A force de chercher les raisons d’une présence féline aussi massive dans les rues d’Istanbul, et refusant celle de l’absence de restaurants chinois que me soufflait mon agent de liaison, j’ai fini par trouver la solution en observant avec attention le chat qui surveillait l’entrée de la Basilique de Sainte-Sophie.
A force d’observation, je me suis rendu compte qu’il avait des expressions similaires à celles des vigiles qui passaient parfois au détecteur de métaux, les sacs des passants à l’entrée du « grand bazaar » d’Istanbul. Bon sang mais c’est bien sûr, me suis-je dit alors.
En fait, fruit de la coopération entre les gouvernements turcs précédents et ceux d’Israël, voici, ci-dessus, le parfait exemple du chat tigré européen d’Istanbul entrainé par les chats des rabbins du Mossad pour veiller à la sécurité de la cité millénaire.
Pour preuve supplémentaire, voici, ci-dessous, l’un de ses collègues affalé dans un petit café à narguilé, juste derrière Sainte-Sophie, après une longue journée de travail sous couverture…
OSSil 117
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