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vendredi 28 octobre 2011
Le texte misogyne le plus brillant de l’histoire (femmes je vous haime)
Après plus d’une semaine d’échauffements, il est temps d’offrir à ma belle sœur le texte dégoulinant de misogynie qu’elle m’a mis au défi de pondre. Ce que je ne ferais pas pour faire plaisir aux femelles de mon entourage, moi ? Allez, cocotte, le voici…
Nous sommes là, attablés autour d’un bon repas, commandé chez le traiteur du coin, vu que ces mesdames ont mieux à faire que de cuisiner, nous quichant amicalement mais néanmoins bruyamment la tête, pour la énième fois, sur une question relevant de la guerre des sexes, justement parce que je me suis étonné que ces dames n’aient pas daigné préparer un bon repas pour leurs bons hommes.
« C’est que j’ai besoin d’un minimum d’attentions délicates pour avoir envie de tout donner au lit, moi » ai-je eu le malheur de dire, sur un ton goguenard. Saillie suivie d’une « oh, ça va les beauferies, nous ne sommes pas nées avec une marmite entre les mains ».
J’ai failli répondre « avec un rouleau à pâtisserie, par contre », mais j’ai préféré atomiser le débat d'un « parce que nous, nous sommes nés avec une lance-roquettes dans une main et un fusil mitrailleur dans l’autre, peut-être ?» J’avais fait mon effet. Les mines se trouvaient toutes interloquées.
Ah ben oui, quand il s’agit de s’occuper des gamins, de préparer le repas, de nettoyer le nid, et autres occupations où les femmes excellent par spécialisation biologique, ça n’hésite pas à sortir le rouleau à pâtisserie rhétorique ou bien le genre de théories à la con comme celles du « gender », afin de s’y dérober. Par contre dès qu’il s’agit de guerre, d’aller à la baston, de défendre les intérêts des progénitures de ces dames, ou de protéger ces dernières à chaque fois qu’elles sèment la pagaille, et ce alors que nous aussi, nous préférons largement faire l’amour à faire la guerre, c’est marrant comme elles deviennent beaucoup plus conservatrices, et ce depuis le berceau.
C’est que j’ai fait le test. Alors que mon fiston a toujours accepté de jouer avec des poupées ou bien l’aspirateur, mes filles ont toujours refusé de toucher le lance missiles factice que je leur avais offert pour leurs un an. Etonnant, non ?
Non, logique ! L’homme est bel et bien le bras armé du Vagin. Un sous-con, quoi ! C’est comme ça. C’est la Nature qui l’a voulu. Les femmes foutent la merde, et nous, nous nous trucidons pour leurs beaux yeux.
Ce qui me fait dire que spécialisation, il y a. Observez donc autour de vous. Dans la droite ligne du paragraphe ci-dessus, Il est évident qu’en dehors de quelques trucs pénibles à faire, comme les courses, le ménage, le nursing (et encore, c’est bien moins pénible qu’elles ne le prétendent) et les repas, domaines par ailleurs ou nous savons exceller, la preuve étant que les grands chefs cuistots sont surtout des hommes, il est évident disais-je que les femmes préfèrent bavarder pendant que nous nous occupons des choses réellement chiantes (la guerre ou la chasse archaïque comme moderne) ou exigeant une réelle autonomie d’exécution (l’artisanat, l’ingénierie…). Le tout en l’assumant ou sans venir nous plaindre toutes les cinq minutes.
Et si je parle de « bavardage », ce n’est pas par hasard mais par logique biologique. Cette cavité avec sa partie érectile qui procure à la femme tant de plaisir, un plaisir à l’évidence proche du clitoridien, participe bien de ses attributs fondamentaux.
L’une des preuves les plus irréfutables ne réside-t-elle pas dans le fait que l’homme véritable aime faire plutôt que parler, alors que la femme typique préfère exactement l’inverse. N’entend-on pas d’ailleurs souvent chez les femmes un très classique « moi je dis, toi tu fais ». Ce qui explique par ailleurs leurs parcours professionnels, y compris actuels.
Dans le secteur privé : une présence plutôt rare dans l’exécution autonome mais beaucoup plus importante dans le consulting, le management ou la communication. Dans le secteur public : tout secteur et tout niveau de responsabilité vu que l’exécution importe beaucoup moins que les discussions oiseuses. La preuve ultime étant à observer dans le domaine militaire où pour commander, il faut avoir démontré sa capacité d’exécution, ce qui n’est pas leur cas. Aussi leur présence est invisible aux postes de commandement, mais étrangement, se fait sentir dans les domaines attachés à la communication. Etonnant, non ?
Comme vous l’avez déjà compris par vous mêmes, pas vraiment. Les principaux organes de la femme, comme sa raison d’être, sont gouvernés par la vacuité, alors que celle et ceux de l’homme sont tournés vers le comblement :
Vide de la pensée (la plupart des prix Nobels ou des penseurs sont masculins) ; aridité dans le domaine de la créativité (la majorité des grandes réalisations humaines est le fait des hommes) ; vide affectif puisque toujours en demande jusqu’à enfanter pour tenter de combler ce vide ; manque en matière de réalisations car s’agitant en permanence dans tous les sens histoire de brasser du vide ; vide de satisfaction puisque courant d’un besoin à un autre, d’une envie à une autre, d’un bien à un autre, sans jamais se trouver satisfaite. Voilà pourquoi elles donnent l’impression de faire tant de choses, alors que tout ça n’est au mieux que du vent, au pire que du vide.
Or comme la nature masculine a horreur du vide, l’homme tente de combler, dans tous les domaines, les creux de la femme. C’est marrant d’ailleurs, comme il les choisit souvent les plus vides possibles, ou du moins plus vides que lui, intellectuellement, matériellement, etc. A tel point qu’il préférera souvent aux femmes lumineuses, de véritables trous noirs, blonds ou bruns, avaleurs d’astres en tout genre, ne laissant rien derrière eux, ou plutôt elles, à part du néant…
« Comblée, je suis comblée (jamais bien longtemps) » n’est-il pas l’un des leitmotivs de la femme ?
Histoire de conclure, je dirais que c’est sans doute pour toutes ces raisons que je préfère les femmes solaires aux grands trous noirs. Car elles existent. Elles sont rares mais elles sont là. Peut-être est-ce mon côté féminin qui ressent ainsi le besoin d’être comblé lui aussi. Ou bien mon goût pour l’échange, la complémentarité, le yin yang, le 69, la jouissance partagée, car au fond il n’y a rien de tel que l’échange. Et puis, finalement, ce sport extrême qu’est l’appel du vide, avec l’âge, il finit par lasser, pas vous ?
Un réquisitoire signé Silcéron,
Spécialement dédicacé à A.L. : alors belle-sœur, heureuse ? :-)
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