mardi 17 juillet 2012

Tranche de vie hollandaise : réunion à G8 clos



Angela Merkel : François, si tu as quelque chose à me dire, tu me le dis en face, d’accord ! Allez, un peu de courage, einmal !
François Hollande : J’ai déjà dit que je ne serai pas le président de l’austérité et de l’égoïsme, mais celui de la croissance et de la solidarité entre pays européens.
Angela Merkel : Ja, le président de la croissance de la dette, et de la solidarité avec mon chéquier…

Conseiller de François Hollande : Monsieur le Président, et si nous plaidions en faveur d’une déclaration de principes autour de ces questions.
François Hollande : Bonne idée ! Nous pourrons ainsi afficher notre réussite, et faire reposer sur les récalcitrants la responsabilité d’un éventuel échec futur.

David Cameron : Pour ma part, je ne reviendrai pas sur le fait qu’il est hors de question que la Grande Bretagne dépense le moindre penny pour supporter les Grecs ou pour endetter le pays. I want my money back ou plutôt in my pocket !
Barack Obama : Pense à l’avenir du monde libre, David. Il n’en va pas seulement du sort de la Grèce.
David Cameron : justement, n’en déplaise à ton sort personnel, j’y pense tous les jours, au sort du monde libre…

Dmitri Medvedev : (ouh là là, si Obama se lève pour peser sur la négociation, il faut que j’en fasse de même ; il en va de la grandeur de la Russie. A la une, à la deux, à la…)

Yoshihiko Noda : (je ne comprends strictement rien à leur histoire de Grèce. Renseignons-nous). Qu’en pensez-vous cher Monsieur Monti ?
Mario Monti : Que je vous remercie infiniment, cher monsieur Noda, de me permettre de reprendre vos notes. J’ai un peu de mal à suivre. Sans doute le fait du repas de midi…

José Manuel Barroso : t’en penses quoi, de tout ça, Herman ?
Herman Van Rompuy : Que j’ai un poil dans la main qui me démange horriblement. Ça m’arrive de plus en plus souvent. T’as pas un truc contre ça ?
José Manuel Barroso : l’épilation à la pince. Le problème c’est que je fais parfois des furoncles après l’épilation…

SILarose l’important

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