Après avoir attaqué à 5 contre 1, en 1948, le minuscule Etat d’Israël, dés sa création …
Après avoir, indépendamment de l’accord israelo-franco-britanique visant au contrôle du canal de suez, en 1956 avec le soutien des Soviétiques, mené des actes de guerre contre Israël avant le déclenchement « officiel » du conflit, par le blocus du port israélien d’Eilat et par des attaques commandos en territoire israélien …
Voici que l’Egypte à la tête d’une coalition arabe regroupant la Syrie, L’Irak, la Jordanie et d’autres contingents arabes (algériens, marocains, saoudiens), aidé une fois de plus par les Soviétiques, leur refait le coup de la boxe-arabe. À 5 contre 1, ils se préparent de nouveau à tenter d’effacer Israël de la carte du Monde.
Pour se faire, dès le mois de mai 67, l’Egypte impose de nouveau le blocus du détroit de Tiran qui donne accès au port israélien d’Eilat, masse des troupes dans le Sinaï, tandis que les forces syriennes se préparent sur le plateau du Golan d’où les premiers bombardements avaient déjà été lancés. Les Jordaniens se préparant eux aussi, de leur côté. Israël est cerné, prêt à tomber.
Devant la réaction si peu brillante de la communauté internationale et le risque d’anéantissement, l’Etat d’Israël met fin, tout seul comme un grand, à la menace arabe par le biais d’une offensive éclair. Israël conquiert ainsi le Sinaï sur l’Egypte, la Cisjordanie sur la Jordanie et le plateau du Golan sur la Syrie.
La communauté internationale réagit alors. Elle n’est pas contente, ouh la la ! léléla ! Elle dit à Israël « c’est pas du jeu d’avoir gagné » et lui demande de revenir aux frontières antérieurs au 5 juin. En gros la communauté se contente de siffler un faux départ, elle adore les sifflets, sans regarder la photo qui a été prise depuis les starting-blocks.
« C’est pas bien d’avoir gagné. Quand on est vraiment digne, on meurt en silence ». Ben tiens !
SIL contrôleur de blocs de départs.
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