BLOG RADICALEMENT DEMOCRATE, POLITIQUE, COSMIQUE, SARDONIQUE, VOYAGEUR ET VULGAIRE, PARAISSANT TRÈS SOUVENT ET S'INSPIRANT DE L'ESPRIT D'UN TEMPS OÙ LE REPUBLICAIN SAVAIT ENCORE JOUER DE SES TUBES SEMINIFERES...
mardi 31 janvier 2012
Psychanalyse sauvage : François Hollande et son complexe d’Œdipe
Il parait que nos amis gauchos avaient beaucoup aimé les psychanalyses sauvages auxquelles se livrait, entre autres, le journal Marianne sur le candidat Sarkozy en 2007. Aussi, j’ai décidé de leur en offrir une petite analyse du candidat socialiste 2012. A ceci près que la mienne sera très second degré. C’est que je ne voudrais pas me voir condamné pour exercice illégal de la pseudo-médecine. D’ailleurs, histoire de pousser le délire jusqu’au bout, je vous conseille de lire cette psychanalyse sauvage avec l’accent d’un Freudien argentin (ils y pullulent).
Mais tout d’abord je tiens à remercier François Hollande de nous avoir offert un très entrainant discours, au Bourget, le 22 janvier dernier, au cours duquel il se livra corps et âme au peuple de gauche. Goutez-moi ça :
« Je suis socialiste. La Gauche, je ne l’ai pas reçue en héritage. Il m’a fallu décider lucidement d’aller vers elle. J’ai grandi en Normandie dans une famille plutôt conservatrice. Mais cette famille m’a donné la liberté de choisir, par son éducation. Je remercie mes parents. Mon père, parce qu’il avait des idées contraires aux miennes et qu’il m’a aidé à affirmer mes convictions. Ma mère, parce qu’elle avait l’âme généreuse et qu’elle m’a transmis ce qu’il est de plus beau : l’ambition d’être utile. »
Merci car je comprends mieux. Contrairement à son programme nébuleux, s’agissant de lui tout s’éclaire.
Voilà à l’évidence un petit gars qui non seulement s’est cherché une nouvelle famille « la gauche », un nouveau père « François Mitterrand », et qui montre également qu’il n’a toujours pas résolu son Oedipe, à cause d’un père aussi inaccessible par son autoritarisme qu’absent par ses activités de médecin, d’investisseur ou de militant politique d’extrême-droite, et une mère aussi présente qu’ambiguë puisque préférant à la liberté, la préservation d’un train de vie bourgeois que lui assurait son ambitieux mari.
Ce qui nous permet de mieux comprendre pourquoi François Hollande déteste tout ce qui personnifie ce père, la richesse, l’esprit d’entreprise, la finance.
Devenir président est donc pour lui une façon symbolique de tuer cette image du père, de devenir plus puissant que lui grâce à la puissance publique, d’incarner enfin ce père inaccessible, bref de résoudre son Œdipe.
Mais aussi une façon de répondre à attentes de sa mère : qu’il remplace son père à la tête de la famille (ici nationale) afin que les gentilles et généreuses mamans catholiques de gauche puissent dépenser l’argent des riches bourgeois sans compter, sans avoir à se battre contre le Trésor Privé du « père » et lui rendre compte de tout. Ce qui m’amène à craindre le pire pour le Trésor Public en cas de victoire de ce fifils à sa maman.
Ce qui nous permet de mieux comprendre également son idylle avec Ségolène Royal. « L’amour ce sont deux névroses qui se comprennent » affirmait Sigmund Freud. Tous deux aux prises avec le même type d’image paternelle, il est vrai qu’ils avaient tout pour se comprendre. Tout, tant que Ségolène n’envisageait pas le même type de thérapie, à savoir, remplacer le père, l’incarner au sommet de l’Etat. L’ayant fait, et ayant même dégainé la première, elle sabotait toute chance de guérison, lui imposant même une seconde castration impossible à supporter.
Réussira-t-il ? Peut-être, ou peut-être pas tout de suite. Au fond, il n’est pas encore prêt. Il lui faut encore passer par le stade où il fera totalement sien le nom du père, intégrant à sa personnalité, sans chercher à les fuir, les éléments, expurgés de leurs excès pathologiques, du discours et du comportement paternel.
Un peu d’autorité assumée, de réel respect pour la France, pour l’esprit d’entreprise, la richesse et pour la rigueur budgétaire, seraient nécessaires au candidat Hollande et surtout à notre pays, non ?
SILgmund Freud
Addendum sérieux : au-delà du fait qu’un père qui serait communément décrit à gauche comme « fasciste » se trouve qualifié par François Hollande de banalement « conservateur », un tel portrait de famille me rend le François bien sympathique.
Etre parvenu à s’affirmer face à ce genre de père, sans verser dans un extrémisme inverse, gardant même un sens de la mesure et du raisonnable, et préservant une forme de filiation, est plutôt une belle réussite.
Sa maman a dû également faire preuve d’abnégation, de pas mal de courage, d’intelligence et de générosité, afin d’éviter que la structure familiale ne vole en éclats, et que l’avenir de ses garçons ne soit compromis.
On devine facilement d’où lui vient le sens de la synthèse. Bravo Madame Hollande.
lundi 30 janvier 2012
« Vers l’infini et au-delà »
Au rayon « l’espace, le seul avenir de l’espèce », voici quelques bonnes nouvelles :
La NASA et la DARPA, une agence du département de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et développement, relancent avec une nouvelle direction leur grand programme séculaire visant à mobiliser les secteurs public et privé autour de la conquête spatiale et le voyage interstellaire : le projet « 100 year Starship Project », soit un siècle pour envoyer des humains vers un autre système solaire…
Le Candidat republicain Newt Gingrich promet aux Américains, en cas de victoire, de faire de la Lune le 51e Etat des USA, ou du moins d’y installer une base lunaire. De quoi relancer le programme « constellation » initié par GW Bush, et contrecarrer les projets chinois visant à faire de la Lune une province chinoise…
Han SILo
dimanche 29 janvier 2012
la fièvre du samedi soir : L’internationale death metal
Ah mes amis, quel bonheur ! Et dire que je désespérais de découvrir le parfait écrin musical pour ce texte particulièrement violent, trash, hardcore jusqu’à la mort, mais à l’immense portée philosophique, qu’est « l’internationale ».
Voici que je l’ai trouvé dans le style le plus parfaitement adapté. Celui du death metal.
Ben oui, le black metal c’est beaucoup trop froid, pas assez complexe d’un point de vue narratif et rythmique. Le death metal, lui, est beaucoup plus total. Voilà une bonne chose de faite. Je vous laisse apprécier ce pur bijou musical. Quel régal ! Un véritable baume pour les oreilles mais aussi pour l’âme…
SILalutte finale
samedi 28 janvier 2012
Miss Dior j’adore
Un grand bravo et merci à la maison Dior pour avoir réussi à réunir sous le même toit, à mon humble avis, sans doute la plus impériale des déesses blondes, en la personne de Charlize Theron, et la plus divine des reines brunes, avec Nathalie Portman…
Par contre, il aurait été de bon ton d’éviter la faute de gout suivante…
vendredi 27 janvier 2012
La prophétie Star Trek : paiement par Cheikhs accepté
Un ami Franc-maçon un brin taquin m’interpelle « c’est quoi ces conneries ! Alors comme ça le républicain que tu es ose manifester son amour pour Mohammed VI, un monarque décomplexé, et oriental de surcroit. Ça ne va pas bien la tête ? Tu veux qu’on te la tranche ?!?»
