Alors que je me dirigeais vers les locaux qui me permettront de suivre la Ramadan Cup 2013 depuis la Bande de 9-3, au détour d’une rue dénuée de toute poésie, voici que je croise, ô miracle, l’icône du grand poète martiniquais surmontant des ratures.
J’avais beau ne pas toujours aimer certains de ses airs, j’adorais ses vers. Par conséquent je suis resté-là, un moment, pour prier Césaire…
SILberto SIL
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