gens, comment peut-on laisser un responsable politique tenir des propos d’une telle nature, des propos qui nous ramènent aux heures les plus sombres de notre histoire… celles où des inconscients pouvaient encore chanter leur amour d’Israël ou leur solidarité envers les Juifs, en toute impunité.
Et oui, j’ai beau ne pas être un fan du troll de Septimanie, honnêteté intellectuelle et devoir d’informer oblige, il m’était impossible de passer sous silence la vidéo ci-dessus, à l’heure où nombreux sont ceux qui accusent Georges Frêche d’antisémitisme.
Quand on écoute bien ses propos, et surtout le choix du vocabulaire employé, on comprend mieux que Laurent Fabius renonce à porter plainte pour antisémitisme. À l’évidence Georges Frêche est bien plus Juif que Laurent Fabius. C’est même un dangereux sioniste (!)
Par conséquent, m’est avis qu’il fallait comprendre sa sortie sur Laurent Fabius (« il a une tronche pas catholique ») au sens premier de cette vieille expression française. Il ne transpire pas l’honnêteté. Ce qui est une remarque très loin d’être aimable mais tout aussi loin d’être antisémite.
SILomon
mercredi 3 février 2010
Et un Coming out historique, un ! (faute de genre)
Après en avoir longuement discuté avec ma femme, puis obtenu son accord pour le faire, apprenez que je me suis décidé à passer le Rubicon. Oui je fais mon Coming out. De toute façon, cela ne pouvait plus durer comme ça. Il fallait bien que je mette des mots sur ce que je vis intérieurement, un conflit particulièrement douloureux, pardon, je voulais dire délicieux. Oh oui, que je cherche à mettre des mots ou plutôt le doigt sur le mot car pour tout vous dire, ce n’est pas tant que je l’avais sur le bout de la langue mais plutôt qu’il n’existe pas encore. Mais je vous vois tout emberlificotés dans les méandres de mes circonvolutions narratives. Accouchons !
Apprenez messieurs et surtout mesdames que je suis une sorte de lesbienne, une femme dans un corps d’homme qui aime exclusivement les femmes. Un genre sans nom. Mais pas seulement, car bien qu’étant tout ce qu’il y a de plus caucasien comme garçon, intérieurement, je me sais non seulement lesbienne mais aussi Japonaise.
Comment en suis-je venu à cette conclusion incongrue ? À vrai dire, étant loin d’être con bien qu’aimant l’approcher, j’avais remarqué par quelques indices, tels qu’une Anima, un instinct et une langue de chat (et non de pute) aussi développés qu’assumés, que la conclusion susvisée pointait déjà le bout de son clitoris. Cependant, cela restait encore un peu latent. Latent jusqu’au jour où je suis tombé sur une vidéo lesbienne, dont je raffole, made in Japan, dont je suis fou. Une vidéo intitulée « sweet as honey » (http://www.tube8.com/lesbian/sweet-as-honey/69790/) « douces comme le miel ».
D’habitude, une vidéo porno, on s’en branle un peu de la qualité des images. Là non ! Je suis resté scotché à mon écran pendant les 10 minutes que dure la scène, totalement captivé par le spectacle. Deux jolies nippones délicieusement friponnes qui s’embrassent doucement, nerveusement, tendrement, goulûment, chaudement, langoureusement, les mains se baladant sur les chemisiers. Par Sappho, j’étais toute émoustillée.
À tel point que je me suis mis après ça, et en boucle, la chanson du groupe Mecano « une femme avec une femme », histoire de continuer à rêvasser. Or en l’écoutant, je me suis rappelé soudainement que j’avais déjà vécu, toute une soirée durant, une scène comme celle-là. L’une des plus belles de ma vie sexuelle. C’était certes non prémédité puisque la dame en question, alors mariée, n’avait pas voulu aller, ce soir-là, plus loin que ce jeu-là, pour se refuser à verser aussi totalement qu’immédiatement dans la félonie conjugale. Cependant je me souviens que je n’avais ressenti aucune frustration particulière. Loin de là. Ce jeu amoureux, aussi délicieux que le miel, m’avait comblé.
Alors « ça fait quoi d’être une lesbienne japonaise dans un corps d’homme caucasien ? » Je ne vous cacherai pas que je préférerais l’enveloppe charnelle d’une jolie nippone, de préférence sévissant chez les « Morning Musume » (photo ci-dessus), mais ce n’est pas désagréable, non. Exception faite des aspects vestimentaires, étant donné que minimum de respect pour mon enveloppe masculine ainsi que pour l’esthétisme, oblige, je me refuse à m’habiller en femme, ce qui me manque. Sinon, histoire de rester encore un peu sur mon corps d’homme, je me dis parfois que Vénusia devait ressentir la même chose que moi lorsqu’elle pilotait le module amphibie de Goldorak. Ce qui n’est pas une critique, bien au contraire. Un module corporel tel que le mien, en cas d’agression contre la femme que je suis, ça peut toujours être très utile. Et puis j’avoue pour conclure qu’étant le genre de Japonaise à aimer vivre mes expériences à fond, le fait d’apprendre à maîtriser un pénis, c’est assez bandant comme affaire. Quelle lesbienne n’en a jamais rêvé…
AmateraSIL
Apprenez messieurs et surtout mesdames que je suis une sorte de lesbienne, une femme dans un corps d’homme qui aime exclusivement les femmes. Un genre sans nom. Mais pas seulement, car bien qu’étant tout ce qu’il y a de plus caucasien comme garçon, intérieurement, je me sais non seulement lesbienne mais aussi Japonaise.
Comment en suis-je venu à cette conclusion incongrue ? À vrai dire, étant loin d’être con bien qu’aimant l’approcher, j’avais remarqué par quelques indices, tels qu’une Anima, un instinct et une langue de chat (et non de pute) aussi développés qu’assumés, que la conclusion susvisée pointait déjà le bout de son clitoris. Cependant, cela restait encore un peu latent. Latent jusqu’au jour où je suis tombé sur une vidéo lesbienne, dont je raffole, made in Japan, dont je suis fou. Une vidéo intitulée « sweet as honey » (http://www.tube8.com/lesbian/sweet-as-honey/69790/) « douces comme le miel ».
D’habitude, une vidéo porno, on s’en branle un peu de la qualité des images. Là non ! Je suis resté scotché à mon écran pendant les 10 minutes que dure la scène, totalement captivé par le spectacle. Deux jolies nippones délicieusement friponnes qui s’embrassent doucement, nerveusement, tendrement, goulûment, chaudement, langoureusement, les mains se baladant sur les chemisiers. Par Sappho, j’étais toute émoustillée.
À tel point que je me suis mis après ça, et en boucle, la chanson du groupe Mecano « une femme avec une femme », histoire de continuer à rêvasser. Or en l’écoutant, je me suis rappelé soudainement que j’avais déjà vécu, toute une soirée durant, une scène comme celle-là. L’une des plus belles de ma vie sexuelle. C’était certes non prémédité puisque la dame en question, alors mariée, n’avait pas voulu aller, ce soir-là, plus loin que ce jeu-là, pour se refuser à verser aussi totalement qu’immédiatement dans la félonie conjugale. Cependant je me souviens que je n’avais ressenti aucune frustration particulière. Loin de là. Ce jeu amoureux, aussi délicieux que le miel, m’avait comblé.
Alors « ça fait quoi d’être une lesbienne japonaise dans un corps d’homme caucasien ? » Je ne vous cacherai pas que je préférerais l’enveloppe charnelle d’une jolie nippone, de préférence sévissant chez les « Morning Musume » (photo ci-dessus), mais ce n’est pas désagréable, non. Exception faite des aspects vestimentaires, étant donné que minimum de respect pour mon enveloppe masculine ainsi que pour l’esthétisme, oblige, je me refuse à m’habiller en femme, ce qui me manque. Sinon, histoire de rester encore un peu sur mon corps d’homme, je me dis parfois que Vénusia devait ressentir la même chose que moi lorsqu’elle pilotait le module amphibie de Goldorak. Ce qui n’est pas une critique, bien au contraire. Un module corporel tel que le mien, en cas d’agression contre la femme que je suis, ça peut toujours être très utile. Et puis j’avoue pour conclure qu’étant le genre de Japonaise à aimer vivre mes expériences à fond, le fait d’apprendre à maîtriser un pénis, c’est assez bandant comme affaire. Quelle lesbienne n’en a jamais rêvé…
AmateraSIL
mardi 2 février 2010
Enfin la preuve que le régime des mollahs se prépare sérieusement à la guerre…
Oui des brebis. Alors que sous nos longitudes, on se prépare à la guerre en stockant du sucre et des pâtes, à l’évidence, en Iran, on s’y prépare en faisant provision de caprinés. Comment expliquer sinon la flambée du cours de du capriné qui enrichit scandaleusement des éleveurs arméniens et qui enrichira également les grossistes iraniens qui les stockent en attendant la guerre pour les revendre au prix fort, au marché noir. Pourquoi des caprinés, me demanderont les lecteurs peu au fait des mœurs de certains orientaux ? Et bien parce que dans la biquette, la brebis ou l’agneau, il y a à boire, à manger et à… comment vous dire… vous voyez quoi, enfin…
SILimalikoum
Une flambée soudaine des exportations de moutons arméniens vers l’Iran, observée depuis le printemps dernier, a considérablement fait augmenter le prix de l’agneau en Arménie, suscitant des craintes de diminution de bétail du cheptel arménien qui pourrait coûter cher aux agriculteurs.
Le ministre de l’Agriculture, Gerasim Alaverdian, a précisé mardi que l’Arménie a exporté quelque 117 000 moutons vers l’Iran et certains pays arabes en 2009, soit environ un cinquième du bétail du pays (…) Alaverdian a également annoncé que l’Arménie va bientôt commencer à exporter des bovins vivants vers l’Iran. (pour en savoir plus…)
lundi 1 février 2010
La soumission, une religion française (chez certains, c’est certain).
Preuve qu’impossible, n’est pas Français, voici la une du Libération de mardi dernier. Du Libération, que dis-je ? Du Soumis bien sûr, étant donné que Libé demeure à la liberté ce que la Pravda était à la vérité, une superbe blague, pleine de ce sens de l’absurde bien de chez nous.
Aussi donc, l’islam (traduction : soumission) serait une religion française. Sans doute depuis au moins la conversion d’Abdel-Klovis, n’est-ce pas, les historiens du quotidien Soumis n’étant pas certains de pouvoir remonter plus haut. Une prudence inutile puisque d’autres ne s’en privent pas. Aussi Jamel Debbouze, le nouveau phare intellectuel du quartier latin, prétend que l’islam est en Europe depuis 3000 ans. Au moins, au moins.
Du coup, il nous est très facile d’imaginer les prochains dossiers spéciaux de ce journal debbouzien, devenu une référence de la callahboration : la burqa un pur produit du stylisme français ; le halal un art gastronomique issu de nos terroirs ; la polygamie ou l’amour à la française ; la Sharia un héritage du droit romain ; nos ancêtres les musulmans ; découverte exceptionnelle, des traces de lapidations massives mises à jour à Carnac.
SILidim le Magnifique
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