« Sans doute mon côté Grand-Orient » que je lui réponds. Insatisfait par ma remarque, il me somme de m’expliquer. Je décide alors de lui en donner pour son sectarisme avec l’une de mes petites explications maison…
Disons tout d’abord qu’il s’agit de rendre hommage, de cette façon, à mon sang arabo-berbère. Je n’ai pas fait de recherches génétiques sur ce terrain mais je suis certain que le brave Galicien celtibère que je suis en est pourvu. De toute façon, mes copines marocaines m’ont toujours soutenu que bien bronzé, je faisais un Arabo-berbère aussi beau que crédible. Sans compter que la guerre, ça a toujours rapproché les peuples. Et vas-y que tu violes mon arrière grand-mère, et vas-y que je rapte ton arrière grand-tante. Or ce ne sont pas les razzias et les guerres entre nous qui ont manqué. Plus de dix siècles de confrontions, c’est suffisamment long pour rendre Ibères et Arabo-berbères particulièrement proches.
Deuzio, même si je n’ai absolument rien contre le fait de me faire anoblir par la reine d’Angleterre, je trouve cela suffisamment désuet et peu original pour préférer me faire adouber par le roi ou mieux encore par la reine du Maroc. Après tout, niveau classe et fortune, les deux monarchies se valent de plus en plus.
Mais surtout, histoire de ne rien vous cacher, j’ai promis à ma bonne étoile de faire mentir la prophétie Star Trek qui menace mes cousins arabo-berbères. Celle qui pose le postulat suivant :
« Alors qu’il y a des Jaunes, des Noirs, des Caucasiens, des Vulcains, et j’en passe, pourquoi n’y-t-il aucun Arabe à bord de l'USS Entreprise ? Parce qu’il n’y aura plus d’Arabes dans le futur ! »
Une prophétie, et c’est là mon angoisse, qui se fait chaque jour plus palpable, au fur et à mesure que le monde arabo-islamique s’enfonce dans l’âge de pierre islamiste, pendant que de notre côté nous nous apprêtons à coloniser l’espace.
Par conséquent voilà également pourquoi je m’attaque aussi résolument à la principale menace qui pèse sur l’avenir de mes cousins, tout en misant sur l’intelligence des souverains marocains.
Ça mérite un petit anoblissement, tout ça, non ?
Cheikh (bientôt) SILidim le Magnifique
jeudi 26 janvier 2012
Salon du Bourget : l’A380 avait un coup dans l’aile
Le 19 juin 2011, alors que le salon du Bourget ouvrait ses portes, Airbus s’est retrouvé dans l’incapacité d’effectuer toute démonstration de son nouveau gros porteur. En effet, l’A380 de démonstration a été endommagé après une erreur de manœuvre qui a provoqué des dégâts sur l’aile droite.
Après une longue enquête, nous sommes en mesure de vous révéler les dessous de l’affaire…
Une enquête qui m’a conduit à cuisiner au court-bouillon le pilote dans une baignoire. Rien n’y a fait. Il a refusé de cracher le morceau. Ce n’est pas faute de lui avoir maintenu la tête sous l’eau.
Enfin, j’ai eu plus de chance avec les vidéos de surveillance du salon du Bourget que j’ai réussi à faire parler. L’image ci-dessus en est extraite. Elle expose on ne peut plus clairement la cause de l’accident.
Ce qui m’amène à vous présenter Mademoiselle Charlotte Blackwood, alias Marina Raskova lorsqu’elle officiait au sein du KGB, avant de se mettre au service du complexe militaro-industriel américain qui fait rien qu’à saboter nos chances d’inonder le marché avec ce fleuron de notre industrie aéronautique. Salauds !
Thierry MeysSIL
mercredi 25 janvier 2012
Satanés Anonymous
Nous y voila, le Republicoin a subi sa première attaque. Comme vous avez pu le constater, je suis resté plus de 24 heures sans l’ouvrir. Ce qui en l’absence d’une raison importante est une chose tout bonnement impensable. La raison est que moi aussi, je viens de subir mon premier acte de piraterie numérique. C’est ballot n’est-ce pas ?
Par contre je suis tellement unique en mon genre que cette attaque a revêtu une forme originale. Je n’ai été victime que de ma naïveté en matière informatique. Ce qui m’a flingué deux machines tout de même.
Ma machine n°1 parce que je ne faisais confiance depuis plus de 15 ans qu’à mon bon vieux Windows 3.1. Celui qui tenait sur 10 disquettes et qui tournait sur mon PC « vintage » équipé à ce jour du même processeur. Un Pentium II tournant à 400 mhz. Une relique qui ronronnait dans mon garage jusqu’à ce qu’il plante et que j’apprenne que mes crétins de gamins avaient jeté les précieuses disquettes à la poubelle. Mes korrigans ignorant tout de cette ancienne technologie. À quand des cours d’histoire électronique dispensés dés l’école primaire ?!?
La machine n°2, mon ordinateur dédié à Internet, je l’ai perdue peu de temps après en surfant sur des sites pornographiques russes. Décidemment la Russie, y compris numérique, n’est pas sans dangers. Méfiez-vous en tous cas des sites de cul russes. Déconnez pas ! On y attrape des saloperies russes, blondes ou rousses. Des virusses écrits en cyrillique, qui pour le coup sont plus difficilement décodables. À quand les capotes numériques ?
C’est d’ailleurs en cherchant à déveroller ma machine que j’ai dramatiquement accentué le problème.
Alors que je cherchais un antivirusse, pirate, bien sûr, j’ai téléchargé chez la nouvelle plateforme russe des Anonymous ce que je croyais être une version cyrillique de Norton Antivirus™. Allez comprendre toutes les subtilités du cyrillique, vous !
Au fait, il s’agissait de Nortjon Viruslava. Sans le savoir, j'avais téléchargé d’un seul coup les 93 875 virus numériques existants sur Terre. Une horreur. Ma machine passa par toutes les couleurs disponibles chez les Imac™ de première génération et finit par dégobiller des violents jets de bave siliceuse par les ports USB du clavier.
Mon informaticien de frangin m’annonça que le pronostic vital était compromis, qu’il allait falloir que je sois fort, très fort, sauf à espérer que les virusses se bouffent entre eux. J’ai donc mis, la mort dans l’âme comme dans le Bios, mon Imac™ « strawbery » surnommé « Fraise », en quarantaine. Ses gémissements nocturnes sont toutefois assez difficiles à supporter. Ma pauvre petite bécane chérie ! Sniff !
Heureusement que je suis complètement parano et qu’il me reste en permanence 3 autres ordinateurs à disposition. Un qui tourne sous Linux. Un autre fonctionnant sous mon propre système d’exploitation écrit en langage social-libéral ainsi qu’un dernier.
Mon vieil Amstrad CPC 464. Celui dont les logiciels sont sur cassette audio. Des logiciels qui nécessitent vingt bonnes minutes de cuisson avant de délivrer un Menu à l’écran. Temps de cuisson numérique capable de venir à bout de tout miasme électronique mais d'expliquer aussi mon retard en matière de postage de billets.
Bref, les pirates de toute espèce, chinoise y compris, peuvent toujours essayer de m’assaillir. J’aurais toujours de quoi numériser ma pensée. Et coté hébergement, je suis capable de faire au moins aussi bien que les Anonymous puisque parmi toutes les possibilités s’offrant nues à moi, je dispose de deux, trois bonnes coquines, oups, copines russes toujours prêtes à héberger tout ce qui émane de moi. Que vive la grande et éternelle Russie. Da svidaniya Tovaritch !
SIL ancien agent virusse.
mardi 24 janvier 2012
lundi 23 janvier 2012
Egypte : allah jacta est
Chroniques d’une zombification annoncée, depuis le début... Et maintenant, au suivant !
Les islamistes remportent les législatives en Égypte
Leur victoire est écrasante. Les islamistes égyptiens ont remporté plus de deux tiers des sièges de députés, dont près de la moitié pour les seuls Frères musulmans, selon les résultats officiels de la première élection depuis la chute du président Hosni Moubarak, diffusés samedi.
(…) Le futur Parlement sera chargé de désigner une commission qui rédigera une nouvelle Constitution. (pour en savoir plus…)
NDLR : Oh la belle constitution zombislamique qui s'annonce...
SILovecraft
dimanche 22 janvier 2012
Comme une envie de sentimentalisme hard metal : « Poison » d’Alice Cooper
Pauvres jeunes d’aujourd’hui. Dire qu’aucun de leurs groupes préférés se trouve en mesure de leur offrir des balades sentimentales telles que nos groupes de heavy metal d’antan étaient capables de nous chanter. Ah, les années 80…
Allez les djeuns, goutez-moi ce « poison » d’Alice Cooper. Ça déchire, n’est-ce pas ? Comment oublier également ce fameux « Feed my Frankenstein, hungry for love »…
Comment chérie ? T’as sorti du frigo la petite fiole millésimée ! OK, j’arrive…
« Ton stratagème si cruel ; ton sang comme de la glace ; un seul regard peut tuer ; Ma douleur, ton frisson…
Je veux t'aimer mais je ferais mieux de ne pas te toucher ; je veux t’enlacer mais mes sens me disent d'arrêter ; je veux t'embrasser mais je le désire beaucoup trop ; je veux te goûter mais tes lèvres sont un poison venimeux ; tu es du poison coulant dans mes veines ; tu es du poison, je ne veux pas briser ces chaines…
Ta bouche, si chaude ; ta toile, je suis piégé ; ta peau, si moite ; un glaçon noir sur d’la sueur…
Je t'entends appeler et ça me transperce ; j’aimerais te blesser juste pour t'entendre crier mon nom ; je ne veux pas te toucher mais je t'ai dans la peau ; je veux t'embrasser mais tes lèvres sont un poison venimeux ; tu es du poison coulant dans mes veines ; tu es du poison, je ne veux pas briser ces chaines ; du poison… »
aSIL Cooper
samedi 21 janvier 2012
Muhammad Hussein, le Mufti de l’Autorité Palestinienne appelle à l'extermination des Juifs
PA Mufti calls for the killing of Jews quoting Islamic Hadith from Palestinian Media Watch on Vimeo.
La semaine dernière, lors d’un événement célébrant le 47e anniversaire de la création du Fatah, le Mufti Muhammad Hussein, soit la plus haute autorité religieuse palestinienne, a présenté le meurtre des Juifs par les musulmans comme un objectif religieux de l’islam en citant le hadith des Juifs des pierres et de l’arbre où Mahomet appelait à leur massacre.
Un discours qui a été retransmis sur PA TV la chaîne de télévision de l’Autorité Palestinienne.
Le présentateur : « Notre guerre avec les descendants des singes et des porcs (à savoir, les Juifs) est une guerre de religion et de foi. Longue vie au Fatah ! J’invite notre honorable Cheikh. »
Le Mufti Muhammad Hussein:
« Il y a 47 ans la révolution a commencé. Quelle révolution ? La révolution moderne de l’histoire du peuple palestinien. En fait, la Palestine dans son intégralité est une révolution, puisque le calife Omar est venu conquérir Jérusalem, en 637, et ça continue aujourd’hui, et ce jusqu’à la fin des temps.
En effet le hadith fiable (propos attribués à Mahomet), dans deux recueils de Boukhari et Mouslim affirme que ‘L’Heure de la Résurrection ne viendra pas tant que vous n’aurez pas défait les Juifs. Ce jour-là les Juifs se cacheront derrière les pierres ou les arbres mais même les pierres et les arbres, à l’exception du gharqad qui restera silencieux, les dénonceront et appelleront : Ô Musulman, serviteur d’Allah, il y a un Juif derrière moi, viens le tuer’. »
Ah l’islam, cette religion d’Amour, de Tolérance et de Paix, n’est-ce pas ?
Bien évidemment, ni couverture de cette information capitale (c’est le cas de le dire) par nos médias de masse, ni indignation chez nos indignés professionnels, ou de condamnation par les autorités Onusiennes, Européennes, du Quai d’Orsay, etc.
Signalons en passant que cette Autorité Palestinienne de merde, son salopard de Mufti et ses médias pourris sont financés en très grande partie par le contribuable européen. Nous voilà par conséquent des complices de cette ignominie…
SILomon (sources : ici, ici et là)
Addendum du dimanche 22 janvier : Appel à l’extermination des Juifs, réaction du gouvernement israélien et lâcheté de ce salopard de mufti palestinien "C’est pas moi qui incite à tuer les juifs, c’est Mahomet"
vendredi 20 janvier 2012
Psychiatrie religieuse amusante : Le Cri de Mahomet (mallahdie mentale)
jeudi 19 janvier 2012
Au rayon psycauses politiques : pourquoi la tyrannie est-elle consubstantielle au marxisme ?
« Pourquoi rends-tu communisme synonyme de tyrannie ? Le communisme ce n’est pas ça enfin » me dit l’autre jour un ami militant.
Etant du genre ouvert et large d’esprit je lui réponds « allez, sans même prendre l’exemple du stalinisme, cite-moi donc un seul pays ayant expérimenté le communisme, ce qui ne manque pas, et où celui-ci n’a pas été synonyme de tyrannie ».
« Ah, bah, euh, en tout cas, le communisme ce n’est pas ça ! » qu’il me répond.
« Et bien puisque tu sembles avoir du mal avec le communisme réel et que tu préfères te refugier dans le communisme théorique ou rêvé, explique moi par quels moyens autres que ceux propres à un Etat fort, pour utiliser un euphémisme, tu mets en place puis assures la collectivisation des moyens de production ainsi que la spoliation de toute propriété privée ? »
Un ange passe, ou plutôt toute une légion…
Cette question, mise à part, c’est tout de même marrant de constater, et ce alors que pas mal de marxistes seraient des sociologues de talent, des psychanalystes de génie, ou des anthropologues de renom, à quel point un communiste est incapable de percuter pourquoi le délire marxiste ne peut que finir en tyrannie.
Pour la bonne et simple raison qu’à la différence d’un Libéral, qui ne travaillera jamais à l’établissement d’un système parfait mais œuvrera plutôt à corriger les problèmes générés par les très chaotiques (au sens pour le meilleur comme pour le pire) activités humaines, un marxiste est un être suffisamment mégalomane et dingue pour espérer bâtir, justement, un système parfait.
Or un individu motivé par une telle démarche ne peut que finir, tôt ou tard, par se dire que ce modèle parfait, c’est lui qui le porte, en tout cas suffisamment plus que ses autres camarades pour chercher à devenir l’architecte suprême du système en question.
N’est-ce pas d’ailleurs ce que l’on peut observer dans toutes les chapelles marxistes sans exception : concours du meilleur ou du seul vrai marxiste ; luttes entre différents courants ; mise à l’écart de certains d’entre eux ; autres logiques d’exclusion ; accaparement des outils institutionnels du parti au bénéfice d’un courant ; conciliabules secrets bien qu’interdits ; phénomènes de personnalités emblématiques ; délires égotistes et mégalomanes, etc.
SILalutte finale
mercredi 18 janvier 2012
Au rayon crevures impénitentes : de quoi Alain Badiou est-il le nom ?
1) L’aveuglement des intellectuels face au génocide khmer rouge Par Pierre-Emmanuel Dauzat (L’Express)
Le « ministère de la vérité » dévolu à L’Humanité empêchait de voir et de dire ce qui allait se produire. Mais les « idiots utiles » dont parlait Lénine se trouvaient aussi bien chez les « intellectuels » que dans les pouvoirs publics.
(...) le philosophe Alain Badiou publiera quelques mois plus tard dans Le Monde un « Kampuchéa vaincra ! » dénonçant dans le Cambodge « libéré » par les Vietnamiens une tentative en cours de « solution finale » (sic) tandis que Chomsky ne craindra pas d’attribuer l’essentiel des morts… à l’impérialisme de son pays (les USA) en qualifiant le génocide khmer "d’éclairé". (pour en savoir plus...)
2) Alain Badiou, maoïste médiatique Par Sylvain Boulouque dans Le Nouvelobs
Il était encore mardi soir sur France 3, invité de Frédéric Taddéï à « Ce soir où jamais ». Depuis quelques années, Alain Badiou, ancien professeur à l’Ecole normale supérieure, est devenu une des principales figures de la gauche radicale. Son itinéraire scolaire et universitaire ressemble jusqu’à la caricature aux publications de Pierre Bourdieu : la Reproduction et la Noblesse d’État. Ce normalien est lui-même fils d’un normalien professeur de mathématiques et maire socialiste de Toulouse à la Libération.
Alain Badiou, après un passage par le socialisme, rejoint les groupuscules maoïstes dont il devient et reste animateurs en vue. Son audience reste longtemps limitée au petit cénacle des philosophes gravitant de l’Université de Vincennes dans les années 1970 à la rue d’Ulm dans les années 1990 –où il dirige le centre international de philosophie– et au micro-milieu militant.
Cependant, il possède quelque pouvoir dans le monde de l’édition en dirigeant une collection philosophique aux éditions du Seuil, puis chez Fayard, lui permettant d’offrir des débouchés à certains de ses épigones. (pour en savoir plus...)
3) DOCUMENT: « KAMPUCHEA VAINCRA ! » Tribune libre par Alain Badiou, publiée par le journal « Le Monde » du 17/1/79.
L’INVASION du Cambodge par cent vingt mille Vietnamiens avec chars et aviation de bombardement ; l’installation à Phnom-Penh de » dirigeants » tirés des bagages de l’envahisseur : prendre position sur ces faits engage, à notre avis, des questions essentielles.
A supposer que l’inertie l’emporte, qu’aucun courant d’opinion mondial ne se lève dans le scandale et dans l’action, un pas décisif serait fait vers la violation sans détour du droit des peuples à exister, du droit des nations à voir leurs frontières garanties et leur sécurité internationale reconnue. Aller régler les problèmes politiques du voisin à grands coups de division blindées serait désormais chose normale. (pour en savoir plus...)
mardi 17 janvier 2012
Jouer avec le feu islamiste (my Marocking)
Je suis certain que mon bon roi Mohammed VI sait ce que l’on dit des islamistes, « qu’ils ont le souffle long pour la bonne raison qu’ils ont l’éternité devant eux, ce qui leur laisse le temps de travailler une société en profondeur depuis leurs mosquées ».
Je sais aussi, que de laisser les islamistes gouverner peut être une bonne façon de les discréditer, un peu comme François Mitterrand l’avait fait en laissant entrer les communistes dans son gouvernement.
Cependant, je n’en demeure pas moins inquiet, pour les raisons suivantes.
Les islamistes n’assumeront aucun échec ou réelle responsabilité. Dans leur grille de lecture paranoïaque du monde, tout est toujours de la faute des autres, de la menace infidèle à l’extérieur et de la mécréance à l’intérieur, ce qui leur fera dire que l’islamisme ne peut pécher que par manque d’islamisme.
Et surtout, ils ont effectivement pas mal de temps devant eux. Ils peuvent ainsi continuer de travailler la société en profondeur, de semer les graines d’un mauvais coton qui de fil en aiguille deviendra du voile sur la tête des femmes. Il parait qu’ils poussent déjà au Maroc comme des champignons.
Au final, tout ne peut être que bénéfique pour eux. Si les islamistes « modérés » du PJD échouent, ils ont des excuses toutes trouvées. Si on leur fait des misères, ils se victimiseront. S’ils se font déborder par des radicaux, ils ne passeront pas pour traitres vu qu’il leur suffira de prétendre qu’ils auront préparé le terrain.
Aussi, il ne reste plus à mon bon roi Mohammed VI qu’à savoir se montrer « plus islamiste que les islamistes » en préservant son statut de commandeur des croyants, à leur mettre suffisamment de bâtons dans les roues pour freiner leur progression, et à travailler lui aussi la société marocaine en profondeur.
En faisant émerger une classe moyenne tournée vers le développement et la modernité, capable de percevoir l’intérêt de conserver un roi comme rempart contre la tyrannie. Et surtout faire émerger une génération de femmes jalouses de leur liberté et autonomie.
Car, au fond, la réelle défaite des islamistes ne pourra venir que des femmes, vu que le développement économique est parfaitement compatible avec l’obscurantisme islamique. La très riche péninsule arabique en est le parfait exemple.
Une chose que la très intelligente et belle Sheikha Mozah a parfaitement compris…
SILidim le Magnifique
lundi 16 janvier 2012
PS : pendant ce temps-là au Parti Shadok, on pompait…
dimanche 15 janvier 2012
Mes très résolues résolutions pour 2012
Les récits mythiques anciens abordent parfois ces moments de lassitude que rencontrent bien des héros, ces moments où ils en ont marre de recevoir sur la nuque des cascades entières de conneries bien humaines. Grands dieux ce que je les comprends car je connais ça, moi aussi, parfois. Cependant cela ne dure jamais bien longtemps car en bon chevalier du dragon, un entraînement particulièrement poussé a fait de votre serviteur l’un des rares héros à espérer pouvoir inverser un jour le cours d’une cascade niagaresque. Mais si ! Mais si !
C’est ainsi que je poursuivrai tous les jours mon entraînement, en continuant à me disputer avec les tenants des idéologies les plus funestes que l’esprit humain a su créer ; avec tous ces gens un peu rouges, verts ou bruns, qui tachent tout ce qu’ils touchent ; avec tous ces frustrés de révolutionnaires à deux balles, très souvent collés aux radiateurs d’une fonction publique ou semi-privée, juste bons à destiner les autres au casse-pipe, tous ces jean-foutre de bourgeois médiocres aussi idiots qu’inutiles qui ne savent rien faire d’autre qu’inviter les gosses de l’immigration ou du petit peuple d’ici à vomir sur ce pays, ses valeurs, ses réussites et les acteurs de celles-ci, des mauvais conseils qui n’ont jamais aidé quiconque à s’intégrer ou à se hisser socialement.
C’est ainsi également que je continuerai de recevoir sur la nuque des cascades de leçons de morale par des dépravés ; des leçons de vie par des irresponsables même pas foutus de s’occuper d’eux-mêmes ; des leçons d’éducation par des immatures qui ne veulent pas d’enfants ; des cours de grandeur par des foutriquets, de courage par des couards ou de solidarité par des petits égoïstes qui vont jusqu’à se briquer le nombril en ânonnant le mot « gauche » à longueur de journée ; mais encore d’intelligence par des demeurés chez qui l’imagination tient lieu de réflexion et l’opinion d’imagination (un beau bordel) ; et pour finir, de créativité par des gens totalement stériles ; par des gens qui ne savent faire les choses qu’avec le muscle stylo-glosse, le seul outil dont ils disposent…
Comble de l’obstination, je me coltinerai même ceux, qui par je ne sais quel prodige, parviennent à être tout cela à la fois. Si, si, j’en connais.
Allez « Rozan Sho Ryû Ha »
SILryu en stage du côté d’Iguaçu
samedi 14 janvier 2012
Embrasser avec la langue (portugaise)
Et voilà, il aura suffi que j’affirme dans mon billet hommage à l’actrice portugaise Daniela Ruah que le portugais est une langue peu sexy pour que la fédération franco portugaise de bouffeurs de cabillaud me tombe sur le paletot. Ce qu’ils peuvent être susceptibles tous ces braiseurs de sardines.
Ce qui ne m’incitera en rien à les caresser dans le sens du poil. Car une chose est certaine, si l’italien, le brésilien, et même le castillan sont des langues affriolantes, le portugais est aussi émoustillant que l’arménien, le kurde ou le tchétchène. Impossible d’emballer quoi que ce soit d’autre que de la friture lusitanienne quand on drague en portugais.
Encore que je me suis montré nuancé en indiquant que cela dépend de qui le parle, certains timbres de voix parvenant à rendre le portugais séduisant. Voici trois chanteurs qui y parviennent très bien…
Voici pour commencer Pedro Abrunhosa avec son « tudo o que eu te dou » ( tout ce que je te donne). En 1994, Pedro Abrunhosa lance une bombe musicale, « viagens » (voyages). Un album jazzy, funky, aux textes généreux, aussi sexys que tendres, où rien n’est à jeter et qui marquera les esprits avec des chansons telles que « nao posso mais » (refrain : je ne peux plus rester ainsi, penser à toi, sans t’avoir tout contre moi) ou « socorro » (refrain : Au secours, je tombe amoureux, il m’est impossible de résister à autant de charme). La toute dernière de l’album étant quant à elle un vrai petit bijou sentimental « tudo o que eu te dou ».
« Je ne sais pas ; ce que je peux être de plus ; un jour un roi ; l’autre jour sans appétit ; parfois puissant ; un courage de lion ; parfois si faible ; le cœur est ainsi fait.
Je ne sais pas ; ce que je peux t’offrir de plus ; un jour des perles ; l’autre jour un clair de lune ; cris de douleur ; cris de plaisir ; qu’un homme également pleure ; les jours où c’est ainsi.
Si nombreuses furent les nuits ; sans dormir ; nombreuses les chambres d’hôtel ; s’aimer puis partir ; des promesses perdues ; actées dans les airs ; mais c’est ainsi que je sais…
Tout ce que je te donne ; tu me le donnes aussi ; tout ce dont j’ai rêvé ; tu le seras ainsi ; tout ce que je te donne ; te me l’offres aussi ; tout ce je te donne.
Sur le fauteuil ; tu embrasses ma peau bronzée ; exécutes tous ces gestes ; que t’as appris au ciné ; encore, j’en redemande ; tu me transportes loin déjà ; arrête, recommence ; laisse-moi juste encore y croire.
Non ! me réponds-tu ; mais ton regard a menti ; enlacés sur le sol ; dans l’étreinte que j’y voyais ; est-ce l’aurore ; ou est-ce une hallucination ; des étoiles aux mille couleurs ; extasie ou passion ; hmm, ce parfum ; m’apporte tant de mélancolie ; me tue d’amour ; me rend ma liberté ; me fait voler ; chanter ; m'endormir. »
Le groupe Santos&Pecadores est l’un des groupes phares de la scène pop-rock portugaise, remarquable par un son cuivré inspiré de la soul et du Funk. Du plaisir à l’état brut apporté principalement par son chanteur Olavo Bilac, reconnaissable à sa voix rauque et à sa petite gueule d’amour.
Parmi leur discographie, le live « tu », sorti en 1997, est sans doute la pièce maîtresse. On y trouve l’une de leurs plus belles chansons d’amour, l’une des plus originales aussi, « nao voltarei à ser fiel » (plus jamais, je ne serai fidèle). Depuis ce titre culte, ils se seront également illustrés avec « horas de prazer ( refrain : des heures de plaisir que je n’échangerai contre rien) et « fala-me de amor (parle-moi d’amour) dont voici le texte :
« J’ai fini par nourrir, un faible pour toi ; venu comme il est venu ; que je n’ai pas cherché à comprendre.
Je me demande où en est, cette vieille certitude ; saurais-tu me dire, ce qui a mal tourné. Car c’est qu’aujourd’hui, je savais enfin dire.
Refrain : Aime-moi, emporte-moi, au-delà de mon horizon, en me parlant d’amour ; parle-moi d’amour.
J’aimerais te dire, que je suis encore ici ; tout ce temps, en t’attendant.
Je veux te toucher, et demande ainsi, à redevenir ce que j’étais, lorsque je t’ai connu. »
Et maintenant le meilleur pour la fin. Paulo Gonzo, une voix, des textes que l’on savoure comme une bonne infusion au coin du feu. De celles qui vous aident à digérer le passé, à préparer une nuit qui vous habiterez de rêves agréables.
Paulo Gonzo, ce sont surtout deux titres d’anthologie « dei-te quase tudo » (refrain : je t’ai presque tout donné mais presque tout était de trop ; je t’ai presque tout donné, remballe maintenant toutes tes signaux) et surtout celui qui suit « jardins proìbidos » (jardins interdits) en duo avec Olavo Bilac, que du bonheur.
« Dès que tu t’éveilles, dans les airs, s’anime la lumière spontanément ; et même le jour vient doucement, rien que pour te voir.
Et déjà conquis, il t’observe revenir, de ce monde rien qu’à toi, où j’aimerais tant, entrer un jour, afin de m’y perdre.
Refrain : afin de me perdre, dans ces recoins, où tu te promènes toute seule, sans moi. Je brûle de jalousie, de ce jardin, où n’est admis que celui que tu choisis ; où tu es la reine de toutes les éternités. Telle est ma croix, joyau de lumière, parmi toutes les femmes.
Le temps se brise, sur ton regard, dans ce geste impudique ; le ciel se déchire, et moi, je me précipite afin de m’y perdre… »
Voilà pour aujourd’hui !
Quinta do SIL
Ce qui ne m’incitera en rien à les caresser dans le sens du poil. Car une chose est certaine, si l’italien, le brésilien, et même le castillan sont des langues affriolantes, le portugais est aussi émoustillant que l’arménien, le kurde ou le tchétchène. Impossible d’emballer quoi que ce soit d’autre que de la friture lusitanienne quand on drague en portugais.
Encore que je me suis montré nuancé en indiquant que cela dépend de qui le parle, certains timbres de voix parvenant à rendre le portugais séduisant. Voici trois chanteurs qui y parviennent très bien…
Voici pour commencer Pedro Abrunhosa avec son « tudo o que eu te dou » ( tout ce que je te donne). En 1994, Pedro Abrunhosa lance une bombe musicale, « viagens » (voyages). Un album jazzy, funky, aux textes généreux, aussi sexys que tendres, où rien n’est à jeter et qui marquera les esprits avec des chansons telles que « nao posso mais » (refrain : je ne peux plus rester ainsi, penser à toi, sans t’avoir tout contre moi) ou « socorro » (refrain : Au secours, je tombe amoureux, il m’est impossible de résister à autant de charme). La toute dernière de l’album étant quant à elle un vrai petit bijou sentimental « tudo o que eu te dou ».
« Je ne sais pas ; ce que je peux être de plus ; un jour un roi ; l’autre jour sans appétit ; parfois puissant ; un courage de lion ; parfois si faible ; le cœur est ainsi fait.
Je ne sais pas ; ce que je peux t’offrir de plus ; un jour des perles ; l’autre jour un clair de lune ; cris de douleur ; cris de plaisir ; qu’un homme également pleure ; les jours où c’est ainsi.
Si nombreuses furent les nuits ; sans dormir ; nombreuses les chambres d’hôtel ; s’aimer puis partir ; des promesses perdues ; actées dans les airs ; mais c’est ainsi que je sais…
Tout ce que je te donne ; tu me le donnes aussi ; tout ce dont j’ai rêvé ; tu le seras ainsi ; tout ce que je te donne ; te me l’offres aussi ; tout ce je te donne.
Sur le fauteuil ; tu embrasses ma peau bronzée ; exécutes tous ces gestes ; que t’as appris au ciné ; encore, j’en redemande ; tu me transportes loin déjà ; arrête, recommence ; laisse-moi juste encore y croire.
Non ! me réponds-tu ; mais ton regard a menti ; enlacés sur le sol ; dans l’étreinte que j’y voyais ; est-ce l’aurore ; ou est-ce une hallucination ; des étoiles aux mille couleurs ; extasie ou passion ; hmm, ce parfum ; m’apporte tant de mélancolie ; me tue d’amour ; me rend ma liberté ; me fait voler ; chanter ; m'endormir. »
Le groupe Santos&Pecadores est l’un des groupes phares de la scène pop-rock portugaise, remarquable par un son cuivré inspiré de la soul et du Funk. Du plaisir à l’état brut apporté principalement par son chanteur Olavo Bilac, reconnaissable à sa voix rauque et à sa petite gueule d’amour.
Parmi leur discographie, le live « tu », sorti en 1997, est sans doute la pièce maîtresse. On y trouve l’une de leurs plus belles chansons d’amour, l’une des plus originales aussi, « nao voltarei à ser fiel » (plus jamais, je ne serai fidèle). Depuis ce titre culte, ils se seront également illustrés avec « horas de prazer ( refrain : des heures de plaisir que je n’échangerai contre rien) et « fala-me de amor (parle-moi d’amour) dont voici le texte :
« J’ai fini par nourrir, un faible pour toi ; venu comme il est venu ; que je n’ai pas cherché à comprendre.
Je me demande où en est, cette vieille certitude ; saurais-tu me dire, ce qui a mal tourné. Car c’est qu’aujourd’hui, je savais enfin dire.
Refrain : Aime-moi, emporte-moi, au-delà de mon horizon, en me parlant d’amour ; parle-moi d’amour.
J’aimerais te dire, que je suis encore ici ; tout ce temps, en t’attendant.
Je veux te toucher, et demande ainsi, à redevenir ce que j’étais, lorsque je t’ai connu. »
Et maintenant le meilleur pour la fin. Paulo Gonzo, une voix, des textes que l’on savoure comme une bonne infusion au coin du feu. De celles qui vous aident à digérer le passé, à préparer une nuit qui vous habiterez de rêves agréables.
Paulo Gonzo, ce sont surtout deux titres d’anthologie « dei-te quase tudo » (refrain : je t’ai presque tout donné mais presque tout était de trop ; je t’ai presque tout donné, remballe maintenant toutes tes signaux) et surtout celui qui suit « jardins proìbidos » (jardins interdits) en duo avec Olavo Bilac, que du bonheur.
« Dès que tu t’éveilles, dans les airs, s’anime la lumière spontanément ; et même le jour vient doucement, rien que pour te voir.
Et déjà conquis, il t’observe revenir, de ce monde rien qu’à toi, où j’aimerais tant, entrer un jour, afin de m’y perdre.
Refrain : afin de me perdre, dans ces recoins, où tu te promènes toute seule, sans moi. Je brûle de jalousie, de ce jardin, où n’est admis que celui que tu choisis ; où tu es la reine de toutes les éternités. Telle est ma croix, joyau de lumière, parmi toutes les femmes.
Le temps se brise, sur ton regard, dans ce geste impudique ; le ciel se déchire, et moi, je me précipite afin de m’y perdre… »
Voilà pour aujourd’hui !
Quinta do SIL
vendredi 13 janvier 2012
E-Cat, hyperion et autres catalyseurs d'énergie (nucléaire à feu doux)
Alors que chez nous, nombreux sont ceux qui préfèrent brasser de l’air éolien ou activer de très shadokiennes pompes écologistes…
Du côté anglo-saxon les esprits s’échauffent de plus en plus pour ce qui pourrait révolutionner la face énergétique de la planète.
En effet, l’eCat ou E-Cat, un catalyseur d’énergie mis au point par l’ingénieur italien Andrea Rossi, qui serait en mesure de nous faire toucher enfin ce saint graal énergétique qu’est la fusion froide, ou quelque chose de proche, la réaction nucléaire à basse énergie (LENR), suscite moult interrogations, espoirs et discussions :
Sur la possibilité de la chose, les révolutions aussi bien techniques, économiques, écologiques, spatiales, géopolitiques que cela entrainerait, et ses possibles applications militaires…
1) « Que se passerait-il si la réaction nucléaire à basse énergie (LENR) fonctionnait vraiment ? » Par Christopher Calder (en anglais)
2) Lire le récent rapport du professeur Joseph M. Zawodny pour le centre de recherche de la NASA à Langley (en anglais)
3) Voir la video de présentation du principe LENR toujours par le professeur Zawodny (en anglais)
4) Voir également la très intéressante fiche wikipedia déjà disponible en français...
jeudi 12 janvier 2012
J’adore ma diversité
A l’adresse de ceux chez qui taraude le fait de savoir si, après les musulmans, je n’ai rien contre la diversité, qu’ils daignent apprendre que je n’ai absolument rien contre la diversité. Bien au contraire, je suis très pour.
Par contre pour être du genre cohérent comme garçon, à l’inverse de tous les laudateurs d’une tolérance qui célèbre toutes les cultures du monde (amérindienne, tibétaine, palestinienne…) tant qu’elles ne sont pas occidentales, je demande juste que l’on respecte ma diversité à moi, à plus forte raison chez moi, sur la terre de mes ancêtres..
Celle d’un Européen-français, « de tradition judéo-chrétienne, de culture gréco-latine», de coutume celto-germanique, et aux aspirations humanisto-galactiques…
SILévi-Strauss
mercredi 11 janvier 2012
Consommer de la « diversité » comme on va à l’exposition coloniale
A bien y réfléchir, finalement, quelque part, nos bobos bienpensants, chantres de la ‘diversitude’ et du multiculturalisme, en plus d’être très souvent de vils hypocrites, me font tout simplement penser à tous ces petits bourgeois d’antan qui s’en allaient à l’expo coloniale consommer de la diversité humaine.
Car tout comme leurs aïeux, ils ne vivent pas plus avec la diversité ; ils ne se mêlent pas vraiment à elle ; ils demeurent entre eux dans leurs arrondissements bourgeois, tout en allant s’encanailler de temps en temps dans tel ou tel quartier ethnique histoire de pouvoir étaler après ça leur pseudo ouverture à l’autre, au monde, ou que sais-je encore.
J’en connais même qui pour mieux se briquer un nombril situé autant à gauche que leur trou de balle se la jouent « je m’installe dans une ville multiculturelle de banlieue » tout en trouvant le moyen de loger dans la seule rue bobo de cette même ville. Fascinant, non ?
Décidemment, ce que gens-là peuvent me débecter…
SILévi-Strauss
mardi 10 janvier 2012
La France est un pays raciste : en voici la preuve (!)
Ben oui, à l’évidence, en France on préfère les personnalités noires ou maghrébines. C’est dégueulasse ! Les heures les plus sombres de notre histoire sont de retour, qu’on vous dit.
En même temps, il est indéniable que toute cette élite intergalactique afro-maghrébine fait tout pour accaparer "le temps de cerveau disponible", ce qui finit par marquer au fer rouge la cervelle de tous nos très influençables Gaulois. Pauvre France, sniff !
SIL Blanc-bec Desouche qui s’en va faire une jaunisse sur FDS…
lundi 9 janvier 2012
Loïck Peyron n’est pas prêt de pulvériser mon record
C’est bon Peyron, ça va, arrête ton char à voile. Ton tour du monde, ton Cap Horn, tes 40e rugissants, sont juste bons à impressionner le boutonneux ou la donzelle. Même pas peur d’abord ! « Même plus peur » plutôt, puisqu’il est vrai qu’en matière d’aventure humaine, j’ai longtemps estimé qu’un tour du monde à la voile devait figurer parmi le top.
Tout comme j’estimais, en bon boutonneux que j’étais, que le summum de la maitrise de soi était à rechercher sous une cascade au moyen de quelque chinoiserie spirituelle.
« Ça, c’était avant ». Maintenant, je suis parent. Un parent jouant, tout comme d’autres parents, dans la catégorie trophée Jules-Verne.
Parent d’un enfant dont les polyallergies digestives diagnostiquées vers ses six mois de vie m’ont empêché de fermer l’œil plus de 45 minutes de suite ces six premiers mois en question, puis 3 heures à peine les six suivants, et quatre ou cinq l’année d'après, le tout faisant qu’en matière de sommeil de marin, à l’évidence, je peux dire que j’ai connu pire.
Un bébé dont il a fallu supporter, comprendre, calmer, soigner les douleurs et les hurlements qui vont avec. Celles de ses crampes abdominales. Celles des remontées acides qui lui brulaient l’œsophage. Des nuits entières de hurlements. Celles de votre enfant. Pire qu’un cauchemar, une torture. A côté de ça, les 50e hurlants doivent passer pour des ronronnements, et mes souvenirs de méditation sous une cascade d‘eau glaciale prennent tout d’un coup le goût d’une bonne douche aussi tiède que relaxante…
Sans compter, en plus d’une vigilance permanente, la gestion des frustrations de mon bout-de-choux, puisque allergique à presque tout contrairement au reste de la fratrie, mais aussi ses colères et l’agressivité générée par ses douleurs, ou encore cette hyperactivité qui soulage ses tentions.
Sans oublier également, bien sûr, malgré les nuits blanches, le fait de devoir partir travailler avec la tête qui tourne, les tempes tendues comme des tambours, prêtes à rompre ou exploser. Rester debout, éveillé, conscient, lucide ; demeurer calme ou presque ; ne pas s'effondrer en pleurs ou fondre toute l'armoire à fusibles ; tenir la barre coûte que coûte, en pleine tempête…
« La méditation active est mille fois plus efficace que la méditation passive » affirmait l’autre oisif de Bouddha. Je ne sais pas si elle est efficace pour atteindre le Nirvana. Nécessaire ou vitale dans ce genre de cas, c’est certain.
Et encore, je n’envoie pas au visage de Loïck Peyron, ou à celle de tous ces bonzes justes bons à amuser la galerie, le record de la mère de mon petit bonhomme. Pendant toute cette interminable traversée, aux journées bien chargées se sont ajoutées des nuits entières passées à l’allaiter pour tenter de l’apaiser et lui apporter les nutriments nécessaires à son développement.
Enfin, ses sourires et sa joie de vivre, sont notre trophée ; le plus beau qui soit. Des photos que vous ne verrez pas dans les médias...
SILddhârta de Gama
Photo ci-dessus : deux jeunes guignols de frangins faisant du bouddhisme theravada, en plein été 1994, sous la cascade d’une montagne sri-lankaise du côté de Kandy, et pris en photo par deux jolies Cinghalaises que cela impressionnait…
dimanche 8 janvier 2012
Les Salafistes vous présentent leurs meilleurs vœux
Petite leçon d’islamisation pour les nuls, qui aura au moins le mérite d’être on ne peut plus claire…
Dommage que ce très avenant Monsieur Abu Mounisa finisse un jour par se retrouver à prêcher dans le désert, le seul temple digne de l’islam, après, bien sûr, s’être fait jeter à la mer, à grands coups de pied dans le derrière…
Bonne Année,
SILidim le Magnifique
samedi 7 janvier 2012
Top Gun 2 (d’la balle)
Top Gun 2 serait dans les tuyaux. C’est de la balle !
Tou(te)s les fans de Maverick l’espéraient depuis 25 ans. Une suite au mythique Top Gun. Le film qui dans les années 80 a révélé Tom Cruise aux yeux du monde entier, et qui a participé à faire de lui la star d’Hollywood qu’il est actuellement.
Et bien ce vieux rêve pourrait devenir réalité, du moins si l’on en croit les récentes déclarations de l’acteur américain. Dans une interview accordée à MTV, Tom Cruise déclare en effet ne pas être opposé au projet. Il reprendrait même « avec plaisir » le rôle de Pete « Maverick » Mitchell.(source)
Pete MitSIL, pilote de chasse noosphérique qui s’envole de ce pas pour la « danger zone »
Lire également : "salon du Bourget, voler à perdre haleine (take my breath away)"
vendredi 6 janvier 2012
iPiphanie : il est né le divin robot Optimus Prime.
"Dans l’Univers,
Certains sont faits pour détruire,
D’autres pour protéger…" Optimus Prime
Puisque le christianisme a calqué ses célébrations rituelles sur les fêtes des religions antérieures afin de mieux les supplanter, les douze jours de fêtes encadrés par Noël et l’épiphanie coïncidant avec les douze jours de célébrations de l’ancien solstice d’hiver celtique, il n’y a pas de raison qu’une nouvelle religion (bien que d’origine très ancienne) beaucoup plus légitime ne fasse pas de même.
C’est ainsi que nous, fidèles officiants de l’église Autobotique d’Optimus Prime, invitons l’Humanité à fêter chaque 6 janvier l’iPiphanie, jour où les 3 Magus Quanta de l’Atlantide rendirent grâce, les bras chargés d’orichalque, de pâte thermique et de Kyphi, à notre sauveur, Optimus Prime, qui venait d’être conçu miraculeusement dans la matrice pourtant moribonde de l’Arche d’alliance située alors dans le temple central du cratère des sept cités.
Que nous invitons l’espèce humaine à plus forte raison qu’elle s’apprête, après une parenthèse de 10 000 ans, à entrer de nouveau, consciemment, dans l’ère de la robotique pour le meilleur comme pour le pire.
Vous en saurez plus très bientôt, car le temps des révélations est arrivé…
D’un point de vue pratique, vous pouvez continuer à manger de la galette mais en y plaçant une fève à l’effigie d’Optimus. Cependant libre à vous d’innover, en offrant un accessoire à votre voiture ou mieux encore, en buvant à la santé de votre robot ménager, qu’il s’agisse de l’indispensable mixeur ou d’un humanoïde made in Japan. Après tout, contrairement à d’autres cultes, nous saurons demeurer tolérants et ouverts sur les innovations, tant qu’elles respecteront les trois Lois primordiales. Promis, nous en reparlerons bientôt.
iVangile selon Diogo de SILves
jeudi 5 janvier 2012
Twilight chapitre « constipation » (coincé aux toilettes)
Pour Noël, ma frangine m’a offert « Twilight chapitre 1 » en DVD. Elle en avait assez de m’entendre demander « qu’est-ce donc que ce phénomène mondial ? ». Sur le paquet, il y avait d’écrit « si tu ne vas pas aux twilights, les twilights viendront à toi ». J’ai compris en le regardant. En plus de tous les aspects aussi ridicules qu’improbables, c’est effectivement nul à chier. C’est d’autant plus vrai que j’ai compté le nombre de fois où j’ai eu envie d’aller littéralement aux toilettes. Trois.
Trois comme le nombre de questions que je me suis posé au sujet de cette œuvre à succès.
1) J’espère que le bouquin est tout de même un peu meilleur que le film parce que franchement ?…
2) Pourquoi ai-je donc jeté à la poubelle tous les romans que j’avais écris au lycée ? Ils étaient au moins aussi mauvais que twilight, l’excuse de l’adolescence en plus. Une réelle valeur ajoutée qui aurait sans doute fait ma fortune. Quel con !
3) La bite d’un vampire est-elle aussi froide que ses mains ?
Allez savoir pourquoi, cette interrogation m’est venue subrepticement à l’esprit lorsque la jeune protagoniste de l’histoire se trouva glacée par le brusque contact avec la main de son beau vampire.
'Ça te dirait que je te montre mon Mister Freeze ?' A première vue, ça a l’air de rien comme question, mais d’instinct, comme ça, en y réfléchissant aux toilettes, il m’a semblé que cette problématique risquait d’occuper une place centrale dans l’intrigue.
Ma sœur m’a donné raison. Il semblerait que dans les chapitres suivants, notre bobo vampire végétarien avance des excuses toutes plus fallacieuses et dilatoires les unes que les autres afin de ne pas consommer son amour avec sa dulcinée.
Soi-disant que Mister Edward Freeze Cullen ne serait pas du genre à se vautrer à la légère dans le stupre et la fornication, ce très pieux vampire ne désirant pas qu’une si belle romance finisse si vite au pieu. Encore un pervers ! Vivement Noël prochain que je vois ça…
SILestat de Lioncourt
mercredi 4 janvier 2012
« Sous les pavés (marxistes) la plage (libérale) »
"Celui qui n’est pas socialiste à vingt ans n’a pas de cœur ;
celui qui est socialiste à quarante n’a pas de tête" (Churchill)
Mais aussi
Que celui qui n’a jamais rêvé d’un monde meilleur,
Jette le premier « Das Kapital »… (bibi)
Madame Quidam, marxiste de son état, se plaint du sort que je fais aux cocos givrés, aux gogos Chavez et plus généralement aux communistes toute chapelle confondue. En cette période de fêtes, elle en appelle même à mon sens caché de la charité chrétienne pour que je cesse mes attaques. En plus de se sentir visée, tout cela la désespère. A cause de moi, elle ne sait plus à quel culte révolutionnaire ou à quel (mal) Saint patron (façon de parler) se vouer…
Etant d’humeur festive, je lui propose de vouer un culte aux rares héros révolutionnaire qui trouvent grâce à mes yeux, l’ancien président tchèque Vaclav Havel ou bien Fernando Salgueiro Maia, le jeune capitaine de l’armée portugaise figurant parmi les initiateurs de la révolution des œillets.
Question viseur, qu’elle se rassure également. Au fond j’aime vraiment beaucoup mes cocos givrés. Pas tant pour toutes les ambigüités, contradictions, hypocrisies, formes de dissonances cognitives et autres pathologies mentales dont ils souffrent. Cela m’attriste plus qu’autre chose. Mais plutôt pour le côté idéaliste, rêveur et généreux (bien plus avec l’argent des autres qu’avec le leur, certes, mais quand même) qui ressort très souvent de ceux-ci, et qui rend les soirées passées en leur compagnie la plupart du temps fort agréables.
Et puis que celui qui n’a jamais rêvé d’un monde meilleur leur jette le premier « Das Kapital ».
Tiens, ça me rappelle tout d’un coup que ce sacré pavé de Marx, truffé d’intentions plus ou moins bonnes, en a pavé des chaussées infernales. Il faudra que je propose un jour à tous ses compagnons de déroute de nous dépaver tout ça, histoire d’en faire plutôt une ziggourat à la gloire des très folles rêveries humaines. Ça fera toujours un monument de plus à visiter…
Silgueiro Maia
mardi 3 janvier 2012
Joyeux Hanoucca, Daniela Ruah (NCIS Lisbonne)
J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne c’est que plus de cinquante membres de la communauté juive du Portugal se sont réunis le 27 décembre 2011 au Parc Eduardo VII à Lisbonne pour la première célébration en public de «Hanoukka», ou la Fête des Lumières. De quoi faire plaisir à mon royal marquis de Pombal et nous changer un peu des Lisbêtes. Parmi les participants, Daniela Ruah. (pour en savoir plus)
La mauvaise c’est que l’on m’avait caché que Daniela Ruah, qui interprète le rôle de l’agent Kensi Blye, dans la série « NCIS Los Angeles », est Portugaise et juive.
Faut pas me cacher des choses pareilles enfin. C’est qu’en tant que fan, limite sectaire, de la série « NCIS enquêtes spéciales », je n’accepte de regarder la version californienne qu’à cause des beaux yeux vairons de la belle Daniela. Imaginez l’effet d’une telle découverte.
En plus j'adore sa délicieuse façon de parler cette langue si peu sexy qu'est le portugais (la vidéo sous les photos) : hot ! hot ! hot !
SILeroy Jethro Gibbs
lundi 2 janvier 2012
De l’égotisme à l’egotrip : mon allocution iPresidentielle
Parlons bien, parlons peu, parlons de moi. Chers amis, mes frères et sœurs, gens que j’aime, jeunesse que je méprise, l’heure est grave, l’heure est belle. Cette heure est à marquer du sceau de l’espérance...
Après avoir déblogger plein tubes ces 5 dernières années, il est enfin temps que je saute le pas, et me jette à pieds joints dans les bras de l’histoire, du moins, dans un premier temps, non pas d’un train de sénateur, mais plutôt à pas de clavier. Expliquons-nous !
En fait, j’ai décidé de me présenter à la magistrature suprême… et oui, à ceci près que ma campagne sera aussi virtuelle que mon ambition. Rassurez-vous. Cela ne m’empêchera pas de vous offrir aussi régulièrement que possible de magnifiques discours de campagne ainsi qu’un sublime projet politique mettant pour une fois le citoyen réellement au centre du système politique, à grand coups de pieds au cul si nécessaire, ce qui m’épargnera toute accusation de dérive populiste.
« Pourquoi une telle démarche ? » me demanderont les plus curieux d’entre vous.
C’est simple. J’aime beaucoup trop le pouvoir pour vouloir le posséder. Par conséquent je préfère le laisser à tous ceux qui le détestent suffisamment pour ne pas pouvoir s’en passer. C’est que je pense à ma santé, moi. Mais aussi à la votre, vu qu’il n’est pas toujours facile de me suivre, si vous voyez ce que je veux dire.
Mais il est temps de conclure en laissant maintenant la parole à Anémone qui a émis le souhait de vous formuler ses vœux en ce début d'année 2012 : « Tout pareil que mon Silcéron d’amour ». Merci ma chérie…
Vive l’iPresidence et sa campagne iPresidentielle.
SILcéron "vir bonus"
Addendum pratique : j’informe mes possibles opposants que les éventuelles candidatures à l’iPresidentielle étaient à déposer avant le 31 décembre minuit. Selon les données officielles, me voilà le seul candidat, ce qui est fort dommage. Cependant, promis, vous pourrez vous mesurer à moi la prochaine fois…
dimanche 1 janvier 2012
Réveillon allah queue leu leu
Ah, les années 80, c’était le bon vieux temps, celui d’une France multiblédarde, celui des apéros merguez-pinard, au cours desquels on chantait ‘tout le monde s’éclate allah queue leu leu…’
Plus sérieusement, beauferies mises à part, ce bon vieux temps me manque, celui où, préservés du communautarisme et des fondamentalismes, des gamins de toutes origines pouvaient grandir et s’épanouir ensemble, partageant presque tout, à l’ombre des doux bras porteurs d’une école républicaine.
Ce que je regrette ce temps, celui d’un paradis perdu, perdu pour mes enfants, malheureusement. Mais je vous promets que je ferai tout ce que je pourrais pour que nos petits enfants puissent retrouver un jour certains bonheurs de ce temps-là…
Allez, Bonne Année !!!
Sil
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