100% d’accord avec l’article qui suit « Les hommes seraient-ils devenus de 'bons garçons' ? » (pas mal de constats de ce genre effectués autour de moi) et drôle d’époque aussi :
Une époque où le fait d’avoir la gentillesse pour mode normal de comportement est susceptible d’être perçu par certaines femmes comme une utile faiblesse (chose valable également du côté masculin), voire même un signe de domesticabilité ou en tout cas une invitation à un certain nombre d'abus…
Où toute forme de confiance en soi (élément parfaitement compatible avec la "gentillesse" du premier point) peut passer très vite pour de l’autoritarisme ou du machisme…
Où la sexualité tend à se vivre sous condition de soumission ("tu veux du sexe, fais donc d’abord la vaisselle" –imaginez qu’on leur sorte « tu veux de l’écoute, suce moi d’abord »-)…
Où beaucoup trop de femmes tendent à exiger tout et n'importe quoi ou tout et son contraire de leur fidèle compagnon…
Où au final les bonhommes ne sont plus des bonhommes mais d’aimables petits toutous pour femelles obsédées par le contrôle, obligés d’amputer une part toujours plus importante d’eux-mêmes ; de s’arracher les testicules et de les offrir sur un plateau en gage de respect de la femme…
jusqu’au jour où un naturel bien plus bridé que civilisé ou canalisé finit par revenir au galop… et tout emporter… faisant passer nos gamines, finalement tout aussi immatures que nos « bons garçons », de la rêverie au cauchemar. Alors heureuses ?
Une époque où le fait d’avoir la gentillesse pour mode normal de comportement est susceptible d’être perçu par certaines femmes comme une utile faiblesse (chose valable également du côté masculin), voire même un signe de domesticabilité ou en tout cas une invitation à un certain nombre d'abus…
Où toute forme de confiance en soi (élément parfaitement compatible avec la "gentillesse" du premier point) peut passer très vite pour de l’autoritarisme ou du machisme…
Où la sexualité tend à se vivre sous condition de soumission ("tu veux du sexe, fais donc d’abord la vaisselle" –imaginez qu’on leur sorte « tu veux de l’écoute, suce moi d’abord »-)…
Où beaucoup trop de femmes tendent à exiger tout et n'importe quoi ou tout et son contraire de leur fidèle compagnon…
Où au final les bonhommes ne sont plus des bonhommes mais d’aimables petits toutous pour femelles obsédées par le contrôle, obligés d’amputer une part toujours plus importante d’eux-mêmes ; de s’arracher les testicules et de les offrir sur un plateau en gage de respect de la femme…
jusqu’au jour où un naturel bien plus bridé que civilisé ou canalisé finit par revenir au galop… et tout emporter… faisant passer nos gamines, finalement tout aussi immatures que nos « bons garçons », de la rêverie au cauchemar. Alors heureuses ?
SILex Menn
Lire également : l'incontournable « du féminisme au gaminisme »… et le non moins excellent « dans féminisme il y a –isme ». Profitez-en c'est gratuit...
Et maintenant l'article : « Les hommes seraient-ils devenus de «bons garçons» ? » par Pascale Senk pour Le Figaro
Immatures, tendres, compagnons rêvés de femmes affirmées et débordantes d’énergie, les «mâles doux» seraient de plus en plus nombreux.
«Charmant, tendre, à l’écoute, plein d’humour et de fantaisie…» Quand elle décrit son dernier partenaire amoureux, Sophie ne tarit pas d’éloges. «Cet homme était absolument délicieux.» La jeune femme profita presque une année entière de cet être idéal, jusqu’au jour où, à quelques semaines de leur mariage, il est tout simplement parti, sans prévenir, ni même laisser un mot d’explication. Et n’a jamais plus donné aucune nouvelle. Sophie, deux ans après, en est encore bouleversée (pour en savoir plus...)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire