Rome, côté femelles, je vous avouerai ma déception. Certes les jolies filles y sont légion. Mais à l’évidence, les Parisiennes leur mettent la race. En effet, si mon regard se trouve alpagué à Paris toutes les trente secondes en moyenne par une beauté made in France, à Rome, le moins que l’on puisse dire, c’est que j’ai rarement été ébloui. D’ailleurs l’un des rares éblouissements que j’ai connu à Rome est venu du soleil levant. Une sublime Taiwanaise rencontrée dans le musée du Vatican, dont le magnifique sourire échangé finit de me fracasser les cornées. Les autres plus jolies rencontres étant d’ailleurs deux superbes Gauloises logeant à l’hôtel Gambrinus où je suis descendu.
Bref, j’ai trouvé la Romaine fadasse : d’une beauté assez superficielle et d’un regard ni particulièrement vif, ni suffisamment brillant. Je me suis d’ailleurs demandé si c’était l’hiver qui produisait cet effet, concluant sur le fait qu’il faut venir en saison pour cueillir de la Romaine et hors saison pour visiter Rome.
Dernière remarque. Autant qu’il m’en coute de l’avouer, je me suis rendu compte que les Romains ont plus de classe et de charme que leurs bonnes femmes, alors qu’en France c’est exactement l’inverse. Ce qui m’a permis de comprendre pourquoi les Italiens ont migré chez nous, sans leurs radasses ; pourquoi ils ont fait autant de ravages chez les Gauloises ; et pourquoi des Gaulois ont voulu leur faire la peau à maintes reprises depuis Aigues-Mortes ; c’est qu’ils sont beaux ces salauds :-)
SilPQR
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